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47. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124

T Tailles diverses, 88, 91, 93, 107.

48. (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo XXXIII. Della Figura »

[9] La Figura Irregolare, all’incontro, s’adopera qualora due ballatori danzano sopra le dette linee col medesimo piede, cioè un cominciando i passi col piè dritto e l’altro anche col dritto, l’un camminando a man manca e l’altro a man manca, l’un girando per la destra e l’altro parimente per la destra, ed ultimamente facendo amenduni, o sopra l’istessa o sopra diverse figure, col medesimo piede gl’istessi passi.

49. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »

Outre la beauté des spectacles, L’harmonie y fit des miracles, Car les divers Musiciens, Tant de la Cour, qu’Italiens, Si parfaitement réussirent, Qu’ils délectèrent, qu’ils ravirent.

50. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103

Il faut qu’il lui démontre bien sa différence qu’il y a d’un genre de danse à l’autre, qu’il en fixe bien précisément l’exécution et qu’enfin il apprenne à l’écolier quelles sont les diverses manières de danser qu’exigeront l’habit et les costumes dont il devra se revêtir selon l’occurrence77. […] Les temps de courante simples et composés ; les coupés à la première, à la seconde, et composés ; les attitudes, les grands ronds de jambe, les temps de chaconne, les grands fouettés en face et en tournant, les quart de tour, les pas de bourrée, et les temps des diverses pirouettes, suivent les premiers exercices.

51. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »

Lycurgue d’ailleurs, comme l’abeille qui compose son miel du suc de diverses fleurs, prit encore des Arcadiens, qui passaient pour des Peuples très sages, parce qu’ils savaient être heureux, une partie des usages qu’il établit à Lacédémone ; et dans toute l’Arcadie, la jeunesse s’occupait constamment de la Danse, jusqu’à trente ans.

52. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »

Ces sons inarticulés qui étaient une espèce de chant ; et (si on peut s’exprimer ainsi) la Musique naturelle, en se développant peu à peu, peignirent d’une manière non équivoque, quoique grossière, toutes les différentes situations de l’âme, et ils furent précédés et suivis à l’extérieur de gestes relatifs à toutes ces diverses situations.

53. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »

Je pense, dit un des plus célèbres, qu’on doit entendre dans tous les Psaumes, par les chœurs, dont ils font mention, une troupe d’hommes dansants au son de divers instruments de Musique.

54. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »

Jupiter lui accorda encore cette requête, et les Chevaliers et leurs Dames descendant des nues sur le théâtre au son de plusieurs Instruments dansèrent divers ballets ; ce qui fut la fin de cette belle Moralité. » [Voir Fête (Beaux-Arts)] Quel monstre qu’une pareille composition !

55. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »

Ainsi, sans que rien puisse le distraire, ou l’arrêter, le peintre saisit son pinceau, et la toile se colore, les figures s’arrangent, les morts revivent ; le ciseau est déjà dans la main du sculpteur, et le marbre s’anime ; les vers coulent de la plume du poète, et le théâtre s’embellit de mille actions nouvelles qui nous intéressent et nous étonnent ; le musicien monte sa lyre, et l’orchestre remplit les airs d’une harmonie sublime ; un spectacle inconnu, que le génie de Quinault a créé, et qu’elle embellit, ouvre une carrière brillante aux Arts divers qu’il rassemble ; des masures dégoûtantes disparaissent, et la superbe façade du Louvre s’élève ; des jardins réguliers et magnifiques prennent la place d’un terrain aride, ou d’un marais empoisonné ; une éloquence noble et mâle, des accents dignes de l’homme, font retentir le barreau, nos tribunes, nos chaires ; la face de la France change ainsi rapidement comme une belle décoration de théâtre ; les noms des Corneille, des Molière, des Quinault, des Lully, des Le Brun, des Bossuet, des Perrault, des Le Nôtre, volent de bouche en bouche, et l’Europe entière les répète et les admire : ils sont désormais des monuments immuables de la gloire de notre nation et de l’humanité. […] Cette émotion, moins vive à la vérité, mais du même caractère, se fait sentir à tous ceux qui sont à portée de jouir des diverses productions des beaux-arts. […] Les mots d’imagination, de génie, d’esprit, de talent, ne sont que des termes trouvés pour exprimer les différentes opérations de la raison : il en est d’eux à-peu-près comme des divinités inférieures du paganisme : elles n’étaient aux yeux des sages, que des noms commodes pour exprimer les divers attributs d’un Dieu unique ; l’ignorance seule de la multitude leur fit partager les honneurs de la divinité. […] Au reste soit que la vérité triomphe enfin de l’erreur, soit que le préjugé plus puissant demeure le tyran perpétuel des opinions contemporaines, que nos illustres modernes se consolent et se rassurent : les ouvrages du dernier siècle sont regardés maintenant sans contradiction, comme des chefs-d’œuvre de la raison humaine, et il n’est pas à craindre qu’on ose prétendre qu’ils ont été faits sans enthousiasme : tel sera le sort, dans le siècle prochain, de tous ces divers monuments glorieux aux Arts et à la patrie, qui s’élèvent sous nos yeux.

56. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Il n’y a pas un spectacle en Europe qui puisse réunir tant de talens divers que l’opéra. […] Est-ce là l’operation du génie, de cet ésprit créateur qui doit enfanter tant d’objets divers ? […] Il est donc un art ou un pressentiment heureux, qui apprend à juger des éffets par l’assortiment des couleurs ; de telle sorte que cinq principaux personnages obligés de changer de place, et de former successivement divers tableaux, doivent être vêtus de manière à n’offrir que des groupes qui se lient par le choix et l’entente des couleurs.

57. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »

Ce sens, si l’on en croit Platon, produit l’harmonie de tous les mouvements de l’âme et du corps que la Danse sert à entretenir. « Lorsque (dit il poétiquement), la raison répète à la mémoire les concerts que cette harmonie a formés, toutes les puissances de l’âme se réveillent ; et il se forme une Danse juste et mesurée entre tous ces divers mouvements. » On dirait que ce philosophe ne nous considère que comme des espèces de clavecins bien accordés, sur lesquels des mains exercées touchent les airs différents, qu’un caprice heureux leur suggère.

58. (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo III. Dell’Equilibrio del Corpo »

[2] L’equilibrio rispetto al ballo consiste nel tenere il corpo diritto, grazioso, ben disposto e niente forzato oltra la sua naturalezza, in modo che tutto il suo peso s’appoggi sopra le piante, ovvero sopra le punte de’ piedi, in quelle diverse maniere che or ora farem vedere.

59. (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -

Je lui ai entendu tenir un langage très « compréhensif » sur divers sujets d’astronomie, de chimie, de physiologie.

60. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »

Mais qu’est-elle devenue cette foule de Pétrouchka, diverse, bariolée, enivrée de mouvement ?

61. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87

Des pirouettes ; De la manière de les prendre ou préparer, de celle de les faire et de les filer ; des diverses positions ou attitudes que l’on peut avoir en tournant, et des différentes manières de les arrêter et de les terminer [1] C’est aux progrès étonnants de la danse moderne58 que nous devons les pirouettes ; nos anciens danseurs, ainsi que Noverre 59, ne les connaissaient point, et ils pensaient qu’il était impossible de surpasser les trois tours sur le cou-de-pied. […] L’exécution actuelle des diverses pirouettes est vraiment extraordinaire, en ce qu’on est parvenu à faire l’aplomb le mieux conservé, et à maintenir le corps dans l’équilibre le plus parfait.

62. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108

Armide et son amant sont suivis du plus brillant cortège ; ils se placent sur un sopha ; les Jeux, les Plaisirs, les Nymphes, les Graces et les Amours s’empressent à l’envi à exécuter des danses, et à se groupper de diverses manières autour de Renaud et d’Armide. […] Ce morceau composé de six personnes tenant des couronnes et des guirlandes, est exécuté sur le mouvement vif d’un passe-pied ; les entrelacemens, les passes rapides, et les divers tableaux qu’ils présentent, ne peuvent se peindre avec des phrases.

63. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Voyez les mémoires du temps, et les diverses relations des fêtes de Louis XIV, surtout de celle de 1668. […] Les voûtes représentaient l’air, et des génies en groupes variés et galants, qui portaient les fleurs et les fruits que ces divers climats produisent. […] qu’on a expliquées plus haut, se trouvaient éclairés sur les divers desseins de cette construction, ou suivant les différentes formes des arbres dont la campagne était couverte. […] Au dessus de la terrasse, et à l’aplomb des colonnes du milieu, s’élevait un socle antique formé de divers compartiments ornés de bas-reliefs, et couronné de douze vases. […] Le dessein des parterres était tracé et figuré d’une manière variée et agréable par des terrines, par du gazon et du sable de diverses couleurs.

64. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »

Il s’établit dans Athènes et à Rome des Gens exercés qui jouaient de divers instruments, d’autres qui chantaient et qui dansaient pendant et après les festins.

65. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »

Nous verrons se manifester un style figé, impassible comme un alexandrin de Leconte de Lisle, mais infiniment complexe, divers, chatoyant.

66. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 mars. Le cas des Sakharoff. »

Leur art ressort à une culture intellectuelle et artistique peu commune, diverse, complexe.

67. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — [Conclusioni] »

La cagione delle diverse Città si è la differenza de’ gusti, e quella de’ Teatri si attribuisce alla struttura ed alla grandezza de’ medemi, ove un’eco differente non dà all’armonia l’istessa corrispondenza: se la Musica sarà stridente, in un piccolo Teatro farà forse un mal sentire, ed in un grande non avrà più quell’aspro.

68. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »

Quatre Édifices enchantés Et, je pense aussi, concertés Dans les secrets d’une Magie Dont la Puissance est infinie, S’y voyaient en des Lieux divers, Passant tout ce qu’en l’Univers Ont produit les artistes Veilles, Sans excepter les sept Merveilles.

69. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

Il prend toujours la teinte, si on peut parler ainsi, du tempérament des diverses nations. […] Il est naturel de croire que le chant des oiseaux, les sons différents de la voix des animaux, les bruits divers excités dans l’air par les vents, l’agitation des feuilles des arbres, le murmure des eaux, servirent de modèle pour régler les différents tons de la voix. […] Les inflexions de la voix des animaux sont un vrai chant formé de tons divers, d’intervalles, etc. […] En partant de ce point, qui paraît incontestable, il est aisé de concilier les différences qu’on trouve dans la Musique vocale des diverses nations. […] Comme la première ne consiste pas seulement en un arrangement méthodique de mots, et que la seconde doit être tout autre chose qu’un simple mélange de couleurs, de même la Musique n’est rien moins qu’une suite sans objet de sons divers.

70. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo XXV. Del Passo Grave, ou Courante »

A due piegate, o sia a quattro movimenti [10] V’è inoltre il passo grave “a quattro movimenti”, o sia “a due Piegate”: egli principia come il solito con la piegata, e portandosi in seconda il piede che sta addietro, rilevando nel tempo stesso, si ritornino a piegare altra volta tutti due i ginocchi egualmente, con far cader la vita perpendicolarmente, ed è questa la seconda piegata ed il movimento che di più si accresce, e quindi, tornandosi a rilevare, si porta in quarta sdrucciolando, in una delle diverse maniere, riferendosi a’ modi di sopra espressati.

71. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »

Cette danse inventée et exécutée par le vainqueur du Minotaure et la jeunesse de Délos, était composée de strophes et d’antistrophes, comme la première, et on la nomma la danse de la grue, parce qu’on s’y suivait à la file, en faisant les diverses évolutions dont elle était composée, comme font les grues lorsqu’elles volent en troupe. […] A leur exemple dans les grands ballets exécutés dans les différentes cours de l’Europe, on a eu l’attention de mêler dans les orchestres, les instruments convenables aux divers caractères qu’on a voulu peindre ; et on s’est attaché plus ou moins à cette partie, selon le plus ou le moins de goût de ceux qui en ont été les inventeurs, ou des souverains pour lesquels on les a exécutés. […] Ce sont à la vérité des peuples différents qu’on y voit paraître : mais leurs habits plutôt que leurs pas annoncent leurs divers caractères ; aucune action particulière ne lie la danse avec le reste de l’acte. […] Le temps des airs sont les divers passages que l’on fait faire aux chevaux en avant, en arrière, à droite, à gauche : de tous ces mouvements se forment les figures, et quand d’un seul temps sans s’arrêter, on fait aller le cheval de ces quatre manières, on appelle cette figure faire la croix. […] Le chant si naturel à l’homme, en se développant, a inspiré aux autres hommes qui en ont été frappés, des gestes relatifs aux différents sons dont ce chant était composé : le corps alors s’est agité, les bras se sont ouverts ou fermés, les pieds ont formé des pas lents ou rapides, les traits du visage ont participé à ces mouvements divers, tout le corps a répondu par des positions, des ébranlements, des attitudes aux sons dont l’oreille était affectée : ainsi le chant qui était l’expression d’un sentiment (Voyez Chant) a fait développer une seconde expression qui était dans l’homme qu’on a nommée danse.

72. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80

J’ajouterai que je fis dans ma jeunesse un cours d’ostéologie ; il m’a été très utile dans mes leçons, soit en diminuant les longueurs de l’instruction, soit en jettant plus de clarté dans la démonstration des principes : cet art m’a enseigné à demêler les causes qui s’opposent à l’exécution de tel et tel mouvement ; et connoissant la partie osseuse de l’homme, les leviers et les charnières qui opèrent leurs jeux divers, je n’éxigeois pas de mes élèves ce que la nature ne vouloit pas, et je dirigeois mes leçons d’après un éxamen approfondi de la conformation de chacun d’eux. […] Augustin, et les auteurs qui ont écrit sur les théatres ; après avoir pesé à la balance du bon sens leurs opinions diverses ; après m’être apperçu qu’elles se contredisent, et m’être convaincu que la plupart des traducteurs n’étoient souvent que des fanatiques et des bigots de l’antiquité, acharnés à mépriser nos chefs-d’oeuvre, et à éxalter même ceux qu’ils ne connoissent pas, aux dépens de ceux qui font la gloire de la France, et le triomphe de nos artistes ; j’ai pensé que je ne devois pas m’en rapporter a leurs éloges éxagérés, parcequ’ils choquoient mes sens, et qu’ils offensoient ma raison.

73. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »

Le nombre des Danses se multiplia34, le goût leur assigna leurs divers caractères, la Musique si expressive chez les Grecs, suivit les idées primitives dans les airs qu’elle composa, et chacune des Fêtes qu’on célébrait, devint un spectacle animé, dont tous les Citoyens étaient Acteurs et Spectateurs tour à tour.

74. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »

Cette joie se varie, prend des nuances différentes, des couleurs, des tons divers suivant la nature des événements, le caractère des Nations, la qualité, l’éducation, les mœurs des Peuples.

75. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »

Il y a des allures irréalisables pour lui, les « rubati », brusques changements de temps, le déconcertent, les coupes trop diverses d’un rythme syncopé lui échappent.

76. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222

Sous divers prétextes, il l’éloigne du théatre de sa gloire et de son infidélité.

77. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215

Leur trouble croit et augmente sans cesse ; de la tendresse, elles passent à la jalousie, de la jalousie à la fureur, de la fureur à l’abattement, de l’abattement à l’inconstance ; elles éprouvent, en un mot, successivement tous les sentimens divers dont l’âme peut être agitée, et il les rappelle toujours à celui du bonheur, ce Dieu satisfait et content de sa victoire, cherche à se séparer d’elles ; il les fuit, elles le suivent avec ardeur ; mais il s’échappe et disparoit ainsi que sa mère et les Grâces ; et les Nymphes courent et volent après le plaisir qui les suit. […] Ces mêmes caprices ont toujours diverses nuances et diverses gradations : les Bergers feignent d’adresser leurs vœux à une autre bergère, et de lui offrir les présens destinés à celle qu’ils aiment. […] Ces transitions soudaines, ces mouvemens divers, cette alternative continuelle de tendresse et d’indifférence, de douleur et de plaisir, de sensibilité et de froideur, ont été le sujet d’une foule de tableaux qui tous ont paru également intéressans et d’un goût véritablement neuf.

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