Dans le chapitre précédent, j’ai omis de parler d’une petite actrice qui a bien aussi son côté bizarre. […] Monsieur Oscar, est-ce que j’entre aussi de ce côté-là, moi ?
Le fond de la scène représente la mer ; les deux côtés de cette mer présentent une chaîne de petits rochers. […] Vénus paroît à son tour ; elle est placée sur un superbe vaisseau ; l’Amour est à ses côtés ; les Graces couronnées de roses sont grouppées à ses pieds ; des Amours tenant des cassolettes font bruler les parfums ; les cordages du vaisseau sont des guirlandes de fleurs ; la mâture est en or ; les voiles sont formées de tissus d’argent ; les Zéphirs et les Amours dirigent la manœuvre.
» disait-on dans l’avant-scène des troisièmes, — côté cour ou côté de la Reine, — réservée à celles de ces demoiselles, qui, ayant terminé leur travail, voulaient assister à la fin de la représentation.
On vit d’un côté, Iris sur un char traîné par des Paons, et suivie de plusieurs Nymphes vêtues d’une gaze légère, qui portaient des plats couverts de ces superbes oiseaux.