/ 140
78. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Grâce à cet organe, le monde et la postérité purent savoir les heures du lever, les sorties, les réceptions, les menus des repas de Fanny. […] Quand elle entra dans la salle des délibérations, les députés se levèrent et chacun sollicita l’honneur de lui être présenté. […] Fanny, très préoccupée de sa toilette, se leva dès l’aurore. […] Très peu de membres de l’Assemblée sont présents dans cette salle, tandis que les autres siègent au théâtre. » La séance fut levée et renvoyée au lendemain. […] L’un d’eux se leva de sa place et adressa à Fanny, qui s’était avancée vers la rampe, des paroles de remerciements avec le souhait que la Fortune l’accompagnât sur toutes ses voies.

79. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23

Le petit frère suivit le père de loin et revint dire à sa mère qu’il venait d’entrer tout droit chez le marquis de X… La mère se leva et courut à l’église.

80. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-

Singer, un vieil ami de Dumas, qui demanda s’il était « indiscret », et qui se leva pour prendre congé.

81. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87

voilà, je crois, les masques : qu’on les laisse tomber, et qu’on lève la toile, alors on jouira tout à la fois des miracles de la nature et. de l’art.

82. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233

Cependant le jour s’est levé.

83. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133

Il leva l’index de la main droite pour nous imposer un silence que personne n’avait l’intention de troubler ; puis il nous conduisit d’un tableau à l’autre, en nous indiquant ce qui faisait le charme de chaque toile.

84. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »

Lève-toi, Lazare, et danse !

85. (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231

Mainte fois les décors furent applaudis dès le lever du rideau — et pour cause.

86. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108

Renaud, qui craint de succomber aux attraits séduisans de la magicienne, détourne ses regards et n’ose lever les yeux ; elle l’accable de reproches ; elle passe à la prière ; elle se précipite même aux pieds de Renaud, qui, vivement ébranlé et le cœur flottant entre l’amour et la gloire, ne résiste que foiblement aux nouveaux pièges, que la volupté lui présente.

87. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214

Polixène profitant de cet instant se saisit du poignard ; elle se lève, se perce le sein et se traîne mourante vers le tombeau d’Achille ; l’ombre satisfaite disparoît.

88. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185

XXIX Voilà mon Manuel de l’Amoureux, les levons qu’il contient sont courtes, mais exactes.

89. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81

Alors j’attendis que le jour se levât et peut-être aussi que quelqu’un vînt qui pourrait m’aider.

90. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145

Je n’ai qu’à jeter un regard derrière moi, à travers la cité du souvenir, pour que les images enfantines, émues par mon art, se lèvent en masses extasiées.

91. (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17

Et quand Mme D. au milieu d’une danse grave, s’arrête tout à coup, lève le genou jusqu’à la poitrine et fait avec la jambe droite un pas lent d’un si beau caractère tragique… La Danseuse Oui.

92. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre V. » pp. 32-39

On ne trouve malheureusement en province que des manœuvres ou des garçons de théatre, que la protection comique éléve par dégrés à ce grade ; leurs talens consistent et se renferment dans la science de lever les lustres qu’ils ont mouchés long-tems, ou dans celles de faire descendre par saccades une gloire mal équipée.

93. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80

Les ombres levèrent les épaules, et se mirent toutes à rire ; je trouvai que les morts étoient tout-aussi indécents que les vivants ; cette familiarité m’enhardit ; et je les priai de me dire quels étoient les moyens heureux, dont ils se servoient pour exprimer intélligiblement le passé et le futur.

94. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE V. » pp. 61-77

On ne trouve malheureusement en Province, que des manœuvres ou des garçons de Théatre, que la protection comique éleve par degré à ce grade ; leurs talents consistent & se renferment dans la science de lever les lustres qu’ils ont mouchés long-temps, ou dans celle de faire descendre par sacades une gloire mal équipée.

95. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

C’était celle qui consistait à porter le haut du corps en avant, avec les bras obliquement levés vers le ciel, tandis qu’une jambe était tendue en arrière. […] Chargée du rôle de l’abbesse, elle attendait, dans son tombeau, l’ordre de se lever, lorsqu’elle aperçut un rideau de nuages qui, se détachant du cintre, allait infailliblement l’écraser. […] Un jour, à Londres, au King’s Theatre, le rideau tardait à se lever.

96. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43

Il nous apprend dans une de ses lettres adressées à Alippe son ami et évêque de Tagaste, ce qu’il avoit fait pour cela : un des moyens qu’il employa fut de faire lire au peuple l’histoire de l’adoration du veau d’or par les Juifs, rapportée au chapitre 32 de l’Exode : il y est dit que le peuple se leva dès le matin, pour offrir à ce veau des holocaustes et des victimes pacifiques ; qu’ensuite il s’assit pour boire et pour manger, et qu’ils se levèrent pour danser : sur quoi saint Augustin, qui n’étoit alors que simple prêtre, fit observer au peuple que dans toute l’Histoire sainte on ne voit que la circonstance de la consécration et de l’adoration du veau d’or, où les excès de bouche et de danses aient eu lieu pour la célébration d’une fête : « et il en conclut que cette manière de célébrer les fêtes, n’est digne que des fêtes des idolâtres », et est par conséquent indigne des véritables chrétiens.

97. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre second. Étude des jambes » pp. 40-51

Si le danseur est long de buste, il doit s’appliquer à lever les jambes plus haut qu’à l’ordinaire ; par ce moyen il fera disparaître le défaut qui existe dans la longueur de sa construction ; et s’il est court de buste, il doit sans cesse maintenir ses jambes au-dessous de la hauteur que prescrit la règle commune.

98. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63

Le tonnérre gronde, les éclairs percent la nue, les flots de la nier s’élèvent avec fracas, le ciel s’obscurcit, la terre tremble, un bruit souterrain se fait entendre ; la tombe s’ouvre, l’ombre de Lybas se lève, fait un geste menaçant, accépte le combat et descend de son tombeau.

99. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168

Philoclète, qui remarque le trouble d’Hercule, lui retrace encore sa foiblesse ; le héros, sensible à la gloire, hésite, balance, prend la main tremblante d’Jolé, qui ose à peine lever les yeux ; il prend ensuite celle de son fils, et après une irrésolution qui caractérise le combat des passions, qui agitent son ame et qui déchirent son cœur, il unit enfin ces deux amans.

100. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189

Cette troupe riante est ingénieusement distribuée par l’artiste ; des amours broyent les couleurs ; d’autres essayent leurs crayons, des zéphirs chargés des présens de Flore s’offrent pour modèles ; les Graces forment grouppe avec l’Amour enfant ; elles lèvent mystérieusement le voile qui couvre son berceau ; ce petit Dieu est endormi.

101. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Description méthodique des figures de contredanse qui se dansent généralement ; suiviede variétés et de plusieurs autres contredanses nouvelles. » pp. 109-128

Comme elle dérive de l’allemande à trois, c’est alors un cavalier et deux dames d’abord pour le plus élégant, ensuite, pour l’exécution de la passe, les dames étant presque toujours moins grandes, ont, par conséquent, plus de difficultés à lever les bras.

102. (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108

L’actrice doit plaire et sourire à tous, heureuse encore quand il ne lui en coûte qu’un sourire : elle doit plaire à l’auteur, qui, sans cela, ne lui confierait pas de rôles ; elle doit plaire au directeur, pour qu’il la mette en vue ; elle doit plaire, non pas à un seul mais à douze journalistes ; enfin, voyez-la le lendemain d’une première représentation, à son petit lever, inquiète, agitée, dévorant les journaux : celui-ci la proclame charmante, celui-là trouve qu’elle est affreuse ; cet autre dit qu’elle est une grande comédienne, un quatrième affirme qu’elle n’a aucun talent.

103. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »

Au lever de la toile l’Amour déchire son bandeau ; il appelle la lumière, et l’engage par ses chants à se répandre sur les astres, le ciel, l’air, la terre, et l’eau, afin qu’en leur donnant par la variété des couleurs mille beautés différentes, il puisse choisir la plus agréable. […] Au lever de la toile on voyait un chœur de Faux Bruits et de Soupçons, qui précédaient l’Apparence et le Mensonge.

104. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-

Lorsque je me levai pour prendre congé de la Princesse, elle m’embrassa et prononça ces mots : — Si jamais je viens à Paris, j’irai vous voir à votre atelier.

105. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147

Enée se réveille, et ne voulant point résister aux impressions de sagesse qu’il vient de recevoir, il se lève et sort avec la ferme résolution d’abandonner Didon et de quitter Carthage.

106. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

L’instant où Oreste lève le voile qui lui déroboit les traits de sa mère qu’il vient de poignarder involontairement ; cet instant où reculant avec horreur, il exprimeroit les regrets et le desespoir, qui peuvent déchirer une ame sensible, l’artiste ne l’eût pas manqué. […] Cependant frappé d’une terreur soudaine, il se retourne, voit une femme expirante, et ses sœurs en larmes ; il marche à pas chancelans, il lève d’une main tremblante le voile qui lui dérobe les traits de celle à qui il vient involontairement de donner la mort ; à l’aspect de sa mère, il recule d’horreur et d’effroi, il veut se frapper, mais Electre et Pylade volent à son secours et le désarment ; il tombe sans connoissance sur une tombeau peu élevée.

107. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172

si ces rideaux se ferment et que Danaiis, content de scs forfaits, fasse éclater le plaisir farouche que son à me cruelle éprouve ; si à son départ, le jour paroit, et qu’au lever de l’aurore on entende des cris confus et effrayans poussés par les remolds, le repentir et la douleur ; (cris prononcés par un choeur de femmes) que dans cet instant, on voye les rideaux s’ouvrir encore et les Danaïdes les cheveux épars, les bras sanglans et armés de poignards fuir le lien de leurs forfaits, si on les voit poursuivies par les spectres de leurs époux, par les furies, les crimes, les remords et la vengeance personnifiés, si tourmentées par tous ces objets, elles sentent la terre s’ébranler et s’eutr’ouvrir sous leurs pas chancelans ; si eIles voyent paroitre la mort armée de sa faux et accompagnée) par les parques ; si elles frémissent et se prosternent en vain, si enfin la mort de concert avec Atropos tranche le fil de leirs jours, et qu’elles soient entraînées et précipitées par les démons dans le fond des enfers, il n’est plus possible que le spectateur puisse soutenir la vüe de tant de tableaux déchirans, sans en être vivement émû.

108. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50

Puis se retraçant son amant livré à des bourreaux, elle tire un poignard de son sein, et lève le bras pour s’en frapper.

109. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Le rideau se lève sur une bataille qui se livre entre Grecs et Turcs. […] Le rideau se lève pour la troisième fois.

110. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182

Il dit entre autres que les Juifs célébrerent une fête de réjouissance publique, qui consistoit en festins & en danses, pour remercier Dieu & marquer leur joie de la levée du siége de Béthulie, que Holopherne Général de l’armée des Assiriens tenoit assiégée, à qui Judith par une inspiration divine alla couper la tête dans son lit : après cette action mémorable, les Magistrats de la Ville menerent Judith en pompe au bal où la fête étoit préparée ; elle y dansa la premiere comme la Reine du bal.

/ 140