Je ne puis terminer un article sur le maintien sans recommander le menuet comme un seul moyen d’acquérir et de conserver le maintien le plus noble et le plus gracieux ; quoique rejeté par presque tous nos danseurs modernes, et même par un grand nombre de professeurs ; les premiers, parce que le menuet est le moins gai de tous les genres de danse ; les seconds, parce que le plus souvent ils en ignorent les élémens, le menuet n’en est pas moins une danse aimable, décente et polie, qui demande un talent particulier ; sa noble et élégante simplicité exige que le sujet qui l’exécute, connaisse à fond les principes de la danse et déploie toutes les grâces du maintien ; la lenteur de son mouvement donne le tems à l’attention d’approfondir les principes d’une manière sûre, et au corps celui de se développer et de se dessiner avec autant de méthode que de goût. […] La valse étant basée sur de fausses positions, comme nous l’avons dit à l’article des positions, nous en donnons ici un exemple pour démontrer l’emploi de ces fausses positions, qui servent de base pour l’exécution des pas en tournant, mais qui reviennent toujours après aux positions naturelles dont elles dérivent.
En tête de l’article qui lui est consacré se trouve ce couplet sur l’air : Restez, restez, troupe jolie : Jadis on voyait sur ses hanches Un simple jupon de tricot, Et, pour parure des dimanches, Un justaucorps en calicot.
Pendant que la douane et le service sanitaire visitaient le Great Western, des reporters se précipitaient pour s’enquérir de la qualité des passagers et des incidents de la traversée, rédigeaient leur article et l’envoyaient à l’imprimerie.
Deux excellens articles, publiés par M.