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86. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155

« Mes bonnes amies, leur disait-il, soyez charmantes, coquettes ; montrez dans tous vos mouvements la plus entraînante liberté : il faut que, pendant et après votre pas, vous inspiriez de l’amour, et que le parterre et l’orchestre… » On lira la fin de la phrase chez Véron56. […] Toutes deux eurent de puissants amis dans l’armée. […] Son ami ne trouva d’autre moyen de la sauver que de l’épouser.

87. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

— Cher ami, vous n’y pensez pas ! […] Celui-ci, pour obéir à cette injonction, s’étant rendu au For-l’Évêque, y tomba au milieu d’un joyeux souper que mademoiselle Dorival terminait avec des amis. […] Elle avait soixante-quatre ans, lorsque, cédant aux sollicitations d’amis intimes, elle consentit à donner pour eux seuls une définitivement dernière représentation.

88. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119

Mais la bonne volonté, comme disait une ancienne biche de mes amies, c’est insuffisant.

89. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87

Cicéron fut l’ami de Roscius ; c’est faire l’eloge de cet acteur.

90. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75

Un esprit libéral, de mes amis, affirme que le cancan est, lui aussi, un produit de 89.

91. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-

Seulement cette fois je n’étais plus une inconnue, comme en 1892, j’avais de nombreux amis parisiens dans la salle.

92. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-

L’un des acteurs de la troupe se trouvait justement à Paris et je l’envoyai à Anvers avec deux de mes amies.

93. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »

J’ai, en Russie, un ami très cher : un de nos plus subtils critiques.

94. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108

Ses amis, honteux de sa foiblesse, emploient de leur côté tout ce qui peut le ramener à son devoir : ils l’arrachent des bras d’Armide, à la quelle il fait les plus tendres adieux.

95. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136

Je le souhaite ; les amis de l’humanité forment le même vœu ; il est général, il intéresse cent millions d’individus accablés et ruinés par le fléau destructeur de la guerre.

96. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Véron nous renseigne sur la nature de la maladie : « Presque immédiatement après ma retraite, Mlle Taglioni déclara un mal de genou ; on convoqua tous les médecins et chirurgiens ordinaires et extraordidaires de l’Opéra : mes amis de Guise, Roux, MM. […] Trois ou quatre ans après, mon ami Adam fut appelé comme compositeur à Saint-Pétersbourg. […] Elles y retrouvaient leur frère et tout un cercle d’amis. […] Une farandole fut menée avec une telle fougue qu’un artiste, porteur d’un nom sympathique à tous les amis de la danse, le jeune Mérante, fut lancé par-dessus la rampe et vint tomber avec fracas sur un musicien de l’orchestre.

97. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

Il profita d’un moment favorable pour lier conversation avec l’Ondin, dont il devint l’ami, et qui lui rendit visite dans sa chaumière, le priant de venir à son tour le visiter. […] Il maudit sa faiblesse et le pouvoir qui l’obsède, mais la résistance est impossible : il va, il avance toujours, victime passive d’une force étrangère à sa volonté ; déjà, sur les lèvres souriantes de l’Ondine prête à s’engloutir, on peut lire la joie et l’orgueil du triomphe, lorsque les amis de Mattéo accourent et l’arrachent à cette situation périlleuse et singulière.

98. (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23

Un jour, poussé par la fantaisie, la seule muse qui l’ait trouvé docile, notre ami Charles Nodier s’en va visiter les montagnes de l’Écosse. […] Effie, indignée, accable Gurn de ses mépris, elle rend à son ami ses grâces les plus charmantes, elle est toute prête à l’épouser, elle est heureuse et confiante.

99. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81

Heureusement, mes amis étaient à la gare.

100. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80

J’arrivai à Rome, et je déscendis dans les voûtes souterraines, où reposent les restes des hommes, qui fixèrent par leurs talens l’admiration d’un peuple enthousiaste, et ami des arts ; ces tristes monuments n’étoient éclairés que par une ouverture étroite le propre à laisser passer un foible rayon de lumière.

101. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96

Ovide, en répondant à un ami qui lui annonce le succès de sa Médée, s’éxprime ainsi : « Lorsque vous m’écrivez que le théâtre est plein, qu’on y danse ma pièce, et qu’on applaudit à mes vers etc. » Voilà donc le mot danser mis à la place de déclamer.

102. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

La danseuse que la reine de Wurtemberg choisissait pour amie et que le roi de Bavière proposait à ses filles comme un modèle de grâce et de bonne tenue était honorée des mêmes attentions dans les palais de Saint-Pétersbourg et de Potsdam. […] Gœthe, arrivé à sa pleine maturité, était un classique, ami des formes plastiques aux contours précis, tandis que le domaine où Marie Taglioni se confinait était le monde vaporeux du romantisme. […] Chez cette danseuse que l’on représente comme un modèle de naturel, l’amie de Fanny Elssler découvre une grâce étudiée, des effets cherchés et calculés.

103. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Un poète de nos amis trouva dans une légende allemande, pour cette blonde Italienne aux prunelles de vergiss-mein-nicht, un sujet de ballet qu’il confia à M. de Saint-Georges, l’homme d’esprit et de tact à qui l’Académie royale de musique et de danse doit être doublement reconnaissante. […] Elle ne se sent plus que des ailes, et si elle chante, ce n’est que devant ses amis, quelque air du Tyrol ou de Venise auquel elle prête un charmant cachet local.

104. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36

Les Pyladiens, les Batylions, et les Hylasiens devinrent amis, mais par une inconstance rare, ou par un effet de cet esprit inquiet et remuant, qui portoit toujours les Romains vers les extrêmes, ils commencèrent à murmurer, et à se plaindre d’Auguste.

105. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

— Son nez, affirmait une amie, rappelle ces triangles qui sont plantés au milieu d’un cadran solaire.

106. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Elle refusa de venir en aide à son directeur dans l’embarras, à son ami, à son séide de 1827. […] Carlotta est une fée depuis le bout des orteils jusqu’au bout des doigts : une bonne petite fée qui a toujours du cœur et du dévouement au service de ses amis. » *** Perrot tenait beaucoup à ce que son élève reçût des leçons des meilleurs maîtres de chant. […] Nulle fatigue, nul effort ; ni sueur, ni respiration entrecoupée ; ces merveilles accomplies, Carlotta retourne s’asseoir sous les grands arbres séculaires de la place de Gand, comme une jeune femme qui viendrait de danser une contredanse dans un salon. » Plus tard encore, après le grand succès de la Péri, — dont il est l’un des auteurs, avec Coralli et Burgmuller, et dont il rend compte, sous forme de lettre, à son ami Gérard de Nerval, — l’inimitable écrivain continue à prodiguer à sa ballerine favorite, à l’héroïne de cette orientalerie toutes les caresses de sa plume, tous les trésors de sa palette et de son pinceau : « Le pas du Songe a été pour Carlotta un véritable triomphe.

107. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195

A la lueur d’une lampe suspendue dans la chambre nuptiale, Lincée découvre ses frères massacrés et baignés dans leur sang ; la vue d’un tel spectacle le transporte de fureur ; il veut courir au secours de ses frères ; il veut venger leur mort par celle dn cruel Danaüs ; mais ne pouvant plus soutenir l’idée de tant de forfaits, ni résister à la violence de sa douleur, il tombe sans connoissance dans les bras d’Hypermnestre, elle l’entraîne avec le secours de quelques amis fidèles hors de ce lieu d’épouvante ; elle leur confie les jours de son époux ; elle se retire en implorant leur secours, et en leur recommandant de prendre la fuite avec Lincée.

108. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147

Les amis de ce héros, attachés à sa gloire, l’arrachent des bras de Didon et l’entraînent sur son vaisseau.

109. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Pylade, ami d’Oreste. […] Oreste se relève, éprouve la même émotion, les mêmes sentimens, et se jette dans les bras de sa sœur ; il lui présente son ami fidèle ; et Electre lui montre sa sœur Iphise qui étoit au Berceau lorsqu’il quitta Mycènes ; il l’embrasse tendrement et remercie de ciel du bonheur qu’il lui accorde.

110. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114

Les amis de l’époux ne peuvent s’affliger pendant que l’époux est avec eux ; il viendra un temps que l’époux leur sera ôté, et alors ils jeûneront.

111. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60

Maris, n’allez pas croire que je parle d’un certain geste expressif, qui met toujours une femme à la raison ; si je vous donnais un tel conseil, la conversation serait trop tôt finie, & vous n’en seriez pas meilleurs amis : je crois seulement que vous en devez faire la démonstration, &, à force de la réitérer à propos, vous aurez la paix dans votre ménage.

112. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

j’ai si constament vu le contraire, que je me persuade qu’il n’y à qu’un Prince ami des arts et protecteur des talens ; ou le théatre des arts, (qui puisse offrir ce grand et vaste cadre qui réuniroit à la fois tous les genres de beautés.

113. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212

Garrick eût été nommé plusieurs fois membre du parlement d’Angleterre, s’il l’eût voulu ; à chaque élection des amis puissants vouloient le mettre sur les rangs ; il les remercioit ; heureux, leur disoit-il, d’avoir votre amitié, votre estime, et de jouir des bontés du public ; qu’ai-je à désirer de plus précieux, de plus flatteur ?

114. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

« Peut-on s’imaginer, s’écrie-t-il, qu’un maître appelle son valet ou qu’il lui donne une commission en chantant ; qu’un ami fasse en chantant une confidence à son ami ; qu’on délibère en chantant dans un conseil ; qu’on exprime avec des chants les ordres qu’on donne, et que mélodieusement on tue les hommes à coups d’épée et de javelot dans un combat. » Enfin, sa mauvaise humeur le conduit à définir l’opéra, un travail bizarre de poésie et de musique, où le poète et le musicien, gênés l’un par l’autre, se donnent bien de la peine à faire un mauvais ouvrage. […] Elle ressembla à toutes les apothéoses et à toutes les inaugurations ; on chanta des chœurs : Le digne ami du peuple et l’émule des mœurs Sont tombés sous les coups d’un glaive sanguinaire, Marat, Marat n’est plus ! […] Après qu’on avait déposé les fleurs et attaché les guirlandes, on reprenait : Écartez de vous les profanes, Les lâches partisans des rois, Et jurez de venger les mânes Des amis des mœurs et des lois.

115. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Un de ses amis, nommé Regnauld, pharmacien dans la rue Caumartin, mourait en 1824, laissant une formule de pâte pectorale qu’il avait inventée. […] Si vous avez beaucoup d’amis dans la salle qui veulent l’entreprendre, je le ferai continuer par mes hommes ; mais je ne réponds de rien.

116. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

) est une espèce de petit poème fort court auquel on joint un air, pour être chanté dans des occasions familières, comme à table, avec ses amis, ou seul pour s’égayer et faire diversion aux peines du travail ; objet qui rend les chansons villageoises préférables à nos plus savantes compositions. […] Telle est cette chanson d’Aristote sur la mort d’Hermias son ami et son allié, laquelle fit accuser son auteur d’impiété. […] « Le premier de tous les biens est la santé ; le second, la beauté ; le troisième, les richesses amassées sans fraude ; et le quatrième, la jeunesse qu’on passe avec ses amis ».

117. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

En la voyant, vieillards, enfants, hommes et femmes, tous se mirent à pleurer dans le paroxysme d’une chaude sympathie pour la célèbre artiste au moment le plus doux de son triomphe, et, on peut le dire, à l’apogée de sa carrière, couronnée de gloire et surtout de l’amour et de l’estime du monde civilisé… Succombant sous une sensation trop vive pour une poitrine de femme, elle tomba à genoux devant la montagne de fleurs semée à ses pieds ; et, détachant le bracelet, doucement, lentement et gracieusement elle baisa chacune des six pierres formant les six lettres du nom de Moscou… Le ballet ne pouvait continuer, les spectateurs, Esmeralda, les acteurs, les coryphées, le corps de ballet, l’orchestre même ne cessant de pleurer comme des amis à l’approche d’une séparation inévitable. » Il y eut quarante-deux rappels, plus de trois cents bouquets, et même « une version digne de foi les fait monter à six cent vingt ». […] Rien n’y fit ; la maîtresse de maison appuya la supplication des amis, et Fanny Elssler se leva de son fauteuil. […] Ces qualités étaient, au dire de son ami, l’ordre, la propreté, l’économie, la bonne tenue, l’amour du foyer154.

118. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

Si dans un opéra, il y a un incident, un coup de théatre, une action dont dépende le dénouement ; si par exemple, le spectateur touché de la situation malheureuse d’Oreste, prêt à être immolé à la fureur de Thoas, si dans ce moment, dis-je, je vois Pilade et sa suite se préparer à voler au secours de son ami, si j’apperçois le glaive destiné à punir le tyran ; je prévois le dessein de Pilade, je m’en occupe, j’oublie les acteurs qui sont en scène, mon attention se partage, et mon imagination se divise, pour ainsi dire, entre les deux objets qui l’ont frappée. […] Le citoyen, ami des arts, a rempli sa tâche, quand il a proposé des vues et des idées qu’il croit utiles.

119. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71

Je vais l’essayer, mon petit ami, mais cela me paroit fort extraordinaire.

120. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55

  Voilà, Madame, ce que les amateurs des arts m’ont dit ; voilà ce que les hommes les plus distingués par leur mérite et leurs mœurs m’ont raconté ; voilà la façon de voir et de penser de tous les Français amis de leur patrie.

121. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

Celui-ci, le soir de la répétition générale de la Révolte au Sérail, — les répétitions générales avaient lieu à huis clos et n’étaient pas, comme aujourd’hui, de vraies premières représentations, — celui-ci, disons-nous, qui n’était alors que général, se trouvait dans les coulisses, avec un de ses amis, le comte Courand.

122. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96

Aristée, ami tendre, mais amant fidèle, exprime son trouble et sa situation de cent manières différentes ; il éprouve mille combats, il veut suivre Thémire, mais il ne veut pas quitter. Tircis ; il veut consoler l’amante, mais il veut secourir l’ami.

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