Voilà donc les deux faces du sphynx : il trouve Castor et Pollux « rasoir », et il se dérange pour voir des fantoches se trémousser. « L’âge de Phi-Phi », constate Linor.
La DUCHESSE, aussi, de BOUILLON, D’Âme et de Corps Objet mignon, Et qui fut, dès son plus bas âge, Si spirituelle et si sage, S’y fit admirer, sans mentir, Sachant des mieux se travestir ; Et le vaillant PRINCE, son Homme, Pour vous dire la chose en somme, Avec le Comte et Chevalier,90 Faisait un Momon singulier.
Vous savez bien, touchant ce Point, Grand Prince, que je ne mens mie, Et, s’il faut qu’ici, je les die, L’une est cet Amour Féminin,157 Dans un âge tout enfantin, Qui, par sa Voix, et par son geste, Et sa grâce toute céleste, Vous surprit, ravit et charma, Et, pour Vous, si bien s’anima, Que, de Vôtre Royale Altesse, Elle en eût Eloge, et caresse.
Mais lorsque l’âme agit, surtout au printemps de l’âge, que de passions contraires l’embarrassent, que d’ennemis domestiques l’assiègent !