Lorsque nous arrivâmes dans les mors du Sud et que les flots se furent apaisés, nous comprîmes enfin quelle tempête anormale nous avait tous secoués. […] Avec force pantomime et beaucoup de bonne volonté de part et d’autre, nous arrivâmes à lui faire percevoir notre désir. […] Pendant tout le temps qu’il était resté à la Jamaïque il avait essayé de communiquer avec ses amis, via New-York, et il n’était pas arrivé à savoir si sa mère, ses frères et ses sœurs étaient morts ou en vie. […] A partir de ce moment il y eut une grande amitié, une grande sympathie entre nous, bien que nous ne puissions pas arriver à nous entendre. […] Nous étions arrivés au bas d’une colline et les chevaux s’apprêtaient à la monter aussi vite que possible.

On voit arriver un vaisseau qui mouille bientôt au rivage ; ce navire porte des commerçans Européens qui viennent faire trafic avec les Colons. […] Belton tire à part un des nouveaux arrivés ; il lui fait entendre, qu’il a un marché à conclure, mais qu’il exige du secret ; il lui donne rendez-vous pour le lendemain avant la pointe du jour. […] Eliza arrive la première au rendez-vous. […] Les Colons, les Quakers, les Officiers arrivent successivement pour traiter avec les étrangers. […] De l’autre côté, Zoraïm arrive suivi d’une troupe de sauvages et arrête Belton.

Il m’arrive ceci. […] Et voilà que le sabreur allemand arrive à déterminer avec évidence l’allure, le genre d’harnachement (qui chez Phidias n’est aucunement indiqué), la méthode des cavaliers. […] Jamais en cueillant des poses dans Cappart ou Perrot, les alignant en mosaïque et en improvisant tant bien que mal les transitions, on n’arrivera à reconstituer la technique savante des danseurs égyptiens.

Lorsque j’arrivai au Palais, on me fit gravir un escalier grandiose, puis on m’introduisit dans un petit salon, qui ressemblait à tous les petits salons de tous les palais du monde ; et je pensais combien cela devait être désagréable de vivre dans une atmosphère où des centaines d’autres gens ont vécu avant vous, et où rien ne vous est personnel. […] Pour arriver à temps, nous devions prendre le train le lendemain. […] Elle était encore à sa toilette lorsque j’arrivai, mais pour ne pas me faire attendre elle me dit d’entrer dans son petit boudoir où personne ne nous dérangerait. […] — Ceci est ma chambre, me dit-elle, tandis que nous causions ; jamais, quoi qu’il arrive, personne ne peut venir m’y troubler. […] Et ces liens sont si forts, que, si on arrive à les rompre, ce n’est généralement que sous l’empire du désespoir, du fait d’un acte irraisonné et non pour une belle œuvre d’inspiration pure.