Tutte queste sorti contengono due movimenti per cadauno, il primo è lo strisciato cadente, il secondo il rialzato con l’andare in posizione.
Des Satyres qui sortaient du bois, leur apportaient tout ce qui était nécessaire pour le service. […] Ils prirent seulement quelques Grenades, Citrons, Oranges et quelques confitures sèches ; mais sitôt qu’ils furent sortis tout fut abandonné à la discrétion du public, et tout cet appareil fut pillé en moins d’un demi-quart d’heure, pour ne pas dire dans un moment. […] Le Roi en sortit à onze heures avec le Roi d’Angleterre, la Reine et les Princes du Sang pour aller souper.
L’horison se divise et se partage en grouppes de nuages, qui se replient et se roulent les uns sur les autres en s’élevant vers le ciel : pendant ce mouvement ascendant, des nuages plus lumineux descendent les cieux ; et l’on voit bientôt tous les Dieux de l’Olympe ; par un mouvement contraire le char de Neptune attelé de cheveaux marins sort du sein de la mer ; Amphitrite est placée à côté de ce Dieu ; ce char, ou cette conque marine, est environnée de Tritons, qui fôlatrent dans les eaux, en jouant avec leurs trompes, tandis que les rochers de la droite se garnissent des Divinités terrestres, ceux de la gauche sont bientôt occupés par les Divinités des eaux ; de leurs urnes sortent avec abondance des sources limpides, qui tombent en cascades sur les rochers et se précipitent ensuite dans la mer. La terre s’entrouve ; Pluton et Proserpine en sortent ; ils sont assis sur un trône éclatant.
On doit observer dans cette Position que les deux pieds soient l’un devant l’autre, & sur une ligne droite sans les croiser, & sur tout en dansant ; en ce que lorsque l’on prend un mouvement, & que l’on croise le pied quand on va en avant, il arrive que l’on ne se releve pas avec la même facilité, outre que le corps sort de son équilibre, ce qui fait faire des contorsions.
Un nommé Perronet, dessinateur parfaitement ignorant s’étoit chargé de la partie intéressante du costume ; mais privé de connoissances et dépourvu de toute espèce de goût, il ne sortit jamais du petit cercle que la routine lui traçoit.
Egisthe partage les mêmes sentimens, et ils ne sortent de cette situation que pour se livrer au désespoir. […] Clytemnestre sort en peignant tout à la fois son impatience, son inquiétude et le trouble qui l’agite. […] Cassandre, frappée d’un pressentiment funeste, ne peut s’empêcher de frémir sur le sort qui l’attend, et sur celui dont elle voit qu’Agamemnon est menacé. […] Egisthe, outré de colère et frappé des menaces terribles d’Electre, sort avec précipitation, en ordonnant aux Officiers de lui repondre d’elle ; Iphise suit les pas d’Egisthe pour tacher de le fléchir. […] Il sort de ce monument ; la rage et le désespoir se peignent dans son action ; il apperçoit sa victime, il se précipite avec fureur sur Egisthe, lui porte un coup de poignard et leve le bras pour redoubler ; mais Clytemnestre couvrant de son corps celui d’Egisthe reçoit le coup mortel réservé au Tyran.
En effet, quand vous sortiriez de ces divertissemens sans qu’ils aient produit en vous aucun mauvais effet, pouvez-vous n’être pas coupable en inspirant aux autres, par votre exemple, une plus grande ardeur pour ces plaisirs si dangereux ?
J’ m’y coulai, non pas sans peine, Un peu devant qu’entrât la Reine : Mais n’ayant pas été placé Aussi bien que j’avais pensé, Je n’ouïs point la mélodie, Je n’y vis point la Comédie, Ni le Ballet entremêlé, Ni ce qu’on en avait moulé : C’est pourquoi j’en sortis, belle-erre, Et quoi qu’on ne vît Ciel, ni Terre, Je revins chez-moi, promptement, Sans voir ce divertissement.
Un élève qui sortira des mains d’un tel maître, manquera d’abord de perfection, il ne possédera pas l’esprit de son art, sa danse sera froide, sans expression, sans âme et sans grâce. […] J’ai connu des artistes sortis d’une bonne école, et qui, par quelques circonstances, n’ayant pu parvenir au premier rang et occuper la place des premiers danseurs, se sont adonnés à la démonstration de leur art et ont fourni de très bons élèves.
Il seroit à désirer que la Demoiselle Colomb fut constamment placée dans ce genre qui lui sied à merveille ; mais il semble qu’on a trop généralisé ses talens, et par cette raison, elle sort très souvent du cadre qui lui est propre et qu’elle rempliroit avec d’autant plus de distinction, qu’elle a un mérite réel, et que la nature lui a donné tous les moyens adaptés à un genre qui demande de la gaieté, des graces naïves, de l’esprit, du brillant, de la gentillesse et de la vigueur. […] Il seroit à désirer que la Demoiselle Colomb fut constamment placée dans ce genre qui lui sied à merveille ; mais il semble qu’on a trop généralisé ses talens, et par cette raison, elle sort très souvent du cadre qui lui est propre et qu’elle rempliroit avec d’autant plus de distinction, qu’elle a un mérite réel, et que la nature lui a donné tous les moyens adaptés à un genre qui demande de la gaieté, des grâces naïves, de l’esprit, du brillant, de la gentillesse et de la vigueur.
Cette action allarma encore M. de N … mais le mal n’alla pas plus loin, par la prudence du Roi, qui calma le ressentiment des Princes & des Princesses, du refus de l’entrée du bal ; desorte qu’ils sortirent sans se faire connoître, après avoir dansé autant qu’ils le voulurent. […] Il y vint une bande de masques vêtus en sauvages, du nombre desquels étoit Charles VI. depuis peu relevé d’une maladie qui lui avoit altéré l’esprit : le Duc d’Orleans prit un flambeau pour les regarder au nez, & mit par malheur le feu à leur peau de lin collé dessus avec de la poix ; la Salle fut aussitôt pleine de flammes, & remplie d’effroi & de cris ; tout le monde s’étoufoit pour sortir ; quelques-uns crioient sauve le Roi : la Duchesse de Berry qui étoit avertie de cette Mascarade, reconnut le Roi, le couvrit de sa robbe, & le préserva bien du feu ; mais l’appréhension dont il fut saisi, le réduisit en un état pire que devant : le Comte de Jouy, le Bâtard de Foix furent misérablement grillez ; le jeune Nantouillet s’avisa de se jetter dans une cuve pleine d’eau, qui le garantit de l’incendie. […] Ces exemples font assez connoître qu’il est de la prudence des Princes & des grands Seigneurs de ne point sortir de leur caractere dans leurs divertissemens.
Danaüs est devancé par des Officiers portant des flambeaux ; il exprime son impatience et son inquiétude ; mais étant tout-à-coup frappé par les accens tristes et lugubres et par les cris plaintifs, qui sortent de la Chambre Nuptiale, il ne doute plus que ses filles n’ayent exécuté ses ordres. […] Les Danaïdes restent immobiles à la vue de leur cruel attentat ; ici sortent du lieu du massacre des spectres horribles ; Tisiphone, Alecto, Mégère les accompagnent ; le Crime, la Trahison, la Perfidie et le Remords les suivent ; cette troupe infernale s’empresse à présenter aux Danaïdes les tableaux effrayans de leurs crimes ; les images, qui leur sont retracées par les enfers, leur déchirent l’ame, et leur causent à chaque instant de nouvelles épouvantes ; elles veulent fuir ; mais elles sont sans cesse arrêtées dans leur fuite par les grouppes horribles, qui les dévancent ou qui les poursuivent ; le Crime, le Remord, la Trahison et la Perfidie, conduits par les Furies, les enchaînent, pour ne les plus abandonner ; en vain veulent-elles échapper à la punition, qui les attend ; la terre s’entr’ouvre, il s’en exhale une vapeur épaisse mêlée de flammes ; un bruit sourd et confus ajoute à cette horreur ; un spectre hideux armé d’une faulx, sort à pas lents du souterrain ; son apparition glace d’épouvante l’ame des Danaïdes ; la pâleur de la mort se répand sur leurs traits ; le spectre leur montrant d’une main menaçante la route qu’il vient de leur frayer, leur ordonne d’y descendre ; c’est inutilement qu’elles tentent de se soustraire à sa puissance ; elles sont entrainées par la troupe infernale et les spectres armés de torches funéraires et lugubres les précipitent dans l’empire des morts.
Ses Amis (car Marc-Antonin quoique sur le trône, mérita d’en avoir), lui conseillaient un jour de suivre l’exemple de Domitien dont il éprouvait le sort, et de répudier l’inconstante Faustine.
Cette objection est le grand sort des Danseurs modernes.
Une heure après que le bal fut commencé, Antiochus se sentant échaufé de vin, s’avisa d’en sortir sécretement, pour se faire rapporter en dés-habillé au milieu de l’assemblée, enveloppé dans un drap, d’où se levant tout-à-coup, il dansa une Entrée d’Endormi avec tant d’extravagance, que tout ce qu’il y eut de personnes de considération sortirent du bal, comme par mépris pour le Roi, ne pouvant soufrir cette indignité dans un bal de cérémonie, où la bienséance doit toujours être observée ; ce qui est bien différent d’un bal masqué, où la licence est tolérée, comme je le ferai voir dans son lieu. […] Enfin n’en voulant point démordre, & le Cavalier ne sçachant plus que lui répondre, entra dans le centre du bal ; & laissant tomber son manteau, il fit voir à la mariée un corps de Satyre au naturel : ce qui scandalisa toute l’assemblée ; les Dames eurent recours à leurs éventails, les hommes coururent à leurs épées, & criérent qu’on fermât les portes ; mais ces jeunes Seigneurs se doutant bien de ce qu’il en pourroit arriver, avoient eu la précaution d’ordonner à leurs valets de s’en emparer : ils mirent tous l’épée à la main, aussi-bien que leurs Maîtres ; desorte qu’ils se firent jour pour sortir, sans coup férir. […] Monsieur, & plusieurs Seigneurs & Dames de la Cour vinrent voir cet appareil, pour s’y rafraîchir pendant la pause du bal ; je les suivis aussi : ils prirent seulement quelques grenades, citrons, oranges, & quelques confitures séches ; mais sitôt qu’ils furent sortis, tout fut abandonné à la discrétion du public : tout ce grand appareil fut pillé en moins d’un demi-quart-d’heure, pour ne pas dire dans un moment. Il y avoit dans une autre chambre deux grands buffets garnis, l’un de toutes sortes de vins, & l’autre de toutes sortes de liqueurs & d’eaux rafraichissantes : les buffets étoient séparez par des balustrades, & en dedans une infinité d’Officiers du Gobelet avoient le soin de donner à qui en vouloit tout ce qu’on leur demandoit pour rafraichissemens, pendant tout le tems du bal qui dura toute la nuit, quoique le Roi en sortît à onze heures, avec le Roi d’Angleterre, la Reine, & tous les Princes du Sang, pour aller souper ; mais pendant que le Roi y fut, on n’y dansa que des danses graves & sérieuses, où la bonne grace & la noblesse de la danse parut dans tout son lustre.
Par lesdits Changements, encore, On voyait, à l’instant, éclore Des Paysages verdoyants, Des Berceaux de Vigne, attrayants, Soutenus par mainte Statue, Tout de même, à perte de vue, De riches Vases d’Orangers, De Citronniers, de Grenadiers, D'où sortaient Faunes, et Dryades, Tout ainsi que de leurs Estrades.
Comme il se décide a sortir par un des flancs du théâtre, il rencontre sa sœur, qui vient pour retrouver Belton ; elle reçonnoit son frère, veut se jetter dans ses bras ; il la repouse avec douceur et semble lui reprocher d’avoir abandonné son père, sa mère et lui-même, pour suivre un étranger séducteur. […] Belton sort un moment et reparoît avec ses deux enfans dans ses bras ; il tombe à genoux ; la jeune femme vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer la grace de leur père.
Pendant des années quand un visiteur entrait par une porte, elle sortait par l’autre et cela lui était égal que ce fût pour une longue visite ou pour un mot seulement. […] Elle habite au troisième au fond d’une cour dans une maison derrière les Folies-Bergère et n’en sort jamais, si ce n’est avec le directeur du théâtre ou sa femme, et avec sa mère qui ne la quitte pas. […] Il a fait percer une porte au fond de la scène pour qu’elle puisse rejoindre cet appartement sans avoir à sortir dans la rue.
[10] Tutte queste sorti di Assemblé van toccando la piana terra con le punte de’ piedi, tanto poco deve essere l’alzata di esse.
III Cela est tellement vrai, surtout pour les filles à dots, qu’il n’est pas rare de voir une enfant de seize ans prendre un époux rachitique, poussée par le simple attrait de cette perspective : — Je pourrai sortir seule ! […] Un jour qu’il pleuvait, que le ciel était gris, que j’étais seule chez moi, je me mis à penser à notre sort actuel et à celui qui nous attendait.
Le grand prêtre et les sacrificateurs sortent du temple. […] Pyrrhus et Polixène sortent du temple et sont glacés d’horreur.
Pour former un pas, la jambe sort d’une position, passe à une autre, puis à telle ou telle autre (suivant la complication du pas) pour diriger le corps. […] Pour faire cet exercice, placez le corps comme pour les grands battemens, les jambes tendues, et à la troisième position, sortez celle du côté opposé à celui où vous vous tenez, en tournant la cuisse, et le genou en dessus pour soutenir le dehors : sortez le talon en avant pour faire tourner la pointe du pied en arrière, ce qui présentera la plante droite vers la terre ; glissez-y la pointe du pied, partant de la troisième position jusqu’à la seconde, où elle arrivera tendue le plus que, vous pourrez ; ensuite retirez-la également à terre pour rentrer à la troisième position, où le talon se posera par le moyen du genou tendu, la ressortant consécutivement, pour la rentrer alternativement devant et derrière. […] Pour finir ce pas, enlevez-vous en amenant en même tems la jambe qui est tendue, pour la rentrer devant à la troisième position, où elles se trouveront toutes deux également tendues ; retombez sur les pointes ; posez consécutivement les talons que vous sortirez en avant, pour remboîter plus facilement les pieds et tourner les pointes de côté ; tenez les genoux tendus. […] Aussitôt que cette jambe aura été écartée à la seconde position, rentrez-la devant l’autre à la troisième position, sans faire aucun mouvement de plié ni de sauté, et sortez consécutivement la jambe qui est derrière de côté, a la seconde position, pour marquer de l’autre jambe le second tems double de la sissone. Pour continuer cette sissone double alternativement d’une jambe et de l’autre, faites un assemblé à la troisième position devant, de la jambe dont vous avez marqué le second tems de la sissone double ; pliez, enlevez-vous, et en retombant, sortez cette même jambe qui a fait l’assemblé, rentrez-la de suite devant l’autre, pour faire la sissone dessus ou devant, sortez consécutivement celle qui est derrière, pour marquer le second tems de la sissone doublée ; continuez ce tems en commençant par l’assemblé, et de suite la sissone double, le tout durant une mesure.
Ils bravaient ainsi dans le sein des Muses les rigueurs du sort, et l’injustice de la fortune.
Le sort de ce combat doit décider de celui de la patrie. […] Tullus et Métius s’avancent, et jurent en présence des deux camps, et aux pieds des autels, qu’eux et leurs descendans s’en tiendront inviolablement à ce que le sort du combat entre les Horaces et les Curiaces aura décidé. […] Le vieil Horace sort de l’accablement ou il étoit plongé, pour se livrer à l’excès de la joie ; il vole dans les bras de son fils ; il ne peut s’en détacher ; cependant Horace se rappelle que son triomphe est désespérant, puisqu’il le prive de deux frères qu’il cherissoit ; il les apperçoit couverts de sang, et étendus sur la poussière ; il s’arrache des bras de son père ; il se précipite sur les corps de ses frères ; il mêle les larmes de l’amitié au sang qui coule encore de leurs blessures.
Comme elle sortait de la chapelle et descendait sur la grève, un premier coup de vent lui apporta la tête, un second le corps, un troisième les jambes. […] Une des plus jolies de ces légendes est celle de la demoiselle de Magdebourg qui sortait de son palais aquatique pour aller à la boucherie avec un joli petit tablier blanc dont le bout était toujours mouillé et ne pouvait sécher, quoi que l’on fît. […] Cette dernière, mère de l’Ondine amoureuse, donne à sa fille tous les conseils de la prudence, et lui dit que les passions mortelles l’exposeront au triste sort des mortels. — « Voyez, manière ! […] Séduite et attirée peu à peu, elle cède à la séduction que nul ne peut vaincre ; elle tend les bras à ces images décevantes, et au moment où les eaux l’engloutissent, Ondine elle-même sort doucement du lac, s’empare de la ressemblance de Giannina, et s’assied à sa place dans la barque conduite par Mattéo.
Au centre de chaque arcade était suspendu un lustre de cristal, au-dessus duquel était une agrafe dorée, d’où sortaient des festons et chutes de fleurs d’Italie. […] Au-dessus de chaque lustre était une grande agrafe dorée, d’où sortaient des festons aussi dorés. […] Le Roi sortit de son appartement, passa dans la grande salle, et se mit à table. […] Des satyres qui sortaient du bois, leur apportaient tout ce qui était nécessaire pour le service. […] Au même endroit, dans un ordre différent, étaient trente-six cascades ou fontaines d’artifice d’environ trente pieds de haut, dans de petits bateaux, mais qui paraissaient sortir de la rivière.
Serve per Teatro e per Sala: entra in tutte le sorti di ballo e specialmente nel ballar serio in cui, fatto con maestà, cresce di bellezza.
Les excellentes lettres de cet artiste célèbre, sur les ballets, ont été écrites particulièrement pour le compositeur, et ne devraient jamais sortir de ses mains ; c’est cet ouvrage qui apprendra aux artistes danseurs les véritables règles dramatiques, et la manière simple d’intéresser dans une action pantomime. […] Lorsqu’ils seront parvenus à s’assujettir à ce travail, que j’oserai dire mathématique, à cause de sa rigueur, ils seront sûrs de se bien placer, et ils donneront des preuves qu’ils sortent d’une bonne école, dans laquelle ils ont acquis un goût pur7.
[Voir Cordace, Cycinnis, Danse des Lapithes, Emmelie] À Rome et dans toute l’Italie, le premier jour du mois de Mai, la jeunesse sortait par troupes au lever de l’Aurore.
Le combat des Soldats sortis du sein de la Terre dans Cadmus, devait être, selon ses vues, une action de danse.
È di varie sorti, delle quali parleremo in tanti distinti Paragrafi, e primo del “Semplice”, il quale si fa avanti, indietro, in fianco, in giro e disfatto girando.