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92. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166

IX Lorsqu’on éprouve le besoin de se parler plus librement, la loge du concierge sert de salon de réception.

93. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »

Pour expliquer mes idées sur la seconde, j’ai besoin, que le Lecteur daigne suspendre toute prévention.

94. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10

Ne sait-on pas combien est violente la pente de la nature pour le mal, et qu’elle n’a pas besoin d’être fortifiée par une réunion si dangereuse, et si propre à allumer dans les uns et dans les autres le feu des passions ?

95. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48

Assez de gens sans moi barbouilleront du papier ; d’ailleurs, je suis assez persuadé de mon mérite ; je me prodigue assez de louanges moi-même, sans avoir besoin des suffrages d’autrui.

96. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36

Mécène fit sentir à Auguste le besoin qu’il avoit d’eux ; ce prince les combla de récompenses et de distinctions.

97. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

L’amour en a besoin comme la haine ; et ma joie et mon amertume, ma mémoire avec mes projets, se partagent en frères la même substance d’une becquée. […] Mais mon désir est mouvement, Éryximaque… J’aurais besoin maintenant de cette puissance légère qui est le propre de l’abeille, comme elle est le souverain bien de la danseuse… Il faudrait à mon esprit cette force et ce mouvement concentré, qui suspendent l’insecte au-dessus de la multitude de fleurs ; qui le font le vibrant arbitre de la diversité de leurs corolles ; qui le présentent comme il veut, à celle-ci, à celle-là, à cette rose un peu plus écartée ; et qui lui permettent qu’il l’effleure, qu’il la fuie, ou qu’il la pénètre… Ils l’éloignent soudain de celle qu’il a fini d’aimer, comme aussitôt ils l’y ramènent, s’il se repent d’y avoir laissé quelque suc dont le souvenir le suit, duquel la suavité l’obsède pendant le reste de son vol… Ou bien me faudrait-il, ô Phèdre, le subtil déplacement de la danseuse, qui, s’insinuant entre mes pensées, les irait éveiller délicatement chacune à son tour, les faisant surgir de l’ombre de mon âme, et paraître à la lumière de vos esprits, dans l’ordre le plus heureux des ordres possibles. […] — Que si nous comparons notre condition pesante et sérieuse, à cet état d’étincelante salamandre, ne vous semble-t-il pas que nos actes ordinaires, engendrés successivement par nos besoins, et que nos gestes et nos mouvements accidentels soient comme des matériaux grossiers, comme une impure matière de durée, — tandis que cette exaltation et cette vibration de la vie, tandis que cette suprématie de la tension, et ce ravissement dans le plus agile que l’on puisse obtenir de soi-même, ont les vertus et les puissances de la flamme ; et que les hontes, les ennuis, les niaiseries, et les aliments monotones de l’existence s’y consument, faisant briller à nos yeux ce qu’il y a de divin dans une mortelle ?

98. (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226

ceux qui sont sans place, et ceux qui intriguent : il faut donc que le maître des Ballets au premier Théâtre du Monde, qui par son travail n’a pas une heure de repos dans toute une année, et qui pour ce même travail a besoin de la plus grande tranquillité, soit à la merci de l’homme sans place ou de l’intrigant ?

99. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128

Ses sons foibles & inarticulés avoient besoin d’être soutenus par la Musique & d’être expliqués par la Poésie, ce qui équivaut sans doute à l’espece de Héros d’Armes du Théatre, au Crieur public dont je viens de vous parler.

100. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Ainsi il est constant que la route qu’ont suivi les Poëtes qui sont venus depuis ce tems-là, étoit toute marquée, & que la véritable idée de la Poésie ne s’est point perdue ; ou du-moins il étoit aisé de la retrouver, en recourant aux ouvrages & aux régles infaillibles dont je viens de parler : au lieu que la Peinture a été entierement anéantie pendant un fort long-tems, soit par la perte de quantité de volumes qui, au rapport de Pline, en avoient été composez par les Grecs, soit par la privation des ouvrages dont les Auteurs de ces tems-là nous ont dit tant de merveilles ; car je ne compte que pour très peu de choses quelques restes de peinture antique que l’on voit à Rome : comme en effet l’Histoire remarque qu’en 1240 l’Italie étoit si dénuée de Peintres, que quelques Princes en ayant besoin pour embellir leurs Palais, ils en firent venir de la Gréce, qui étoient même assez grossiers ; mais qu’un nommé Cimabué, natif de noble famille de Florence, se trouva un génie si porté à la Peinture, qu’il en fut le restaurateur, & que Giotto son disciple le surpassa de beaucoup par les conseils & les pensées que le Dante Poëte fameux de ce tems-là lui donnoit, lorsqu’il s’agissoit de peindre de grands sujets de fables de l’Antiquité ; de même qu’un Simon Memmy fut un excellent Peintre pour les portraits : il peignit Pétrarque & la belle Laure son amie. […] Ce même Dessein oblige encore le Peintre à posséder parfaitement la Géométrie, pour pratiquer exactement la Perspective, dont il a un besoin indispensable dans toutes les opérations ; il éxige une habitude des racourcis & des contours, dont la variété est aussi grande que le nombre des attitudes est infini. […] Si après ce premier mouvement on regarde les effets qu’elle produit sur l’esprit, il faut tomber d’accord que la Poésie, comme la Peinture, a la propriété d’instruire ; mais celle-ci le fait plus généralement ; elle instruit les ignorans aussi-bien que les doctes ; nous voyons même dans l’Histoire de la Conquête du Méxique, que ces peuples n’ayant pas l’usage de l’écriture, envoyoient des relations en peinture de ce qui se passoit dans le Royaume d’une Province à l’autre, par l’expression de la Peinture dont ils avoient l’usage au défaut de l’écriture ; desorte que sans ce secours il est difficile de bien pénétrer dans le reste des Arts, parce qu’ils ont besoin de figures démonstratives pour être bien entendus.

101. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-

On me versa, contre un chèque, l’argent dont j’avais besoin et je quittai Bucarest.

102. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22

N’est-ce pas aller directement contre ce précepte, que d’employer à la danse des pieds que Dieu ne nous a donnés que pour marcher décemment et avec modestie, et pour aller où le devoir et nos besoins nous appellent ?

103. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133

Ce que je vais écrire, Monsieur, pourra servir de régulateur aux maîtres de ballets qui n’ont fait encore que quelques pas dans la carrière qu’ils se proposent de parcourir ; des réllexions mûries par le temps et éclairées par l’expérience, soixante années de travail, une foule de compositions, peut-être trop considérable, des circonstances heureuses au développement de mes idées, un nombre de sujets capables de les rendre, de grands corps de danse, de vastes théâtres, des dépenses proportionnées à la grandeur des sujets que je transportois sur la scène, des succès soutenus dans le genre que j’ai crée, tout, dis-je, jusqu’à mes fautes, pourra guider les maîtres de ballets, et j’espère que mes observations paroitront justes et utiles à ceux même, qui peuvent le plus aisément s’en passer, ou qui n’en ont pas besoin.

104. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60

— En faisant porter avec eux les Auteurs dont ils auraient besoin, & en indiquant aux Juges le volume & la page.

105. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XI. » pp. 145-156

Ceux qui sont arqués ne doivent s’attacher qu’à rapprocher les parties trop distantes, pour diminuer le vide qui se rencontre principalement entre les genoux : ils n’ont pas moins besoin que les autres de l’exercice qui meut les cuisses en dehors, et il leur est même moins facile de déguiser leurs défauts.

106. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314

Ceux qui sont arqués ne doivent s’attacher qu’à rapprocher les parties trop distantes pour diminuer le vuide qui se rencontre principalement entre les genoux ; ils n’ont pas moins besoin que les autres de l’exercice qui meut les cuisses en dehors, & il leur est même moins facile de déguiser leurs défauts.

107. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

La protection de cet illustre ami la mettait à peine à l’abri du besoin. […] Comme il avait besoin, à la même époque, d’un grand premier sujet pour son corps de ballet, il résolut de profiter de son voyage pour voir à l’œuvre l’Autrichienne si chaleureuse ment louée par un connaisseur et pour lui proposer un engagement, si elle justifiait sa réputation.

108. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458

Il y a de grandes et de petites herses  : on les multiplie sur ce théâtre autant qu’on croit en avoir besoin  ; on les sert à la main, et ce service fait partie de la manœuvre.

109. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

Tout ce dont j’ai besoin, ils disent qu’ils peuvent le faire.

110. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285

Elle n’eut besoin d’aucune aide, en revanche, pour déjeuner.

111. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »

Les places immenses où s’assemblaient les spectateurs, formaient de si grands éloignements, qu’on n’aurait entendu la voix ni distingué aucun des traits du visage, si on n’avait eu recours à l’invention des masques qu’on changeait dans la même représentation, selon les divers besoins de l’action théâtrale.

112. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147

Vous trouverez peut-être que je parle trop hardiment, et que j’oublie cette retenue et cette modestie que j’ai coutume de garder dans les lettres où il s’agit d’intercéder pour les criminels ; mais cette modestie même, qui n’est autre chose qu’une certaine crainte de blesser et de déplaire, doit céder ici à une crainte bien plus forte ; car je craindrois et de déplaire à Dieu, et de manquer à l’amitié que vous avez voulu qui fût entre vous et moi, si j’étois plus réservé à vous donner de sa vis salutaires. » Qu’il seroit à souhaiter que toutes les personnes en places et en autorité donnassent, comme Macédonius, leur estime et leur confiance à des hommes capables de leur donner les avis dont ils ont besoin, pour se bien acquitter des emplois difficiles et périlleux attachés aux grandes places, et assez dépouillés de tout intérêt propre et de toute considération humaine, pour dire à ceux qui les honorent de leur confiance, toutes les vérités qui peuvent leur être utiles !

113. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144

Les arts sont de tous les pays ; qu’ils empruntent la voix qui leur est propre, ils n’auront pas besoin d’interprêtes, et ils affecteront également et le connoisseur et l’ignorant : leur effet ne se borne-t-il au contraire qu’à frapper les yeux sans toucher le cœur, sans remuer les passions, sans ébranler l’âme, ils cessent dèslors d’être aimables et de plaire : la voix de la nature et l’expression fidelle du sentiment porteront toujours l’émotion dans les âmes les moins sensibles ; le plaisir est un tribut que le cœur ne peut refuser aux choses qui le flattent et qui l’intéressent.

114. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289

Les Arts sont de tous les pays ; qu’ils empruntent la voix qui leur est propre, ils n’auront pas besoin d’interprete, & ils affecteront également & le connoisseur & l’ignorant ; leur effet ne se borne-t-il au-contraire qu’à frapper les yeux sans toucher le cœur, sans remuer les passions, sans ébranler l’ame ?

115. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194

Les Maîtres de Ballets chargés, Monsieur, de la composition des Ballets de l’Opéra, auroient besoin, à mon gré, du génie le plus vaste & le plus poétique. […] A-t-il besoin enfin d’être machiniste pour s’appercevoir que telle machine ne marche point avec promptitude ?

116. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

« Mais, — raconte Nestor Roqueplan, dans ses Coulisses de l’Opéra, — Clotilde avait le cœur si bon, l’âme si charitable ; il lui arrivait si souvent, par paresse, par générosité, de donner à son cordonnier mille francs d’une paire de souliers pour n’avoir pas à changer un billet… Elle était si compatissante aux misères de la petite population théâtrale, des comparses, des figurantes, des choristes, que les magnificences du prince Pignatelli ne suffisaient pas à tant de besoins honorables. […] La première n’a besoin ni d’éloges, ni de commentaires.

117. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Quoique surnommé l’Aérien, il daignait, au besoin, se montrer dilettante et reconnaître quelque mérite aux artistes lyriques. […] … Je n’ai pas besoin de te décrire le pas de l’Abeille, que tu as dû voir exécuter au Caire dans toute sa pureté native… Si tu savais avec quel chaste embarras Carlotta se débarrasse de son long voile blanc ; comme sa pose, alors qu’elle est agenouillée sous les plis transparents, rappelle la Vénus antique souriant dans sa conque de nacre ; quel effroi enfantin la saisit lorsque l’abeille irritée sort du calice de la fleur !

118. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39

., l’on n’a pas besoin d’un travail aussi opiniâtre pour conserver ce que l’on sait.

119. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37

J’ai déployé sur la Scène l’ame rusée & fourbe d’Arlequin, le comique & le burlesque de Paillasse, & j’ai cru qu’avec cet avantage je serais bien malheureux, si j’avais besoin de ces ornemens si superflus, & que l’on croit si nécessaires.

120. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Chez l’être policé, chez le peuple sauvage, Le geste fut toujours l’universel langage2 ; Dès son enfance, aidé de ses yeux, de ses mains, L’homme dit ses besoins, ses desirs, ses chagrins ; La parole est trop peu, sans l’art du Pantomime ; Ce que diraient vingt mots, un seul geste l’exprime. […] Le geste indique la volonté, le desir ou le besoin. […] Il faut que le pantomime ou danseur de ballets, qui est celui dont j’entends parler, sache plusieurs choses, comme la poésie, la géométrie, la musique, la philosophie, quoiqu’il n’ait pas besoin des ergo de la dialectique. […] Mais sur-tout il a besoin de mémoire, &c. ».

121. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

L’intrigue, compliquée et surchargée de menus incidents, avait besoin d’être éclaircie par un jeu très expressif et très animé. […] Elle avait besoin de frapper un grand coup.

122. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

Ce sont tantôt des épouses, tantôt des servantes, qu’ils dérobent aux mortels ; quelquefois des soldats, des médecins ou même des notaires (dit la légende), selon le besoin qu’ils peuvent en avoir.

123. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

Le ballet, qui fut sous l’Empire surtout un divertissement de danse accolé à un sujet quelconque de mythologie scolaire ou bien, comme en Italie, un drame passionnel mimé en mesure, se vit ainsi appelé à exprimer les aspirations d’une époque, sa pensée philosophique, son besoin de beauté.

124. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55

Louis quatorze n’avoit pas besoin des vers de Racine pour prendre une résolution sage, et qui convenoit parfaitement à un Monarque âgé alors de trente ans.

125. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93

Si notre vie a quelquefois besoin de relâche ou de récréation, il y a assez d’autres moyens plus honnêtes.

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