Lorsque j’appris que Sarah allait jouer pour les artistes, je dis à ma mère : — Maintenant, je vais la voir. […] Mais elle est aussi une femme, et il m’a fallu vingt ans pour l’apprendre.
Un historiographe des coulisses de l’Opéra nous apprend qu’avant 1850, le corps de ballet ne se nourrissait guère que de mouton. […] Boismaison apprit son malheur, le jugea irréparable et ne pensa plus qu’à la vengeance.
Les artistes doivent aussi apprendre à se dessiner d’après ces sculptures et ces peintures, remplies d’esprit et de grâces ; c’est à cette source qu’il faut toujours recourir pour former son goût à l’élégance et à la pureté du dessin.
En pourroit-on conclure qu’il est inutile de parler fortement contre les vices, et qu’il faudroit se contenter de faire des catéchismes pour apprendre aux bonnes gens ce qu’ils doivent croire ?