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76. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »

En revenant sur ses pas, il se trouvera dans l’enceinte de Lacédémone, et c’est là que le fond le plus riche l’attend.

77. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-

Deux ans plus tard, lorsque je débutai aux Folies-Bergère et qu’un monsieur élégant demanda à me parler, avec son ami le ministre des Finances de Haïti, il se trouva que c’était notre compagnon de la Jamaïque.

78. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE PREMIERE. » pp. 2-14

Je ne prêche point le désordre & la confusion, je veux au contraire que la régularité se trouve dans l’irrégularité même ; je demande des grouppes ingénieux, des situations fortes, mais toujours naturelles, une maniere de composer qui dérobe aux yeux toute la peine du Compositeur.

79. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60

Un beau Ballet est jusqu’à présent un être imaginaire, c’est le Phénix, il ne se trouve point.

80. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-

Derrière le château se trouve la fameuse allée, la grande avenue solitaire, complètement couverte par les rameaux de deux rangées d’arbres.

81. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-

L’un des acteurs de la troupe se trouvait justement à Paris et je l’envoyai à Anvers avec deux de mes amies.

82. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre première. » pp. 2-8

Je ne prêche point le desordre et la confusion ; je veux au contraire, que la régularité se trouve dans l’irrégularité même ; je demande des grouppes ingénieux, des situations fortes, mais toujours naturelles, une manière de composer qui dérobe aux yeux toute la peine du compositeur.

83. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224

Orphée bientôt se trouve environné par toutes ces ombres heureuses.

84. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -

Il y avoit dans ce Ballet une Scene très singuliere où un Maître à danser vient vanter en chantant tous les avantages de son Art, & comme il executoit en même tems les divers caracteres de Danse qui se trouvent dans les Ballets, & qu’il avoit un peu de voix & beaucoup de goût pour le chant, il entreprit de faire ce rôle, & le remplit si bien qu’il engagea dès ce jour-là le public à remarquer avec plus d’attention les talens qu’il avoit pour la Danse, où il a soûtenu constamment ce qu’il fit attendre de lui.

85. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

. — L’écolier reste d’abord un peu étourdi de sa chute, mais bientôt il se remet et considère un peu l’endroit où il se trouve. […] Cléofas n’a que le temps de se cacher derrière un paravent qui se trouve là fort à point.— Florinde accueille l’importun chorégraphe par des reproches assez vifs, car c’est lui surtout qu’elle accuse de l’avoir compromise, en réglant le pas de deux comme il l’a fait ; mais le brave homme se montre si marri, se confond tellement en excuses, que la danseuse n’a pas la force de lui garder rancune, et scelle même le raccommodement par un baiser. […] Don Gil, qui croit alors être seul avec Florinde, tombe à ses genoux et donne un libre cours à sa verve amoureuse, si bien que Cléofas, perdant patience, renverse le paravent d’un coup de poing, et apparaît aux yeux de son rival stupéfait. — Vous vous figurez peut-être que la danseuse se trouve embarrassée ?

86. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159

Selon que le cavalier voudra se tourner pour se placer devant les personnes qu’il voudra saluer, il dégagera le pied de côté par une fausse position, c’est-à-dire qu’il tournera le pied en dedans plus ou moins, suivant qu’il devra se tourner : ce pied présenté en dedans, le corps tournera en suivant la même direction, pour se trouver tourné lorsque le pied sera posé ; il ramènera aussitôt l’autre jambe devant, en saluant en même tems, comme il est démontré ci-dessus. […] Pour saluer les personnes qui se trouvent placées autour de l’endroit ou sur les côtés, sitôt que l’on sera relevé au premier salut, on fera un dégagé de seconde fausse position, pour se tourner et se placer de manière à se présenter à toutes les personnes qui sont du côté vers lequel on s’est tourné ; on saluera ou fera la révérence, promenant en même tems par un léger mouvement de tête ses regards vers tous ceux qui sont placés de ce côté ; et aussitôt que l’on aura salué de ce côté, on dégagera l’autre pied pour saluer également de l’autre côté, évitant autant qu’il sera possible de tourner le dos devant quelqu’un.

87. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97

L’Amour en s’éveillant se trouve captif et cherche vainement à rompre ses liens ; les jeunes Arcadiennes à demi cachées, jouissent de son embarras et de son dépit ; elles éclatent de rire, l’enfant ailé les apperçoit et ne doute pas qu’elles ne lui aient joué ce tour. […] Il transforme donc soudain Damet en jeune Berger et il opère le même prodige sur Lycénion ; par cette métamorphose, l’un et l’autre se trouvent ramenés à cet âge heureux, où le cœur s’ouvrant au plaisir est l’image de la rose qui s’épanouit au soufle léger du Zéphyr.

88. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17

Tous les passages italiens insérés dans cet ouvrage, se trouveront à la fin traduits, pour la commodité des lecteurs, à qui cette langue n’est pas familière.

89. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174

Bossuet fait remarquer ici dans les spectacles, se trouvent également dans les danses.

90. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

Ce rond ou ce cercle tronqué par le Proscénium forme deux parties rentrantes, de manière que les loges qui se trouvent placées depuis l’avant-scène jusqu’au point central de ce cercle ne jouissent que de la moitié du spectacle ; c’est-à-dire, que les loges de la droite ne voyent que ce qui se passe à la gauche du théâtre, et que les loges de la gauche n’apperçoivent que les objets qui agissent sur la droite : Tels sont les désagrémens résultans de cette forme ronde. […] Il y existe un espèce de rideau de tôle double, dont les côtés s’emboitent dans deux rainures pratiquées dans les massifs de l’avant-scène ; de sorte qu’à la moindre apparence de feu, la salle et le théâtre se trouvent, pour ainsi dire séparés par un mur de fer. […] Il faut comme je l’ai dit plus haut, qu’ils soient commodement placés qu’ils voient et qu’ils entendent de quelqu’endroit de la salle où ils se trouvent.

91. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145

Comme je ne prétens rapporter ici que quelques faits historiques, qui concernent les bals de cérémonie, je passe d’Antiochus à Louis XII, qui étant à Milan, se trouva dans un bal, avec les Cardinaux de Narbonne & de Saint-Severin, qui ne firent point de difficulté d’y danser devant Sa Majesté ; parce qu’on ne peut se dispenser d’obéïr à une Dame qui vient vous prendre : on doit du moins se présenter pour faire la révérence avec elle, la remener en sa place, & ensuite aller prendre une autre Dame, pour en faire encore autant ; afin de ne point interrompre l’ordre du bal, & pour ne pas passer pour un homme qui n’a pas l’usage du monde : c’est ce qui a fait dire à Pibrac dans l’un de ses quatrins, N’aille au bal qui n’y voudra danser. […] Quoi qu’il en soit, la Cour se trouva très-florissante à Bayonne, par l’arrivée des Ducs de Savoie & de Lorraine, & de quantité de Princes & de Princesses étrangers ; desorte que la Régente ne songeoit qu’à les engager dans ses interests, par des divertissemens continuels, qui consistoient en festins, en bals deux fois le jour, & en spectacles ; elle leur donna entre autres une superbe fête, dans une petite Isle située sur le bord de la Riviere de Bayonne, où il sembloit que la nature avoit formé un Salon exprès dans le milieu d’un beau Bois de Futaye, pour la célébrité de cette fête : la Reine y fit couper & étayer des arbres, pour former treize berceaux qui étoient illuminez par des lustres suspendus aux branches des arbres, & sous lesquels il y avoit des tables de douze couverts chacune : celle du Roi, des Reines, des Princes & des Princesses du Sang, étoit disposée de maniere, qu’elle répondoit à toutes les autres tables, afin qu’ils pussent voir d’un coup d’œil toute l’assemblée pendant le repas.

92. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Il est honorable pour les gens du monde, qu’il se trouve quelquefois parmi eux, des hommes aussi éclairés sur les Arts. […] Aux deux extrémités se trouvaient deux corps solides, flanqués par deux pilastres de chaque côté. […] Quant à la façade intérieure, comme elle se trouvait à l’abri du vent, l’illumination y eut un succès entier. […] On se trouvait, en tournant, en face de la cour opposée à celle que remplissait le théâtre de la comédie italienne. […] La dernière, qui se trouvait dans l’encoignure, près du théâtre italien, était enfin intitulée, M. 

93. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre second. Étude des jambes » pp. 40-51

(a) Nous observerons ici que tous les articles marqués d’une étoile * et qui se trouvent plusieurs fois dans cet ouvrage, n’ont été répétés que par rapport à la nécessité de les rappeler dans ces passages, sans renvoyer le lecteur aux chapitres qui les renferme.

94. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187

Vous avez une maison et des amis ; n’y a-t-il pas du plaisir et même du profit à se trouver avec eux ?

95. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48

Quand la pluralité des voix doit seule prononcer, il se trouve un petit Tribunal qui s’imagine que ses arrêts sont irrévocables.

96. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64

Si le ballet est le frère des autres arts, ce n’est qu’autant qu’il en réunira les perfections ; mais on ne sauroit lui déférer ce titre glorieux dans l’état pitoyable où il se trouve ; et convenez avec moi, Monsieur, que ce frère, fait pour faire honneur à la famille, est un sujet déplorable, sans goût, sans esprit, sans imagination, qui mérite à tous égards d’être méconnu.

97. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63

Pausan. lib. 6. ce trait se trouve dans tous les dictionnaires de la fable au mot Lybas.

98. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189

L’Amour paroît ; Diane, en voulant le fuir, se trouve dans les bras d’Adonis.

99. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

Rousseau, il y a bien des canevas dans nos opéras qui, pour l’ordinaire, n’ont ni sens ni esprit, et où la prosodie Française se trouve ridiculement estropiée. […] Ces chansons accompagnées de la lyre, et dont Terpandre fut l’inventeur, s’appellent scolies, mot qui signifie oblique ou tortueux, pour marquer la difficulté de la chanson, selon Plutarque, ou la situation irrégulière de ceux qui chantaient, comme le veut Artemon : car comme il fallait être habillé pour chanter ainsi, chacun ne chantait pas à son rang, mais seulement ceux qui savaient la musique, lesquels se trouvaient dispersés çà et là, placés obliquement l’un par rapport à l’autre. […] Une vraiment belle femme, de quelque nation qu’elle soit, le doit paraître dans tous les pays où elle se trouve ; parce que les belles proportions ne sont point arbitraires. […] En fallait-il davantage à un musicien que la cour et la ville louaient sans cesse, qui pour soutenir son théâtre, se trouvait sans doute pressé dans ses compositions, et qui marchait au surplus en proportion des forces de ses exécutants et des connaissances de ses auditeurs.

100. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Par cette concession tous les congés auxquels elle avait droit en vertu de ses deux engagements se trouvaient éteints jusqu’au 18 juin 1841. […] De Florence, où Fanny se trouvait en 1847, elle rapporta un autre souvenir fort précieux, un moulage de sa jambe. […] La veille de la représentation d’adieux, les artistes des troupes impériales, russe et française, lui offrirent un bracelet avec ces deux inscriptions : « A Fanny Elssler, les artistes de Moscou ». — « Au cœur le plus noble, au talent le plus beau. » Le jour des adieux « dès le matin, Moscou se trouvait dans l’attente de quelque chose d’extraordinaire ». […] Le kalatche était en carton ; il s’ouvrait ; à l’intérieur se trouvait un bracelet d’une valeur de plus de trois mille roubles argent, produit d’une souscription organisée par le prince Galitzin.

101. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71

De fait, le corps répond tellement à ces impressions que, parfois, quand le choc est violent, la vie se trouve suspendue et parfois même quitte complètement le corps.

102. (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226

Sa partie a donc été perdue et elle se trouve dans une bien triste position.

103. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128

Si le Ballet est le frere aîné des autres Arts, ce n’est qu’autant qu’il en réunira les perfections ; mais on ne sauroit lui déférer ce titre glorieux dans l’état pitoyable où il se trouve, & convenez avec moi, Monsieur, que ce frere aîné fait pour plaire, est un sujet déplorable, sans goût, sans esprit, sans imagination, & qui mérite à tous égards l’indifférence & le mépris de ses sœurs.

104. (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »

Tout ce qui a servi à Eschyle, à Sophocle, à Euripide et à tous les Poètes Dramatiques de l’Antiquité, se trouve compris dans sa liste.

105. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »

Celle du nôtre lui est cependant très supérieure5 ; et je prouverai, malgré cela qu’elle n’est encore en comparaison de celles des Romains, que dans l’état où se trouverait un jeune homme rempli de dispositions heureuses, avant que des maîtres habiles les eussent développés.

106. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60

Combien d’inconséquences, d’absurdités, de platitudes, tranchons le mot, n’entend-on pas dans ces nouveautés éphémères, fautes qui se trouveraient naturellement supprimées !

107. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XI. » pp. 145-156

Ici le point fixe ou l’appui se trouve à l’extrémité du pied, la résistance ou le poids du corps porte sur le cou-de-pied, et la puissance qui éléve et soutient ce poids, est appliquée au talon par le moyen du tendon d’Achille : or, comme le levier est plus grand dans un pied long et plat, le poids du corps est plus eloigné du point d’appui, et plus près de la puissance : donc la pesanteur du corps doit augmenter, et la force du tendon d’Achille diminuer en proportion égale.

108. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Voilà le spectateur chez lui par l’inéptie de l’artiste : et l’homme de goût qui vouloit être transporté à deux mille lieues de Paris est tout étonné de se trouver dans l’eglise de Ste.

109. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134

A la fin de cette scène nocturne, dont il est impossible de décrire les situations variées et les tableaux qui en résultent, l’Amour se trouve soudainement accablé de sommeil.

110. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314

Ici le point fixe ou l’appui se trouve à l’extrêmité du pied, la résistance ou le poids du corps porte sur le coudepied, & la puissance qui éleve & soutient ce poids est appliquée au talon par le moyen du tendon d’Achille ; or comme le levier est plus grand dans un pied long & plat, le poids du corps est plus éloigné du point d’appui & plus près de la puissance, donc la pesanteur du corps doit augmenter & la force du tendon d’Achille diminuer en proportion égale.

111. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

M on intention, Monsieur, étant finir et de ne plus parler ballets, je vais rassembler les idées éparses qui se trouvent dans mes ouvrages et en ajouter de nouvelles, pour présenter dans un seul cadre ce que les maîtres de ballets doivent savoir et ce qu’ils doivent pratiquer. […] Lorsque le génie se trouve-là, tout disparoit pour faire place à la nature.

112. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

Qui aurait pu penser alors que la pauvre petite fille de l’Ouest viendrait un jour à Paris, y monterait sur une scène, elle aussi, devant un public frémissant d’enthousiasme et que Sarah Bernhardt se trouverait dans la salle à son tour pour applaudir cette petite fille de l’Ouest, comme la petite fille de l’Ouest venait de l’applaudir aujourd’hui ?

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