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57. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Et cette fortune extraordinaire, elle l’obtint, non pas en flattant les habitudes du public, mais au contraire en les heurtant de front, en rompant avec les traditions quasi-séculaires de la chorégraphie officielle. […] A l’entrevoir à travers les transparences de ses voiles dont son pied ne faisait que soulever le bord, on eût dit une ombre heureuse, une apparition élyséenne jouant dans un rayon bleuâtre ; elle en avait la légèreté impondérable, et son vol silencieux traversait l’espace sans qu’on entendît le frisson de l’air66. » Cette espèce de volatilisation de la danse ne s’obtenait qu’au prix d’efforts persévérants. […] A la fin de la première représentation de la Révolte au Sérail où Perrot avait été associé à son triomphe, elle fit dans les coulisses une scène ridicule. « N’est-il pas affreux, s’écriait-elle, qu’un danseur obtienne plus d’applaudissements que moi !

58. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre second. Étude des jambes » pp. 40-51

Des danseurs qui n’ont pas une élévation naturelle, ou qui sont faibles des jarrets doivent avoir recours aux cous-de-pied ; ils pourront en obtenir quelque avantage compensateur ; mais cela demande un grand travail, qui ne soit jamais interrompu par un jour de relâche : ils parviendront aussi à acquérir de la vigueur, et plus encore de la vivacité.

59. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »

[Voir Coupe] Dans Cadmus qui doit surmonter les plus grands obstacles pour obtenir Hermione, je vois ce Héros semer dans le champ de Mars les dents du Dragon qu’il a vaincu.

60. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10

On ne peut être chaste que par une grâce spéciale de Dieu, de qui vient la chasteté comme toutes les autres vertus ; et le grand moyen d’obtenir cette grâce, c’est de la demander instamment à Dieu.

61. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168

Les captifs, tant Européens qu’Asiatiques et Africains, déposent aux pieds de Déjanire les différents tributs de leurs climats ; ils l’implorent pour leur liberté ; et l’ayant obtenue, ils se livrent à des danses qui expriment leur reconnoissance autant que leur joye, et dans les quelles le costume de chaque nation se fait distinctement remarquer.

62. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182

Les Déesses impatientes d’obtenir le prix décerné à la beauté, le pressent de s’expliquer ; Junon, qui dispose des trônes, lui en promet un ; elle lui fait offrir par sa suite un sceptre, une couronne et des richesses immenses désignées par des minéraux d’or, d’argent, et les pierres les plus précieuses.

63. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

*** C’étaient, enfin, les Brach, les Volter, les Villiers, les Ribe… Et puis, la bande des rats de l’époque : Nini, Salaba, Travers, Bélardel, Jousset, Accolas, Vauthier, Desvignes ; Gauguin, qui aimait tant Régnier, de l’Ambigu ; Guénia, que Faure protégeait ; Subra, la sœur aînée de celle d’aujourd’hui, qui allait jouer la tragédie dans la banlieue sous le pseudonyme de Constance Léger, et qui joue maintenant sous son nom la comédie à l’étranger ; Pourchet qui déclarait si volontiers : « L’Empereur a dit comme ça à mon beau-frère… » Travers, qui obtenait tant de succès dans une romance de sa composition : J’avais quinze ans et j’étais jeune fille… et la petite Paillier, qui, complimentée par un abonné sur son minois de bergerette à la mode du siècle dernier, s’écriait en s’adressant aux camarades : — Comprenez-vous c’ t’ animal-là qui vient me dire que je ressemble à un Boucher !

64. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Le 28 juin 1669, il obtint des lettres-patentes, « portant permission d’établir en la ville de Paris et autres du royaume, des académies de musique, pour chanter en public des pièces de théâtre, comme il se pratique en Italie, en Allemagne et en Angleterre, pendant l’espace de douze années. » Il s’associa Cambert, pour la musique ; le marquis de Sourdéac, pour les machines ; et pour fournir aux frais nécessaires, un nommé Champeron. […] Lulli, qui florissait alors à la cour, mit à profit cette disposition des esprits ; il se fit céder le privilége et obtint à son tour des lettres-patentes pour la fondation d’une Académie royale de musique ; elles furent enregistrées au parlement le 27 juin 1672. […] Un sieur Guyenet, payeur de rentes de l’hôtel-de-ville, ne fut pas maintenu dans un privilége de cession qu’il avait obtenu. […] Après les succès obtenus par M. […] La direction actuelle, pour les résultats qu’elle a obtenus, est, de tous les gouvernemens de l’Opéra, celui qui convient le mieux au public par les plaisirs dont elle le dote, et à l’État, par l’économie qu’elle apporte dans les dépenses du Trésor.

65. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Après un exposé impartial des faits, il démontra que Fanny Elssler avait violé tous ses engagements uniquement à cause des succès de gloire et d’argent qu’elle avait obtenus en Amérique et dont il donna une idée à la Cour en lisant un feuilleton de journal intitulé : Les Pérégrinations d’une danseuse ; la vérité sur son séjour en Amérique ; chiffre officiel de ses recettes, de ses dépenses et de ses dons. […] La Gazette des Théâtres dit dans son numéro du 1er septembre 1842 : « Comme on le sait, la condamnation obtenue par le directeur de l’Opéra contre Fanny Elssler prononce la prise de corps. […] Fanny Elssler avait obtenu à la fin de 1845 et au commencement de 1846 au Théâtre Argentina un succès qui l’avait décidée à prolonger son séjour dans la Ville Eternelle. […] Le récit de Mme de Rostopchine nous apprend par quels tours de force, évidemment faits pour éblouir un public primitif, l’artiste obtint ces marques d’une faveur extraordinaire.

66. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Coralli et Cavé, Satan, avant de créer Miranda, ne fabriquait, d’abord, qu’un affreux petit monstre vert qui devenait femme peu à peu… Ce détail, n’ayant obtenu qu’un succès d’hilarité, avait été coupé. […] Sans trop savoir pourquoi, elle était allée se jeter au pied des autels et elle avait obtenu la faveur d’être admise dans le couvent. […] Emerveillée de ses progrès, madame Dupont lui disait souvent : — Quel succès vous obtiendriez, si vous entriez au théâtre !

67. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160

Ce grand profit a fait tant d’envie aux Comédiens François, qu’ils en ont aussi obtenu un pareil, pour donner le bal dans la Salle de la Comédie Françoise, alternativement à ceux de la Salle de l’Opéra.

68. (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226

Je vous prie d’être bien convaincu, Citoyen Conseiller d’État, que si j’obtiens de vous l’une ou l’autre de ces faveurs, je vous en aurai une éternelle obligation.

69. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159

J’ai donc déclaré la guerre aux habitudes, j’ai combattu longtems contre la phalange antique des préjugés, mais j’ai eû de la peine à vaincre ; et je suis parvenu à force de combats à obtenir une victoire complette.

70. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Boileau obtint diverses pensions de Louis xiv. […] Dans l’opéra d’Ernelinde, il y eut un pas de Lapon qui obtint les plus grands applaudissemens. […] En 1669, l’abbé Perrin ayant obtenu des lettres-patentes pour l’établissement d’une académie royale de musique, s’associa, pour la musique, avec le sieur Chabert, et pour les machines, avec M. le marquis de Soudiac. […] Il obtint un très-grand succès à Paris en 1778. […] Pendant cette longue carrière, elle obtint un succès continuel.

71. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-

Puis elle me demanda si je pouvais obtenir tous mes effets d’éclairage dans une simple salle, pour la séance que je voulais donner au Palais.

72. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133

Le maitre de ballets qui ne donne point dans ces erreurs, malheureusement trop communes, est assuré du plus grand succès ; ses ouvrages deviennent des modèles ; ils lui obtiennent des éloges, des applaudissemens et une réputation justement méritée.

73. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Le Courrier des Théâtres la décrivait ainsi : « Une ravissant statuette, représentant Mlle Fanny Elssler dans la cachucha, obtient en ce moment le succès le plus grand et le plus mérité. […] Après avoir obtenu la faveur de fixer les nobles traits de Louis-Philippe, elle avait fait la miniature du prince héritier, et ce portrait fut exposé avec celui de Fanny Elssler dans le même cadre au salon de 1838. […] « Ainsi qu’Alexandre le Grand, vous voulez qu’Apelle brise ses pinceaux après avoir obtenu l’inappréciable faveur de peindre le plus fameux des héros de l’époque. […] Au commencement de 1839, Chicard, le prince des débardeurs, obtenait une vogue scandaleuse avec ses pas grotesques, ses bouffonneries énormes, ses dislocations ahurissantes.

74. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Je ne pus obtenir de bannir l’or et l’argent dans la représentation du ballet des Horaces ; il fallût, par (un arrêt de la sottise) que les Horaces fussent chamarrés d’or, et que les Curiaces le füssent d’argent.

75. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212

Il approuva mon idée, et ne fit point de démarches infructueuses pour obtenir une permission ; elle lui fut accordée, et par ce moyen il étendit ses jouissances et fût profiter de l’ouverture de cette arche pour placer différents points de vüe par les plantations qu’il se proposoit de faire dans sa prairie.

76. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Pressée de nouveau par Léon Pillet de rentrer à Paris, elle négocia, obtint un sursis, alla visiter le Niagara, revint à New-York, à Philadelphie, et, quand le délai accordé par l’Opéra fut expiré, la mauvaise saison lui fournit un prétexte pour ne pas reprendre le paquebot. […] Chassée de New-York par le froid, Fanny gagna le Sud en passant par Richmond, où les autorités firent auprès d’elle une démarche solennelle pour obtenir qu’elle dansât. […] Il comparait le chant des dames américaines au son que l’on obtient lorsqu’on promène un doigt mouillé sur le bord d’un verre rempli d’eau. « C’est un crissement bizarre, qui se rapproche de celui de la mouette. » Ces natures frustes de demi-civilisés étaient incapables d’apprécier toutes les qualités qui avaient imposé Fanny Elssler à l’admiration des Parisiens.

77. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

J’obtiendrais des croix valaques Et des plaques : Je les ferais faire en strass ! […] Le gaz servit à obtenir des clairs de lune et de poétiques jeux de lumière.

78. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Elle prétend que, la claque ayant été supprimée pour la circonstance, ce sont les spectateurs payants qui auraient seuls applaudi, et, comparant ce résultat à celui qui n’aurait été obtenu six jours auparavant, à la Tempête, qu’avec le secours de mains mercenaires, elle ajoute méchamment : « Nous espérons qu’un jour Mlle Elssler pourra répudier les bruyantes acclamations qui couvrent le petit bruit de ses petites pointes, et que le public artificiel du lustre laissera faire au public sérieux. » Le grand public fut invité à se prononcer sur les mérites des deux rivales. […] La Sylphide, avec Le Comte Ory 6 983 — 12 — La Révolte au Sérail, avec Le Comte Ory 7 614 — La moyenne obtenue par chaque danseuse est sensiblement la même.

79. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201

ceux qui vivent dans les règles d’une exacte discipline, afin que leurs prières obtiennent le salut de l’empereur, changeront de conduite pour honorer l’empereur ?

80. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177

Le manager de Loïe Fuller nous accompagna au retour en Chine et grâce à l’influence du Vice-Roi, nous avions obtenu que Loïe Fuller parût devant l’Impératrice.

81. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249

Tout le monde marchait d’un pas si accéléré, que son très poli « pardon, monsieur » n’obtenait pas même un regard en réponse.

82. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147

Il doit ressembler à celui de Jésus-Christ, étant, comme le sien, non un zèle commun, languissant et sans action, mais un zèle ardent, un zèle dévorant ; cependant toujours réglé par la sagesse de Dieu et conduit par son esprit, qu’il faut, pour l’obtenir, lui demander avec instance.

83. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

Je me trouve des clartés que je n’eusse jamais obtenues de la présence toute seule de mon âme… Tout à l’heure, par exemple, l’Athikté me paraissait représenter l’amour. — Quel amour ? […] — Que si nous comparons notre condition pesante et sérieuse, à cet état d’étincelante salamandre, ne vous semble-t-il pas que nos actes ordinaires, engendrés successivement par nos besoins, et que nos gestes et nos mouvements accidentels soient comme des matériaux grossiers, comme une impure matière de durée, — tandis que cette exaltation et cette vibration de la vie, tandis que cette suprématie de la tension, et ce ravissement dans le plus agile que l’on puisse obtenir de soi-même, ont les vertus et les puissances de la flamme ; et que les hontes, les ennuis, les niaiseries, et les aliments monotones de l’existence s’y consument, faisant briller à nos yeux ce qu’il y a de divin dans une mortelle ?

84. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39

Il faut se livrer avec transport à l’étude de l’art qu’on veut professer ; sans cela on sera confondu dans la foule des artistes médiocres, ou l’on manquera le but, sans jamais obtenir de succès.

85. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Sa femme regretta bientôt la plus déplorable des erreurs, obtint le divorce et mourut. […] Il m’a coûté de grosses sommes : on ne saurait croire les grosses sommes qu’il m’a coûtées, car il n’avait qu’à écrire sur un billet ce qu’il voulait avoir, et il l’obtenait immédiatement ; mais depuis qu’il n’est plus, je sens bien ce qui nous manque, et je donnerais volontiers trois fois ce que j’ai dépensé, si je pouvais le rappeler à la vie. » Enfin l’empereur François, qui pourtant ne l’aimait pas, se décida vers la fin de sa vie à porter son traitement à 8 800 florins. […] Les avantages qu’il avait obtenus pour elle n’étaient sans doute pas suffisants pour être mis en balance avec ce qu’elle aurait perdu, si elle avait quitté le théâtre ou si elle était seulement restée à Vienne.

86. (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23

— À la fin, l’horrible vieille obtient, de ses enchantements, un talisman de mort, — une écharpe rose à faire envie à toutes les filles de la terre.

87. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97

  Les voix sont recueillies ; on prononce enfin ; Daphnis obtient le prix et la joye brille dans les yeux de Philis.

88. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256

Les principaux officiers de Thoas obtiennent la permission de s’embarquer.

89. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93

Laissons ce que Dieu condamne, soyons prudens pour obtenir les progrès de notre salut : fuyons les lieux de pécher et leurs attraits ; renonçons au monde, foulons aux pieds tous ses vains plaisirs.

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