Les Italiens aiment donc passionnément la musique, puisqu’ils ont une pépinière inépuisable de compositeurs et que cet art étale ses chefs-d’œuvre par toute l’Italie. […] Si tant de faits réunis ne peuvent décider la question que vous proposez, je vous dirai, sans être enthousiaste, qu’il n’y a qu’un moyen à prendre pour la résoudre, sans offenser les parties, c’est de convenir que la musique a fait en France des progrès inouis, et qu’on y aime autant cet art aujourd’hui qu’en Italie. Si cela ne vous arrange pas, je m’engage à vous nommer le pays où l’on aime le mieux la musique, où elle est le plus généralement cultivée ; car les enfans y sont bercés par les Muses qui président à cet art divin.
Ces braves gens-là sont capables de tous les bons procédés, mais ils n’aiment réellement personne. […] Il a aimé sa femme qui ne l’aimait pas. […] Sans avoir de préjugés, il n’aime pas que les anciennes classes se rapprochent trop vite des nouvelles. […] comme tu m’as aimé, et qu’avais-je fait pour mériter cela ? […] C’est pourquoi je me figure qu’il n’a jamais pu et ne pourra jamais aimer comme j’aime !
Ils ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étoient mauvaises. […] Saint Augustin, réfléchissant sur l’amour que les hommes ont naturellement pour la vérité, puisqu’ils n’aiment point à être trompés, demande (Confess. […] Ainsi ce qu’ils aiment au lieu de la vérité, et qu’ils prennent pour elle, la leur fait haïr. Ils aiment son éclat et sa beauté ; mais ils n’aiment point ses remontrances et ses reproches : Amant eam lucentem, oderunt eam redarguentem ». […] » Aimons donc à aller, le plus souvent que nous pourrons, entendre dans la lecture de l’Evangile le grand et infaillible docteur de la vérité.
Mais j’ai toujours aimé la chaleur à raison du rhume que je possède depuis ma naissance. […] A déjeuner, un jour, quelqu’un me demanda si j’aimais beaucoup M. Dumas, et je répondis en français, que je ne possédais encore qu’assez imparfaitement : — J’ai elle aime beaucoup : Dumas, tout secoué de rire, dit quelque chose que je ne pas saisir et que l’on me traduisit ainsi : — Il dit qu’on l’a pris pour un tas de choses, mais jamais encore pour une femme : Dumas riait encore et il baisa ma main, ce dont je me souviens aussi. […] Tous mes amis doivent connaître Loïe et l’aimer.