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6. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »

On compara, on plaisanta, on rit ; et l’Art qu’on ignorait, laissé à l’écart, était peut-être perdu, si les Acteurs n’avaient imaginé un moyen extraordinaire, pour détruire les Sophismes du Cynique, et pour éclairer la multitude. […] Tous les trésors de la mémoire, de l’esprit et de l’Art, suffisaient à peine à la multitude des compositions nouvelles qu’exigeait d’eux le goût éclairé des Romains.

7. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98

Si, après toutes ces autorités des saintes Ecritures, des saints docteurs, tous ces règlemens des conciles, et toutes ces décisions des théologiens les plus éclairés, et les plus pieux qui viennent d’être rapportés, on ose encore prendre la défense des danses, et que l’on s’obstine à les croire permises, ne montre-t-on pas par là évidemment qu’on ferme volontairement les yeux pour ne pas voir clair en plein jour ; qu’on ne tient aucun compte de tout ce qu’il y a eu et de ce qu’il peut y avoir encore dans l’Eglise de gens les plus éclairés et les plus pieux, et qu’on manque de respect pour l’Eglise même que, dans les conciles, a parlé si clairement et si fortement contre les danses ?

8. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »

L’horizon s’éclaircit, une nouvelle Aurore parut, un jour pur la suivit, l’Europe fut éclairée.

9. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207

Quiconque aime mieux se priver des sacremens que de céder à ce qu’un confesseur éclairé et sévère lui prescrit, s’excommunie lui-même ; et on peut justement lui appliquer cette parole du prophète Osée : Votre perte, ô Israël !

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