Ma qualora il Fioretto si vuol fare dallato ovvero in giro, nel qual caso deesi cominciare dalla seconda positura, non si conviene, propiamente parlando, dire Fioretto in Iscacciato, perciocché nell’uno, né nell’altro modo un piè non urta, né scaccia l’altro, e piuttosto viene ad essere un Fioretto in passo Sfuggito.
Onde se, per avventura adoperandole, non si serbasse una matematica esattezza (purché non si venisse ad uscire fuori della linea sopra cui si deono i piedi appoggiare), non si commetterebbe alcun fallo: tanto maggiormente che chi balla non ha né piedi, né chi guarda nel visivo senso il compasso, per non incorrere o per osservare gl’insensibili difetti che mai possono intervenire.
L’Auteur ayant encore le bonheur de vous appartenir, sent déjà ce feu sacré dont la reconnoissance embrase les ames bien nées.
Né questo solo, ella dà pure alle membra una bella disposizione, che accresce aria ed un bel portamento al nostro corpo.
[3] Non recherò segni di corografia; farò larga la spiega, senza metter agli occhi tante cifre, che recheran confusione anzi che no: né que’ segni sono bastanti ad indicare tutti i movimenti che fansi in un passo: ma solo vagliano da qual positura cominciano ed in qual finiscono.
Haydn servit aussi de parrain à tous les enfants nés de ce mariage. Le second des fils de Joseph, Jean-Florian, qui fut le père de Fanny, naquit à Eisenstadt, le 3 mai 1769. […] Du mariage de Jean-Florian Elssler avec Thérèse Prinster naquirent six enfants. […] Après un quatrième enfant qui mourut en bas-âge, vinrent les deux célébrités de la famille, Thérèse, née le 5 avril 1808, et Franziska, dite Fanny, née le 23 juin 1810. […] Haydn, mort le 31 mai 1809, ne put assister que du haut du ciel, sa dernière demeure, au baptême de Fanny, née le 23 juin 1810.
Ces deux objets firent naître l’idée de lui en faire remplir un troisième.
C’est pourquoi, lorsque vous portez votre premier pas à la 2e position (ce pas se faisant après un autre pas, qui vous engage à avoir un bras opposé) le bras qui est opposé devant, s’étend de haut en bas, & l’autre bras qui est étendu fait un petit mouvement du poignet de haut en bas, aussi parce qu’il faut que vous tâchiez quand vous faites un mouvement d’un bras, que celui qui est étendu fasse une petite action qui accompagne : ainsi c’est jusques dans ces moindres parties que naissent cette grace & cette delicatesse dont j’ai parlé ci-devant.
Nous naissons avec elle ; il est inutile pour vous convaincre de cette vérité, de vous citer pour exemple les Levantins, les Afriquains & tous les Peuples qui dansent, ou plutôt qui sautent & qui se meuvent sans principes. […] Insensiblement il donne du jeu, du ressort & de la souplesse, au lieu que la boîte ne sollicite qu’à des mouvements qui se ressentent plutôt de la contrainte que de la liberté qui doit les faire naître. […] Ceux qui naissent de l’habitude sont en grand nombre. […] L’habitude qui naît de l’enfance se fortifie dans la jeunesse, s’enracine dans l’âge viril ; elle est indestructible dans la vieillesse. […] Ce charme qui naît de l’harmonie des mouvements de la Musique & des mouvements du Danseur enchaîne ceux mêmes qui ont l’oreille la plus ingrate & la moins susceptible des impressions de la Musique.
Nel dettaglio son state conservate le maiuscole e l’ortografia dei nomi propri; rettificata l’ortografia di alcuni avverbi (daddosso → da dosso; peravventura → per avventura; perlaqualcosa → per la qual cosa; in somma → insomma; forsi → forse; leggiermente → leggermente; alcerto → al certo; più tosto → piuttosto; non dimeno → nondimeno; a punto → appunto; ognu’uno → ognuno; finattanto → fintanto); modernizzata l’ortografia delle preposizioni (su la → sulla; co i → coi; de i → dei), soppressa la “j” al posto delle “ii”; normalizzato l’uso dell’apostrofo (un altra → un’altra), corretto gli accenti (nè → né), rettificate ancora le seguenti parole: mezo → mezzo; Pariggi → Parigi; legiadro → leggiadro; esemplo → esempio; franzese → francese.
Cest pourquoy ie me suis resolu le donnant aux yeux & iugement de tous, de le pouruoir d’une puissante protection, par l’offre que i’en fais a vostre Grandeur, assuré que l’affection quelle a tesmoigné auoir a son subiect par la perfection quelle sen est acquise, ne la pourroit rendre que fauourable a vne ambition qui a pris pour obiect l’vtilité d’un public & laquelle ie desire passionnement (Monseignevr) estre suiuie d’une occasion ou mon affection & ma vie se portent ensemble pour marque que ie m’estime né pour mourir De Vostre Grandeur Le tres humble & tres obeissant seruiteur, F.
Loret, lettre du 14 février 1665 Une Mascarade galante, Ou, du moins, comique et parlante, Dont le sujet vraiment follet, Ne plaît guère moins qu’un Ballet, Étant des mieux imaginée Par une Âme rare et bien née, Cependant que j’écris ceci, Dans le Palais Royal, aussi, Lieu de respect et de plaisance, Pour la dernière fois se danse.
Tantôt ce sont des drames et des tragédies, dont les sujets pauvres et décharnés sont sans mouvement, et peu propres à faire naître l’illusion, et à nous entraîner à l’admiration. […] Ici, c’est, un grand ballet d’une longueur mortelle, le sujet en est beau et intéressant ; il prête à l’action pantomime, et est propre à faire naître une foule de tableaux d’autant plus séduisans, qu’ils sont variés à l’infini ; mais ce sujet fait pour séduire et pour émouvoir se trouve éclipsé par un corps de danses insignifiantes qui en coupe le fil, en rompt la trame, et n’offre plus à l’imagination que les lambeaux épars de la pièce. […] L’ennui naît de la satiété, car l’homme est facilement transporté vers les extrêmes, le plaisir, et la peine. […] Il est des vices ou des déffauts de construction qui ne peuvent s’éffacer, et qui arrêtent également le maitre et l’élève ; raison suffisante pour rejetter de l’école des graces les enfans mal batis, mal constitués, et d’une figure désagréable ; lorsque l’on se consacre aux plaisirs du public, il faut être né avec toutes les dispositions que l’art du théatre exige, et si l’homme qui s’y destine n’a pas été primordialement favorisé par la nature, il languira dans la médiocrité, et l’art qu’il appellera vainement à son secours, ne lui prêtera que le masque infidèle de la nature. […] Marcel, profitant de l’engouement que son charlatanisme avoit fait naître, disoit à une Duchesse : « Madame, vous venez de faire la révérence comme une servante ; a une autre, Madame vous venez de vous présenter en Poissarde de la Halle ; quittez, Madame, quittez ce délabrement du maintien, recommencez votre révérence, n’oubliez jamais vos titres de noblesse, et qu’ils vous accompagnent dans vos moindres actions. » Tantôt, Marcel, imposteur adroit, avoit l’air de tomber en extase, la tête appuyée sur sa canne, il ruminoit sans mouvement, et feignant un enthousiasme que son demi-talent ne pouvoit lui inspirer, il s’écrioit avec emphase : que de choses dans un menuet !
Ce dernier était esclave de Mécène, il était né, comme je l’ai déjà dit à Alexandrie, et il avait vu Pylade en Cilicie. […] Il les habilla avec magnificence, et ne laissa rien à désirer, pour faire naître, entretenir, et l’illusion.
Prefazione [1] La Danza nasconde il suo natale nelle tenebre di una sì remota antichità, che determinatamente non si ha potuto concludere della sua origine, né da’ più rinomati Autori si ha potuto ricavar mai, e decidere con affirmazione sì fatta epoca. […] [2] Presso de’ Greci è stata in grande usanza, celebrando i Sacrifici alle loro Deità e precisamente nelle feste de’ Baccanali, che dopo di aver tranguggiato de’ generosi liquori, ponendosi in allegrezza, mettevasi tutto il meccanismo del corpo in moto ed agitazione, né potendo in quell’orgasmo le membra aver riposo, ciascuno di essi sentivasi un segreto impulso di lanciarsi, di tendersi, di muoversi, e così impazientemente dandosi di lancio, formavano danze irregolari senza artificio veruno, ma come la natura spingeva la loro brillante macchina rallegrata da dolci nappelli: onde naturalmente si fa argomento che abbia avuto l’origine sua rozza e semplice.
Delle false [8] Le posizioni “false” son pur cinque, e sono necessarie a sapersi per essere adoprate in Teatro da ballanti Grotteschi quasi in tutti i caratteri, e particolarmente nel ballare i passi all’Inglese, all’uso però Italiano; poiché nel loro ballar nazionale non usano positure né vere, né false: ma il loro ballare si rende vago e leggiadro per la grande franchezza con cui viene adoprato.
La Scène est pompeuse et brillante, Plus que n’est la Sphère roulante D’où chaque jour naît la Clarté, Et notre auguste MAJESTÉ, Guerrière comme un Dieu de Thrace, Des Pas de Souverain y trace, Parmi ceux de ses Courtisans, De Compliments grands Artisans.
Les hommes, indignes de ce nom, et nés pour le malheur de l’espèce humaine, pouvaient être retenus, par la crainte d’être un jour exposés sans ménagement à la haine publique, à la vengeance de leurs contemporains, au mépris de la postérité.
Né solamente può terminarsi il passo Tronco con un passo Naturale, ma anche col battimento di piede: il quale come si debba adoperare, appresso nel suo capitolo mostreremo.
[3] Al dì d’oggi l’intolleranza de’ Discepoli non vuole ammetter tempo: non si assodano, né si esercitano almeno negli equilibri, base principale della Danza.
Ce seroit ici l’occasion d’en étaler toute la grandeur, de parler de l’éclat de votre Sang, né pour former nos Rois, & de ce haut courage qui en est l’ame : mais il n’est permis qu’à des génies capables de manier adroitement la loüange, de vous en donner une digne de vous, & de raconter toutes les qualitez qui vous font estimer & aimer personnellement de toute la France.
Et de plus chacun sçait que Monsieur de Beauchamp a été un des premiers qui les a mis au jour ; & qu’il en donnoit les regles, & c’est-là ce qui a fait naître le desir à tant de personnes de l’un & de l’autre sexe de s’y exercer, pour y augmenter tous les agrémens qu’ils ont aujourd’hui, & qu’ils n’auroient pas si tous ces excellens sujets n’y eussent donné leurs soins & leurs attentions.
Les aventures que le Masque servait, ou faisait naître, les caractères divers de Danse qu’il donnait occasion d’imaginer, l’amusement des préparatifs, le charme de l’exécution, les équivoques badines auxquelles l’incognito donnait lieu, firent et devaient faire le succès de cet amusement, qui tient autant à l’esprit qu’à la joie.
Mélodies qui naissent, s’exhalent et se meurent dans un imperceptible soupir.
[4] La terza maniera di muover le braccia si è quella che oggidì s’usa, la quale è parimente a tre tempi, e che invero è di gran lunga più nobile e graziosa delle altre due di sopra descritte, e si adopera nel modo che siegue: si distendano in prima liberamente e senza fare alcuna forza, le braccia allato agli angoli delle tasche, più vicini alle pieghe della giubba, tenendosi le mani colle palme non del tutto serrate né aperte, ma sì nel mezzo di questi modi, rivolte verso la giubba.
Per la qual cosa ho chiaramente coll’esperienza ravvisato il peso della vostra grandezza e la leggerezza della mia insufficienza; e che io posso dall’Eccellenze vostre esser colmato di benefizi, ma che non posso né anche in picciola parte soddisfargli.
Sicché ogni piede fa due moti; né si denno partire da terra quando la punta si rivolge dentro, e quando fuori il calcagno.
91. 4. fait n’aître, lisés : fait naître.
Né solamente si deono appellare linea retta, diametrale, obliqua e circolare, le qui sopra recate, ma eziandio tutte le lor parallele.
Par là, tous les désordres qui en naissent, à l’égard de tant de personnes, si vous voulez, plus foibles que vous, retombent sur votre tête : car comme il n’y auroit personne qui s’empressât de préparer les lieux et les assemblées destinés à ces divertissemens, si personne n’y étoit présent, il s’en suit qu’il est certain qu’il suffit d’en être spectateur et d’y prendre part, pour être condamné au feu de l’enfer aussi bien que ceux pour qui ils auront été une occasion de péché.
Je ne douterois pas que l’on ne m’accusât d’indifference, ou bien de ne sçavoir montrer qu’aux hommes, si je ne marquois du zele & de l’attention pour l’instruction du beau Sexe, lui qui est l’ame de la danse, & qui lui donne tout le brillant qu’il a, outre que je retrancherois ce que la Nature a fait de plus gracieux ; c’est que sans la presence des Dames la danse n’est pas si animée, car ce sont elles qui font naître cette ardente & noble émulation qui paroît entre elles & nous quand nous dansons ensemble, & sur-tout avec celles qui possedent cet exercice, desquelles il y a un assez grand nombre, car rien ne me paroît plus interessant à une compagnie que de voir danser deux personnes de l’un & de l’autre sexe avec justesse, que d’applaudissement !
Quoique le Piroüetté soit de ces pas qui se fassent en place, & qu’il semble que l’on ne doit pas y faire beaucoup de façon ; néanmoins il demande autant d’application que les autres pas, & c’est en cela que je trouve l’étenduë de la danse ; puisque de ces pas mêmes qui nous paroissent les moins difficiles, naissent des graces infinies, quand on veut s’adonner à bien danser ; & c’est à quoi j’exhorte tous ceux qui voudront s’y perfectionner.
C’étaient NYMPHES, BERGERS, BERGÈRES, Que l’on voit peu sur les fougères ; Des GENTILHOMMES DU PAYS, Dont l’un rend les Yeux éblouis ; Un certain OUVRIER d’ARMÉE, De très illustre renommée ; La Femme, d’aspect assez beau, Du Capitaine du Château, Et (faisant son Éloge en somme) Qui gouverne aussi bien qu’un homme ; Des COURTISANS les plus Galants, Les plus coquets, les plus brillants ; Des BOHÉMIENS nés dans la FRANCE, Et vraiment tous Gens d’apparence, Et des BOHÉMIENNES aussi, Qui ne sont pas de loin d’Ici Et qui ne coupent pas les bourses, Mais volent les Cœurs sans ressources.
La danse naissait à peine de son temps, et il avait pressenti qu’elle serait un des principaux agréments du genre qu’il avait créé : mais comme elle était encore à son enfance, et que le chant avait fait de plus grands progrès ; que Lully se contentait de former ses divertissements de deux airs de violons, de trois tout au plus, quelquefois même d’un seul ; qu’il fallait cependant remplir le temps ordinaire de la représentation, Quinault coupait ses poèmes de façon que la déclamation suffît presque seule à la durée de son spectacle : trois quarts d’heure à peu près étaient occupés par les divertissements, le reste devait être rempli par la scène. […] La grande règle est qu’ils naissent du sujet, qu’ils fassent partie de l’action, en un mot qu’on n’y danse pas seulement pour danser. […] Que tous les agréments naissent du sujet même. […] Tout enchantement qui ne naît pas du sujet qu’on traite, qui ne sert point au développement de la passion, et qui n’en est pas l’effet, est donc vicieux, et ne saurait produire qu’une beauté hors de place ; cette espèce de merveilleux ne doit être employé à l’opéra qu’à propos. […] L’art du théâtre, quoique traité alors avec les plus belles ressources du génie, ne faisait cependant que de naître ; ils ne l’ont connu que dans son enfance, mais c’était l’enfance d’Hercule qui jouait avec les lions.
C’est cet attachement que l’art du Théâtre inspire ; c’est cette attention suivie et involontaire qu’il fait naître, qu’on ai nommé intérêt, et il a autant de caractères plus ou moins vifs, qu’il y a de genres d’actions propres au théâtre.