Dans le chapitre précédent, j’ai omis de parler d’une petite actrice qui a bien aussi son côté bizarre. […] Je suis un peu comme les amoureux, moi ; j’adore parler longuement de ce que j’aime. […] Il joue de la flûte, du piano, de l’accordéon ; il parle italien, et pourrait au besoin donner des leçons de latin à M. […] X Tout à l’heure je parlais des travaux de géant qu’il fallait accomplir pour monter une pièce à spectacle, comme on en joue habituellement aux Délassements.
Je ne parle point de cette partie du public, qui en est l’ame et le ressort, de ces hommes sensés qui, dégagés des prejugés de l’habitude, gémissent de la dépravation du goût, qui écoutent avec tranquillité, qui regardent avec attention, qui pèsent avant de juger, et qui n’applaudissent jamais que lorsque les objets les remuent, les affectent et les transportent : ces battemens de mains prodigués au hazard ou sans ménagement, perdent souvent les jeunes gens qui se livrent au théatre. […] Si de simples images m’entrainent à l’illusion ; si la magie de la peinture me transporte ; si je suis attendri à la vue d’un tableau ; si mon âme séduite est vivement affectée par ce prestige ; si les couleurs et le pinceau dans les mains du peintre habile, se jouent de mes sens au point de me montrer la nature, de la faire parler, de l’entendre et de lui repondre ; quelle sera ma sensibilité, que deviendrai-je, et quelle sensation n’éprouverai-je pas à la vue d’une représentation encore plus vraie, d’une action rendue par mes semblables ? […] N’entreprenez jamais de grands dessins, sans en avoir fait un plan raisonné ; jettez vos idées sur le papier, relisez les cent fois ; divisez votre drame par scènes ; que chacune d’elles soit intéressante, et conduise successivement sans embarras, sans inutilités, à un dénouement heureux ; évitez soigneusement les longueurs ; elles refroidissent l’action et en ralentissent la marche : Songez que les tableaux et les situations, sont les plus beaux momens de la composition : faites danser vos figurans et vos figurantes, mais qu’ils parlent, et qu’ils peignent en dansant ; qu’ils soient pantomimes, et que les passions les métamorphosent à chaque instant.
Le geste noble simple et naturel est l’ornement du discours ; il prêté de la dignité aux pensées, de l’énergie aux phrases ; il fortifie et augmente le charme de 1’ éloquence ; il est à l’homme qui parle, ce que sont les accompagnemens à l’homme qui chante. […] J’ai fait, d’accord avec la nature, trois élèves ; ils ont dans des genres opposés de très-grands talens : je parlerai d’eux lorsqu’il en sera tems, et en rendant hommage à la vérité, je ne pourrai me dispenser de faire leur éloge. […] Je termine, Monsieur, et après vous avoir entretenu du métier ; je vous parlerai de l’art, c’est à dire de l’expression et de cette pantomime animée qui est l’esprit et l’âme de la danse.
Pareils spectacles sont ma vie, De les voir j’ai toujours envie, J’y courrais bien plutôt qu’au feu ; Puis il faut que j’en parle un peu, Et que de ses pompeux mélanges J’instruise les Pays étranges21 De tous côtés, de bout en bout, Par mes Vers qui courent par tout ; Que si la Reine débonnaire, Dont ma Muse est pensionnaire, La Reine Mère de mon Roy, Ayant un peu de soin de moi, Me faisait l’honneur et la grâce (Ainsi que jadis dans Bourbon) Lors-que ce sera tout de bon : Quoi que j’aie déjà pour Elle Grand bienveillance et grand zèle, Je jure que mon amitié En augmenterait de moitié.
Or, pour ne parler que de la Danse, du Théâtre, je trouve dans ces inconvénients généraux de grands obstacles au progrès de l’Art, puisqu’il en résulte le malheur certain de ne voir jamais faire à nos Danseurs modernes, que ce qui a été pratiqué par les Danseurs qui les ont précédés, et je crois avoir déjà prouvé que la Danse n’a fait jusqu’ici sur notre Théâtre que la moindre partie de ce qu’elle aurait dû faire. […] La Danse cependant, par l’abus dont je parle, deviendra, dans cet endroit, une partie oisive, et par cette seule raison défectueuse.
Les trois parties dont on parle, sont, le commencement, le milieu et la fin, qui constituent tout ce qui est action. […] Vous avait-on parlé de Thymèle et d’Empuse ?
Après avoir pâli, séché sur un Ouvrage, on fait quelquefois en vain la courbette à un Libraire ; il desire avoir gratis les manuscrits qu’on lui présente, ou du moins pour très-peu de chose ; il vous dupe, s’enrichit, & l’Auteur meurt de faim : meurt de faim, façon de parler hyperbolique, qui approche pourtant de la vérité. […] Que deviendront les Comédiens, si j’amène la mode des Drames où l’on ne parle point !
Je ne parle point de cette partie du Public qui en est l’ame & le ressort, de ces hommes sensés qui, dégagés des préjugés de l’habitude, gémissent de la dépravation du goût, qui écoutent avec tranquillité, qui regardent avec attention, qui pesent avant de juger, & qui n’applaudissent jamais que lorsque les choses les remuent, les affectent & les transportent ; ces battements de mains prodigués au hazard ou sans ménagement perdent souvent les jeunes gens qui se livrent au Théatre. […] Si de simples images m’entraînent à l’illusion ; si la magie de la Peinture me transporte ; si je suis attendri à la vue d’un Tableau ; si mon ame séduite, est vivement affectée par le prestige ; si les couleurs & les pinceaux dans les mains du Peintre habile, se jouent de mes sens au point de me montrer la nature, de la faire parler, de l’entendre & de lui répondre ; quelle sera ma sensibilité ! […] N’entreprenez jamais de traiter de grands desseins, sans en avoir fait un Plan raisonné ; jettez vos idées sur le papier, relisez-les cent fois ; divisez votre Drame par Scenes ; que chacune d’elles soit intéressante, & conduise successivement sans embarras, sans inutilité à un dénouement heureux ; évitez soigneusement les longueurs ; elles refroidissent l’action, & en ralentissent la marche : songez que les Tableaux & les situations sont les plus beaux moments de la composition : Faites danser vos figurants & vos figurantes, mais qu’ils parlent & qu’ils peignent en dansant ; qu’ils soient Pantomimes, & que les passions les métamorphosent à chaque instant.
Je parle de tutu pour faire bref : Le tutu n’est qu’un signe, celui du rond de jambe, des bras en l’air, du sourire collé au visage humain, comme un masque de bouche à l’autre masque : même dans le feu, ce sourire est glacé.
il faudra bien m’en taire, Ou n’en parler dans les miens Vers, Sinon de tort et de travers.
Vous exigez des détails sur l’opéra ; vous voulez que je vous parle des gens à talens qui l’ont progressivement placé à côte de la perfection ; vous voulez enfin, que je me transporte vers l’année 1740.
Mais pour la bien faire, il faut que le talon du pied qui croise ne passe point la pointe de celui qui est derriere, ce qui seroit contre les regles ; car le corps ne se trouveroit pas dans son à plomb, outre que votre pied se croisant plus que la pointe, le pied qui marche reviendroit en dedans : c’est ce que l’on peut voir dans cette Figure, elle n’est croisée qu’autant que la regle le permet : dans toutes ces Positions j’ai observé de poser le corps d’à-plomb sur les deux jambes, ce qui fait voir par la distance qui s’observe que l’on peut lever un pied en se posant le corps sur l’autre sans faire de mouvement forcé ; je ne parle pas des fausses positions, parce qu’elles m’ont paru inutiles pour les jeunes personnes qui apprennent, je laisse ce soin aux Maîtres qui conduisent leurs Ecoliers ; & de plus c’est qu’elles ne se trouvent guere que dans les pas en tournant, ou dans les pas de Ballet.
Mais au cas que vous aïez à parler à quelqu’un, vous allez l’aborder en faisant de pareilles reverences que celles que vous avez faites en entrant, & en quittant vous faites deux reverences en arriere, & d’autres en passant, autant que la civilité le permet, ce qui n’a point de limites, l’usage du beau monde étant le plus grand maître.
La Pièce dont je parle ici, Laquelle a si bien réussi, Est un sujet noble et splendide, Et c’est la Princesse d’Élide.
La première ne parle qu’aux yeux, et les charme par la simétrie de ses mouvemens, par le brillant des pas et la variété des tems ; par l’élévation du corps l’aplomb, la fermeté, l’élégance des attitudes, la noblesse des positions, et la bonne grace de la personne. […] Ces cordes, quoique bien disposées, ne produiront entre elles que des sons faux et dissonants, lorsque l’art seul voudra les faire parler : mais elles obéiront, et rendront au contraire tous les tons propres au langage des passions, lorsqu’elles seront touchées par lâme, et que le coeur en déterminera toutes les vibrations. […] On me dira, sans doute, que cette comparaison n’a rien de relatif à l’acteur pantomime, puisqu’il doit parler sans voix ; je répondrai que ses gestes, le jeu varié de sa physionomie, l’expression animée de ses yeux sont autant de langues qu’il a à sa disposition ; j’ajouterai à tous ces moyens ceux que la musique expressive offre à la pantomime ; elle en est l’organe, et lui fournit tous les accens dont elle peut avoir besoin.
Je ne le savais pas et continuai à lire les jounaux, me grisant des articles qui parlaient d’elle. […] Quand je m’arrêtai de parler, mes dents se mirent à claquer si fort que j’en eus la langue toute coupée. […] Mon Dieu, me faudrait-il à nouveau parler devant tous ces gens ? […] Je ne pouvais ni parler, ni presque respirer, à peine pouvais-je prendre sur moi de la régarder. […] Je lui fis signe de se pencher vers moi pour que je pusse lui parler à l’oreille.
A leur place, les jeux, les danses dissolues, les intempérances, les querelles s’y pratiquent hautement ; voilà, sans doute, de grands maux qui sont dignes de la compassion et des gémissemens des gens de bien… La véritable charité ne doit point se lasser de parler sans cesse contre les vices enracinés, et les mauvaises coutumes, que je viens de toucher. […] Jean comme ayant des couronnes d’or et des cheveux de femme, et étant semblables à des chevaux préparés au combat, signifient que les démons se servent des personnes de l’autre sexe qui dansent, et qui, avant d’aller à la danse, ont plus de soin de se parer que dans toute occasion, pour attaquer et faire tomber les serviteurs de Dieu, qui sont les ennemis de ces esprits de malice. » Le même saint continuant à parler contre les danses, traite d’ennemis de Dieu ceux qui les aiment ; et il ajoute qu’il n’est pas étonnant qu’on les regarde comme tels, puisqu’ils agissent contre tous les commandemens de Dieu, et contre tous les sacremens. […] Le pieux et savant Gerson, chancelier de l’Eglise de Paris, dans un sermon sur le troisième dimanche de l’avent, où il parle de la luxure, dit de ce vice, qu’il est un serpent venimeux, qui pour blesser les ames se cache et se glisse comme sous l’herbe verte des plaisirs mondains. […] Dans le premier des livres à qui il a donné pour titre : Des remèdes contre la bonne et la mauvaise fortune, et qu’il a fait en forme de dialogue, au vingt-quatrième dialogue, qui est sur les danses, il fait parler la joie et la raison. […] En un mot, il n’est aucun bon livre de morale, dont l’auteur, s’il a occasion de parler des danses, n’en parle pour les condamner, et pour exhorter les Fidèles à s’en abstenir.
C’est pourquoi, lorsque vous portez votre premier pas à la 2e position (ce pas se faisant après un autre pas, qui vous engage à avoir un bras opposé) le bras qui est opposé devant, s’étend de haut en bas, & l’autre bras qui est étendu fait un petit mouvement du poignet de haut en bas, aussi parce qu’il faut que vous tâchiez quand vous faites un mouvement d’un bras, que celui qui est étendu fasse une petite action qui accompagne : ainsi c’est jusques dans ces moindres parties que naissent cette grace & cette delicatesse dont j’ai parlé ci-devant.
Ce saint docteur nous parle encore à nous-mêmes dans ses sermons qui sont venus jusqu’à nous ; écoutons-le avec le respect que mérite un si grand saint, et plus encore la vérité éternelle qui a parlé par sa bouche. […] Ce saint parle encore sur la même matière, dans une homélie sur l’épître aux Colossiens ; il le fait même avec plus d’étendue que dans celle que je viens de citer. […] Lorsque je vous parle ainsi, je vous suis peut-être trop à charge et trop importun ; mais c’est ce qui prouve l’excès de la corruption qui règne parmi vous, de ce que ceux qui la reprennent sont regardés comme trop austères.
Une coquetterie de danseuse qui a voulu prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et écrire.
Il le faut absolument puisque vous me demandez la permission de me parler de l’avenir et que je dois vous refuser, c’est-à-dire vous supplier de ne m’en parler jamais. […] J’ai aimé avec les sens, avant que mon cœur eût parlé et se fût révélé à moi-même. […] Je ne vous parlerai plus de ces choses, ne m’en parlez jamais, si vous m’aimez !
Le nom de son père le fait rougir et il provoque ceux qui lui parlent de son origine. […] D’ailleurs il ne veut pas la tromper : il n’a l’intention — c’est lui qui parle — que de rire au peu, et voilà tout.
Ainsi se parle le jeune Écossais à lui-même ; et le voilà, en effet, très occupé de la brune Effie ; il est gai, il est vif, il est amoureux ! […] Ainsi parlent les sorcières de Macbeth. […] « Peu à peu, à mesure que vient le jour (c’est toujours Nodier qui parle), les vapeurs du lac élargissent les losanges flottantes de leurs réseaux de brouillard ; celles que le brouillard n’a pas encore dissipées se bercent sur l’occident, comme une trame d’or tissée par les fées du lac pour l’ornement de leurs fêtes. […] »Ainsi parle le poète, ainsi danse la fille de l’air ! […] On parlera longtemps encore de mademoiselle Taglioni la Sylphide, car ces deux noms sont inséparables, et la Sylphide restera comme sa création la plus charmante.
Il y a encore un prologue qui, comme l’héroïne d’un poème de Verlaine, « parlait italien avec un accent russe ».
[4] Je pense que quand même Noverre 3 aurait parlé de tout ce qui concerne le mécanisme, et même le charme de la danse, son ouvrage ne serait pas pour nous aujourd’hui d’une bien grande utilité ; car notre art, depuis l’époque où il a écrit, est entièrement changé. […] La majeure partie des écrivains dont je parle, sont, à la vérité, de très bons littérateurs, mais qui n’ont jamais été danseurs : ce sont des gens, comme dit plaisamment Berchoux : « . . . . connus par leur science « Qui, sans être danseurs, parlent beaucoup de danse. » Je crois que les écrits de ces hommes, qui ont employé tant de veilles pour l’amour de l’art de Terpsicore qu’ils ignoraient, nous sont parfaitement inutiles.
L’opéra prit bientôt une nouvelle forme quant au costume à la pompe et à la variété des ballets ; et la danse de ce spectacle, qui, quoique susceptible encore de perfection, est devenue néanmoins la plus brillante de l’Europe, sortit enfin à cette époque de sa longue enfance ; elle apprit à parler le langage des passions qu’elle n’avoit pas encore balbutié. […] Cette correspondance me donna lieu de parler des acteurs qui avoient enrichi de leurs talens les différens théatres de l’Europe. […] Je parlerai de ces obstacles, et je prouverai qu’ils ne peuvent être vaincus.
[Première partie] 1Dans le Programme que j’ai publié, il y a trois ans, à l’occasion du Ballet de Don Juan, j’ai donné quelques notions de la Danse Pantomime des Anciens ; et ayant promis d’en parler plus amplement, lorsque je ferais paraître quelque nouveau Spectacle de ce genre, je vais m’acquitter de mon engagement à l’occasion du Ballet de Sémiramis que je fais paraître aujourd’hui sur la Scène. […] Quand on a la faculté de parler, il est aisé de se faire entendre ; et ces mêmes épisodes amenés avec art, ne refroidissent pas l’action principale ; ils la rendent même quelquefois plus intéressante. […] Enfin il faut acquérir l’expression, ou l’art de parler en dansant. […] 21Il serait superflu de parler de la troisième unité, c’est-à-dire, de celle de l’Action, après avoir tant répété que l’Action des Ballets Pantomimes doit être simple et une, pour me servir encore de l’expression d’Horace.
L e costume, Monsieur, dont je n’ai parlé que superficiellement, me paroit trop essentiel au charme de la scène, pour que je ne revienne pas sur cet objet. […] Le maître des ballets, souvent homme-machine, bien plus accoutumé à parler aux jambes qu’à l’esprit, plus habitué aux mouvemens des pieds qu’à ceux des passions, fera agir et danser dans le même sens et de la même manière, tous les peuples de la terre. […] Dans la peinture, les objets une fois placés n’ont que le mouvement de l’instant que le peintre a choisi ; le nû qui favorise cet art et qui est étudié partiellement, dans ce que la nature présente de plus parlait, ne peut être adopté pour le théâtre, toutes les draperies de peintre enchaînent et lient les objets ; mais les draperies jettées avec art, groupées avec intelligence n’ont qu’un mouvement instantané. […] Dans un autre moment je parlerai de la danse telle qu’elle existe aujourd’hui.
Les Danses nuptiales, qui, sous cette dénomination nouvelle, étaient les mêmes, que celles dont on vient de parler, furent la peinture la plus licencieuse, et firent les délices de Rome.
Ce seroit ici l’occasion d’en étaler toute la grandeur, de parler de l’éclat de votre Sang, né pour former nos Rois, & de ce haut courage qui en est l’ame : mais il n’est permis qu’à des génies capables de manier adroitement la loüange, de vous en donner une digne de vous, & de raconter toutes les qualitez qui vous font estimer & aimer personnellement de toute la France.
Mais, entre autres, il y survint Douze aveugles des Quinze-vingt, Ou, du moins, qui le semblaient être ; Mais l’éclat qu’on voyait paraître, En leurs cordons, en leur chapeaux, En leurs diamants nets et beaux, En leurs robes de fine soie, Qui coûtaient bien de la monnaie, Firent juger, avec raison, Qu’ils étaient de bonne Maison, Et que c’était une Séquelle Qui méritait qu’on parlât d’elle.
Une pendule, c’est presqu’une compagne qui vit, qui conseille, qui parle ; si j’en avais une il me semble que je serais moins seule. […] Quand il parlait, sa voix était celle d’un vieillard et ses yeux démentaient sa voix.
Et voilà qu’à propos de danse on parle couramment décor, costume, littérature, psychologie ou encore charme féminin — ce qui est, du reste, beaucoup moins étranger à la question, — mais surtout on parle musique.
Si je vous parle de lui comme d’un colis, ne pensez point que je fasse peu de cas de sa personne. […] J’ose vous en parler pour la seconde fois depuis l’expiration de votre deuil, et peut-être me répondrez-vous cette fois-ci comme la première : que vous n’êtes pas encore disposé à remplacer la digne compagne que vous avez perdue il y a cinq ans.