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17. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124

Étude des jambes, 40.

18. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre cinquième. Positions principales et leurs dérivés ; » pp. 64-70

Dans quelques-unes des premières positions de la danse, la tête est placée en face ; ce sont des poses d’étude. […] Ces précieux monuments de l’antiquité, qui honorent le pinceau et le ciseau grec, doivent servir de modèles et d’études au peintre, au sculpteur, et peuvent aussi être très utiles à l’art du danseur.

19. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »

J’ai donc commencé mon voyage d’études par l’ascension des sommets hiérarchiques de l’enseignement : la classe des grands sujets dirigée par Mlle Zambelli, celle des petits sujets que régit M.  […] « Tiens-toi droit, ou je te mettrai une règle dans le dos » comme nous disait jadis le maître d’études.

20. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20

Les bras sont, pour ainsi dire, les ailes du corps ; ils en balancent tous les mouvemens ; ils le maintiennent en équilibre dans ses positions même les plus forcées : ce sont eux qui établissent, sans art et sans étude, ce que l’on nomme le centre de gravité ; ils préservent enfin l’homme des chûtes, et des accidens inévitables, dont il seroit sans cesse menacé. Si j ajoute à toutes ces merveilles la variété des traits de la physionomie, leur mobilité à se ployer, et à se déployer pour exprimer énergiquement les sensations, et les affections de l’âme ; si je parle du langage des yeux, du feu qui en animant les regards, embrase, éclaire et vivifie tous ses traits, et les grouppes variés, que les passions y impriment ; si je joins à tant de facultés sublimes la variété des sons et des infléxions de la voix, ses modulations naturelles, la finesse de l’oreille, son tact et sa sensibilité ; enfin les gestes éloquents qui en résultent, et forment un langage universel, on trouvera dans cette richesse de moyens, les principes innés de la danse, et de la pantomime sans règle, de la musique, et de la mélodie sans étude. […] Combien de siècles ont dû s’écouler, combien de tentatives infructueuses, d’études et de recherches avant que les artistes pûssent s’élever au degré de perfection, et de sublimité qu’ont atteint les Agésandre, les Téléclés, les Praxitélle, et les Phidias.

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