Une transcription plausible de ces danses, le dénombrement raisonné des pas dépasseraient les limites de cette brève étude.
Vous dites que l’étude de la musique est devenue chez nous si générale, que des artisans même en font l’éducation de leurs filles.
Ma lettre, Monsieur, est déjà bien longue, il faut, pour vous prouver mon assertion que je remonte aux causes premières qui ont nécessité chez ce grand peuple, le goût et l’étude de la musique : permettez moi donc de remettre à un autre instant, mes réfléxions sur cet objet, intéressant peut-être pour l’histoire de cet art enchanteur.
Les premiers n’ont reçu aucuns principes déduction ; les seconds dont la jeunesse ne fut point négligée et qui firent de bonnes études, sont presque les seuls qui puissent surnager sur les flots que les passions agitent sans cesse.