/ 236
182. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-

Sa figure s’immobilisa comme pétrifiée et seuls les yeux gardaient une vie intense.

183. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »

Sans beauté, avec sa figure d’institutrice sympathique, son torse sans souplesse, ses pieds comme aplatis et élargis par vingt ans de piétinement sur les plantes nues, Isadora conserve je ne sais quel prestige plastique.

184. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -

Ce Prince qui avoit reçû des mains de la Nature une figure noble & majestueuse, avoit aimé dès son enfance tous les exercices du corps, & avoit ajoûté aux dons naturels toutes les graces qui peuvent s’acquerir.

185. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Chez lui, ils étaient préparés par Sophie, le plus illustre cordon bleu du règne de Louis-Philippe, une singulière figure de paysanne normande, remarquable par la profondeur de sa science culinaire, par son dévouement âpre aux intérêts de son maître, par son intelligence supérieure, mais aussi par la façon tantôt familière, tantôt revêche, dont elle recevait les visiteurs ou les habitués de la maison. […] Auguste fut un personnage épique, une figure d’imperator, comme son homonyme de Rome. […] La figure encadrée dans d’épais favoris, l’air lourd et commun, le teint olivâtre, le régent à sa chemise et le sancy à son doigt, des breloques, des fruits rouges d’Amérique à sa montre, son gilet et son pantalon trop courts, Auguste n’avait pas la prétention de passer pour un prince déguisé.

186. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97

Les Bergers sont placés sur le coteau pour voir les jeux ; les Bergères se disputent le prix de la course, d’autres celui du tambourin ; celles-ci forment des danses avec des guirlandes, tandis que celles-là tracent en dansant avec des cerceaux garnis de roses, différentes figures variées, les Graces présentes à ces jeux, les embellissent encore en formant sous les berceaux différentes figures pittoresques.

187. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Quatre figures allégoriques étaient placées sur les piédestaux, entre les colonnes. […] Les deux cheminées étaient garnies de grandes grilles neuves, ornées de belles et grandes figures de bronze doré. […] Le corps des figures était en blanc, pour imiter le marbre, et les gaines étaient en marbre de couleur rehaussé d’or, ainsi que les piédestaux. […] Les deux cheminées avaient été repeintes, les ornements redorés, ainsi que les draperies des figures. […] On avait placé au-dessus une figure colossale, bronzée en ronde bosse, de 16 pieds de proportion.

188. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231

Il y a une telle intelligence répandue sur toute sa figure !

189. (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17

Tour à tour, elle anime des statuettes antiques, des figures de vases que nous avions vues immobiles et qu’elle semble ressusciter ; ou bien, elle invente, elle reconstitue, que vous dirai-je ?

190. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16

On les voit sortir en Gens d’affaires ; c’est-à-dire, avec une large figure, & des habits richement ridicules.

191. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -

De son coté, le maître de ballets s’élançant au de là des bornes du matériel de son art, cherche dans ces mêmes passions, les mouvemens et les gestes qui les caractérisent, et liant de la même chaîne les pas, les gestes et l’expression de la figure aux sentimens qu’il veut exprimer, il trouve dans la réunion de tous ces moyens, celui d’opérer les effets les plus étonnans.

192. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24

Il est aisé de concevoir, d’après mes idées, que le ballet pantomime doit toujours être action, et que les figurans ne doivent prendre la place de l’acteur qui quitte la scène, que pour la remplir à leur tour, non pas simplement par des figures symétriques et des pas compassés, mais par une expression vive et animée, qui tienne le spectateur toujours attentif au sujet que les acteurs précédens ont exposé.

193. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46

Il est aisé de concevoir d’après mes idées, que le Ballet Pantomime doit toujours être en action, & que les Figurants ne doivent prendre la place de l’Acteur qui quitte la Scene, que pour la remplir à leur tour, non pas simplement par des figures symmétriques & des pas compassés, mais par une expression vive & animée, qui tienne le Spectateur toujours attentif au sujet que les Acteurs précédents lui ont exposé.

194. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166

L’actrice, costumée en gamin, la figure enfoncée dans le cache-nez, sort, passe devant eux , bouscule celui qui est devant elle et s’éloigne tranquillement, sans avoir été reconnue.

195. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10

Ce dont il me paroit qu’on ne peut guère douter, c’est qu’en se montrant indiscrètement, elle fut très-occupée de sa figure, se comparant à cet égard aux filles du pays que la curiosité lui fit considérer, et qu’elle laissa entrer dans son cœur un secret désir de plaire, quoique confus et sans aucun objet particulier.

196. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182

La fierté de Junon et le port martial de Pallas le déconcertent ; l’aménité, jointe aux grâces et à la figure celeste de Vénus, le rassure un peu.

197. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

Toujours en colère, d’un nervoso qui allonge son petit nez, elle n’a d’autre signe particulier que d’adorer les pralines. » Une figure sympathique dans son incorrection, d’une magie subtile et attirante ; une inépuisable bonté ; un esprit délicat, pénétrant ; assez ferrée sur l’orthographe, sur la rime et sur la mesure, pour répondre à une camarade qui lui avait envoyé son portrait : Le gentil croquis que tu m’as donné !

198. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96

Corriger souvent le poème, lier la danse à l’action, imaginer des scènes analogues aux drames, les adapter adroitement aux sujets, suppléer à ce qui est échappé au génie du poète, remplir enfin les vides et les lacunes qui font languir souvent leurs productions : voilà l’ouvrage du compositeur ; voilà ce qui doit fixer son attention, ce qui peut le tirer de la foule, et le distinguer de ces maitres, qui croient être au dessus de leur état, lorsqu’ils ont arrangé des pas, et formé des figures dont le dessin se borne à des ronds, des carrés, des lignes droites, des moulinets et des chaînes. […] Les interprètes de Sophocle, d’Euripide et d’Aristophane, disent cependant que les danses des Egyptiens représentoient les mouvemens célestes et l’harmonie de l’univers ; ils dansoient en rond autour d’un autel qu’ils regardoient comme le soleil ; et cette figure, qu’ils décrivoient en se tenant par les mains, désignoit le Zodiaque ou le cercle des signes ; mais tout cela n’étoit, ainsi que bien d’autres choses, que des figures et des mouvemens de convention, aux quels on attachoit une signification invariable.

199. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194

Corriger les Auteurs ; lier la Danse à l’action ; imaginer des Scenes analogues aux Drames ; les coudre adroitement aux sujets ; créer ce qui est échappé au génie des Poëtes ; remplir enfin les vuides & les lacunes qui dégradent leurs productions ; voilà l’ouvrage du Compositeur ; voilà ce qui doit fixer son attention, ce qui peut le tirer de la foule, & le distinguer de ces Maîtres, qui croient être au-dessus de leur état, lorsqu’ils ont arrangé des pas, & ont formé des Figures dont le dessein se borne à des ronds, des quarrés, des lignes droites, des moulinets & des chaînes. […] Les Interpretes de Sophocle, d’Euripide & d’Aristophane, disent cependant que les Danses des Egyptiens représentoient les mouvements célestes & l’harmonie de l’Univers ; ils dansoient en rond autour des Autels qu’ils regardoient comme le Soleil, & cette Figure qu’ils décrivoient en se tenant par les mains désignoit le Zodiaque ou le cercle des Signes ; mais tout cela n’étoit ainsi que bien d’autres choses que des figures & des mouvements de convention, aux-quels on attachoit une signification invariable.

200. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

On eût dit l’une de ces figures d’un rouge de brique ou d’un blanc de lait qui se détachent sur le fond noir des poteries étrusques, et accompagnent leurs pas avec les crotales sonores. […] En ce temps-là, le dernier homme à qui il ait été pardonné de danser, Perrot le laid, — dont les jambes sauvèrent la figure, — ne pouvait se consoler d’avoir été banni de l’Opéra. […] » Quant à sa figure, elle n’est pas fort italienne, et répond peu aux idées brunes qu’éveille le nom des Grisi, dont elle est parente.

201. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »

Ces grands trumeaux si semblables les uns aux autres, que l’art a divisés et qui les réunit, sont toujours prêts à recevoir et à rendre l’empreinte de la figure qui les frappe.

202. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71

Un mouvement convenu, d’abord avec un bras et une jambe, puis répétition de cette figure avec l’autre bras et l’autre jambe.

203. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155

Les chefs de l’école nouvelle reprochaient à la danse de l’Opéra la régularité académique de ses figures, ses mouvements rectilignes, sa noblesse guindée, ses procédés immuablement les mêmes. […] Un nom qui figure presque toujours sur les affiches de l’Opéra vers 1830 était celui de Mazilier, artiste consciencieux, utile, mais sans personnalité.

204. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Noverre n’est pas moins explicite : « J’ai vu danser Mlle de Camargo ; c’est à tort que quelques auteurs lui ont prêté des grâces : la nature lui avait refusé tout ce qu’il faut pour en avoir. » Aussitôt qu’elle entrait en scène, on oubliait sa figure. […] En effet, à cet âge, la danseuse avait fait faire son portrait ; et, plus tard, assise devant une glace de Venise qui le reflétait, elle peignait chaque matin sa figure, raccordant celle-ci à la ressemblance de celui-là.

205. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147

Didon, vivement éprise d’Enée, cherche la solitude ; en vain veut elle effacer de son âme, l’image de son vainqueur ; l’Amour sous la forme et sous la figure du jeune Ascagne, triomphe de tous ses efforts ; les tendres caresses que cette Reine prodigue à cet enfant, et celles qu’elle reçoit de lui, allument dans son âme la passion la plus vive ; et à l’aide de cette méthamorphose, l’Amour établit son empire dans un cœur qui jusqu’à cet instant ne respiroit que la gloire, et ne chérissoit que la liberté.

206. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

La fête recommence, et après plusieurs pas adaptés au sujet et au caractère mâle et héroïque de ce genre, elle se termine par un pas de progression dont la dernière figure offre un grouppe pyramidal orné de tous les trophées de la victoire, propres à caractériser la pompe et la majesté qui règnoient dans les entrées et les fêtes triomphales des anciens. […] En les ouvrant, on découvre un souterrain obscur, éclairé par une lampe sépulchrale ; au milieu s’élève une tombe entourée par un grouppe de figures de marbre qui expriment les regrets et la douleur.

207. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »

En écrivant de la Danse, je suppose de même les pas et les figures, qui ne sont que les lettres et les mots de cet Art.

208. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-

La figure est large et massive et la tête est si forte qu’elle ne trouve jamais de chapeaux assez grands pour la coiffer.

209. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114

C’est encore dans le même esprit qu’on ne jeûne point le dimanche, ni durant le temps entre Pâques et la Pentecôte, parce que ce sont des jours destinés à une sainte réjouissance, où l’on chante l’Alleluia, qui est la figure du cantique de joie du siècle futur : si le jeûne ne convient pas au temps d’une sainte joie, doit-on l’allier avec les réjouissances profanes, quand d’ailleurs elles seroient permises ?

210. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172

On emploie encore les Coryphées dans les rôles secondaires, qui exigent de la taille, de la figure et du maintien.

211. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Se néglige-t-on un peu (et toujours par complaisance) sur celui des principaux acteurs qui doivent être regardés comme les premières figures d’un vaste tableau ; Il faut au moins que tous les objets qui les entourent, et que toutes les choses qui les environnent, portent le caractère sevère de la nation éloignée que l’autour a transporté sur la scène.

212. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

. — Au dessert, les deux amphitryons, curieux de connaître la beauté qu’ils ont fêtée, imitent Cléofas à lever son masque… Jugez de leur stupéfaction et de la rage où ils entrent lorsqu’apparaît la maligne figure de leur rival ! […] Le maître de ballets donne leçon à ses élèves, ce qui ne figure pas trop mal une scène d’inquisition, car vous savez à quelles épreuves tortionnaires sont soumises les apprenties sylphides et les wilis en expectative.

213. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-

La femme était émerveillée de voir tant de gens élégants à la fois ; quant à lui, la figure éclairée d’une lumière céleste, la tête rejetée un peu en arrière, à la manière des aveugles, il était en extase, enivré par la musique.

214. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Au travail de la barre, gymnastique essentielle, aussi nécessaire à la danseuse que la gamme l’est au pianiste, s’ajoutait l’étude des mouvements et des figures qui constituent la grammaire de la chorégraphie, des pointes, des ronds-de-jambe, des jetés-battus, des pirouettes, des entrechats. […] Elle y fut conduite par un homme qui est une des figures les plus curieuses de l’histoire du théâtre au dix-neuvième siècle, par Barbaja, l’illustre impresario.

215. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Si l’on joint à cela une jolie figure, de ravissantes épaules, de beaux bras, les jambes et les pieds parfaits, on croira facilement à une réussite folle. […] Celle-ci lui facilitait l’exécution de tous les pas, de toutes les figures, et s’ingéniait à la faire briller.

216. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

— Cette dame pâle, à la figure si douce ?

217. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285

… Au moment où nous allions nous mettre à table, Mme Claretie était allée chercher une dame âgée à la figure aimable.

218. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53

De par sa magie, une grande bouche devient de l’expression et un grand nez du caractère… Mais à Circé, Circé et demie : La danseuse s’attable devant sa glace… D’abord, elle se passe sur la figure, les bras, le cou, les épaules, et la poitrine, jusqu’au-dessous des seins une couche épaisse de blanc liquide qui forme vernis en séchant.

219. (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24

Que si les anciens l’ont honnoree & mise en vsage, n’ayant que l’ombre & la figure de la perfection que nous possedons à cest heure, qu’elle apparence qu’estant plus noble elle soit moins recherchee.

/ 236