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58. (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231

En somme c’est à l’époque des « neiges d’antan » que se déroulent les événements dansés du ballet.

59. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108

A cette époque, les hommes dans les quels j’ai trouvé de grandes dispositions, arrivoient de la province ; ils doivent avoir acquis beaucoup de talens en travaillant sous un maître aussi célèbre que Mr.

60. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136

Cette époque étoit bien différente de celle qui fut marquée par la main ensanglantée de Robespierre.

61. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -

Le commencement de la réputation de Marcel est une époque assez remarquable dans l’Opera.

62. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Il y a des époques de transition où l’hôtel garni revoit la Lorette, elle y touche un moment comme les navigateurs abordent à quelque terre sauvage pour attendre le bon vent. […] A cette époque, les poches d’Arthur clerc d’huissier regorgent de petits instruments tels que canifs, porte-plumes, cachets, bagues, éteignoirs en porcelaine de Chine ou en bronze. […] A cette époque l’Arthur s’avise de calculer que cinq mille bouteilles de champagne dont il a fait son onde lustrale lui ont coûté 25,000 fr. sans compter les bouteilles frappées qui augmentent le chiffre d’un cinquième. […] Il y a toujours une époque dans la vie de la Lorette où la misanthropie la pousse à fuir tous les hommes… de Paris ; elle croit que le paradis terrestre avec ses anges est extra-muros. […] … est une ode qui transmet aux siècles à venir la sensibilité exquise et le dévouement surhumain du cordon-bleu de notre époque.

63. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

Depuis cette époque, le lac n’offrit plus un seul poisson à la ligne ou aux filets du pêcheur. » Les Nixen-Brunnen, ou fontaines des Ondines, abondent dans toute l’Allemagne, et les récits bizarres qui se rapportent à leur existence rempliraient un volume. […] Elle y obtint un grand succès, et depuis cette époque, les organes le plus en vogue de la presse britannique répètent que jamais danseuse ne sut conquérir plus entièrement le public anglais.

64. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17

[4] Je pense que quand même Noverre 3 aurait parlé de tout ce qui concerne le mécanisme, et même le charme de la danse, son ouvrage ne serait pas pour nous aujourd’hui d’une bien grande utilité ; car notre art, depuis l’époque où il a écrit, est entièrement changé.

65. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -

L’opéra prit bientôt une nouvelle forme quant au costume à la pompe et à la variété des ballets ; et la danse de ce spectacle, qui, quoique susceptible encore de perfection, est devenue néanmoins la plus brillante de l’Europe, sortit enfin à cette époque de sa longue enfance ; elle apprit à parler le langage des passions qu’elle n’avoit pas encore balbutié.

66. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96

Rome, à cette époque avoit perdu ses grands acteurs, et n’avoit plus de spectacle ; cette disette ne contribua pas peu au succès des mimes ; la nouveauté est toujours comme lorsqu’elle se montre avec quelques attraits ; mais je ne puis croire à la perfection de ces acteurs pantomimes et je vais vous le démontrer par des raisons suffisantes.

67. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Ces deux artistes ne touchaient à Londres que de faibles appointements, et encore à cette époque le grand théâtre ne payait qu’assez irrégulièrement. […] Quand cette artiste était au théâtre de Vienne, on voulait savoir qu’elle intéressait un prince bien cher à la nation française et moissonné à la fleur de l’âge, pour le désespoir de notre époque. […] (un dimanche), 12e représentation avec Le Dieu et la Bayadère (75e, dansé par Marie Taglioni) 8 775 — 15 — 13e représentation avec Guillaume Tell (106e) 7 513 — 26 — 14e — — Le Philtre (56e) 5 993 — Comme points de repère, indiquons quelques recettes effectuées à la même époque par Marie Taglioni : 22 sept.

68. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64

Il est en vérité bien étonnant, Monsieur, que l’époque glorieuse du triomphe des beaux arts, de l’émulation et des progrès des artistes n’ait point été celle d’une révolution dans la danse et dans les ballets ; et que nos maîtres, non moins encouragés et non moins excités alors par les succès qu’ils pouvoient se promettre dans un siècle où tout sembloit élever et seconder le génie, soient demeurés dans la langueur et dans une honteuse médiocrité.

69. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203

C’est depuis cette époque que la Rosière reçoit une bague, et qu’elle et ses compagnes sont décorées de ces rubans.

70. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

*** C’étaient, enfin, les Brach, les Volter, les Villiers, les Ribe… Et puis, la bande des rats de l’époque : Nini, Salaba, Travers, Bélardel, Jousset, Accolas, Vauthier, Desvignes ; Gauguin, qui aimait tant Régnier, de l’Ambigu ; Guénia, que Faure protégeait ; Subra, la sœur aînée de celle d’aujourd’hui, qui allait jouer la tragédie dans la banlieue sous le pseudonyme de Constance Léger, et qui joue maintenant sous son nom la comédie à l’étranger ; Pourchet qui déclarait si volontiers : « L’Empereur a dit comme ça à mon beau-frère… » Travers, qui obtenait tant de succès dans une romance de sa composition : J’avais quinze ans et j’étais jeune fille… et la petite Paillier, qui, complimentée par un abonné sur son minois de bergerette à la mode du siècle dernier, s’écriait en s’adressant aux camarades : — Comprenez-vous c’ t’ animal-là qui vient me dire que je ressemble à un Boucher !

71. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128

Il est en vérité bien étonnant, Monsieur, que l’époque glorieuse du triomphe des beaux Arts, de l’émulation & des progrès des Artistes, n’ait point été celle d’une révolution dans la Danse & dans les Ballets ; & que nos Maîtres, non moins encouragés & non moins excités alors par les succès qu’ils pouvoient se promettre dans un siecle où tout sembloit élever & seconder le génie, soient demeurés dans la langueur & dans une honteuse médiocrité.

72. (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108

On ne s’étonnera pas de cette clause si étrange, si l’on songe qu’à cette époque le roi, les plus grands seigneurs et les plus grandes dames de la cour figuraient dans les ballets sur le théâtre de Versailles.

73. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »

Ils disent que ce prince soupçonneux ayant défendu aux Siciliens de se parler, de peur qu’ils ne conspirassent contre lui ; la haine et la nécessité, deux sources fertiles d’invention, leur suggérèrent les gestes, les mouvements du corps et les figures, pour se faire entendre les uns aux autres : mais nous trouvons des ballets, et en grand nombre, antérieurs à cette époque ; et l’opinion la plus certaine de l’origine des danses figurées, est celle que nous avons rapportée ci-dessus. […] C’est l’époque de la naissance des grands ballets, voyez Ballet, et de l’opéra, voyez

74. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Avant d’être princesse de Clermont, mademoiselle Le Duc avait eu, sinon des jours, du moins des nuits agitées ; ce qui me fait le croire, c’est que je lis dans une chronique de l’époque : « A l’occasion de mademoiselle Le Duc, dont l’éclat importun offusquait les yeux de quelques filles du même ordre, on examinait les avantages et les inconvénients d’une fortune rapide. […] C’est une courtisane qui fera vraiment époque par son art dans le raffinement des voluptés et dans les orgies qui se célèbrent chez elle et dont on rapporte des choses merveilleuses. » Ce Théâtre était, en outre, affirment, les Mémoires du temps le rendez-vous ordinaire des plus jolies filles de Paris et des plus aimables libertins.

75. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172

Il ne m’avoit pas écrit depuis vingt ans, et à dater de cette époque, il savoit que je m’occupois à écrire sur mon art, à l’embellir par des productions nouvelles, et à rendue un compte fidèle des voyages et des entreprises de mon imagination.

76. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Le résultat de mes observations vous prouvera que chaque siècle a eu ses ridicules et que les goûts les plus bizarres se sont introduits furtivement, a des époques mêmes, où les sciences, les talens et les arts avoient atteint le plus haut dégré de splendeur et de perfection.

77. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212

A l’époque dont je vous parle, la majeure partie de la noblesse ne tenoit pas maison, mangeoit à la taverne, et laissoit leurs familles à la campagne.

78. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Le lendemain, à six heures et demie du soir, elle s’embarquait sur le Great Western, le plus beau paquebot de l’époque. […] » Par une rencontre curieuse, la frégate la Belle-Poule, qui avait transporté les cendres de Napoléon, vint à la même époque à New-York. […] Elles ont été publiées, les unes à l’époque même du voyage par l’Allgemeine Theaterzeitung de Bæuerle, les autres par l’Œsterreichische Rundschau, n°s 36-43, 1905.

79. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50

Il se précipite dans les bras de Procule ; Fulvie tombe aux genoux de son père ; le vieil Horace serre dans ses bras son fils et son ami ; Procule, qui veut que ce moment soit l’époque de la félicité d’Horace, lui donne Fulvie ; il accepte ce bienfait avec transport ; son père se saisit de ses trophées, les porte en triomphe, et on l’emmène pour le montrer au peuple.

80. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

« Voulons en outre qu’il ait même force et valeur que s’il était passé devant notaire, sous peine de paiement de 60 000 francs à titre de dédit, exigible en totalité, à quelque époque de l’engagement que ce soit et quel que soit le temps qui resterait à courir, payable en tous lieux où le premier contrevenant pourrait se retirer, le présent engagement étant respectivement regardé et devant être jugé comme entreprise ou affaire de commerce. » Le texte était formel. […] Les purs maudirent une époque où l’opéra et la danse, disaient-ils, avaient fait oublier à beaucoup d’Italiens l’austère devoir et le combat viril pour la liberté. […] Grillparzer était dans une de ses périodes de pessimisme où il accusait son époque de renier tout idéal et de tomber dans un matérialisme grossier.

81. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

En cela j’ai adopté l’erreur de quelques écrivains de l’antiquité et je me suis égaré avec eux ; mais depuis quarante années, (époque où mes premières lettres parurent), j’ai eu le tems de lire, de méditer et de m’instruire ; mes recherches continuelles jointes à l’art difficile que je pratiquois journellement, les obstacles sans cesse renouvellés qu’il me présentoit, répandirent une vive lumière sur mes travaux. […] Ce ballet d’ombres étoit vaporeux ; le costume y étoit observé, et en marquant l’époque des teins et du costume, il répandoit beaucoup de variété dans cette fête magique qui, à mon sens, est historique et allégorique.

82. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

Je vais répondre à celle question : 1° Les circonstances en détermineront la distribution ; la guerre ne peut être éternelle ; les douceurs de la paix attireront une foule d’étrangers, l’industrie renaîtra, le commerce deviendra florissant ; les manufactures reprendront une nouvelle activité ; les arts imagineront dès chefs d’œuvre, et toutes les sources taries de la richesse publique deviendront abondantes : c’est alors que la mode de louer des loges à l’armée se renouvellera et ce sera cette époque heureuse, qui en fixant la prospérité de la France, déterminera la distribution de ce bâtiment. 2° Il faut de toute nécessité une salle pour les administrateurs précédée d’une antre pièce, il faut un secrétariat, une pièce ou bibliothèque de musique et d’ouvrages dramatiques, il faut encore un café et des lieux à la moderne avec des réservoirs. […] ne peut-on pas espérer que le gouvernement frappé de ce grand avantage et effrayé des dangers aux quels les citoyens sont journellement exposés dans la salle existante, ordonnera enfin la construction d’un édifice, qui manque à la capitale et qui immortaliseroit l’époque où ce monument seroit élevé.

83. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

A cette époque, je ne connaissais pas les Anglais, comme j’ai appris à les connaître par la suite.

84. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177

Il sourit avec finesse et je sentis que nous devenions amis… Je dansais à Marseille à cette époque.

85. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71

On s’apperçut enfin que les cinq fausses positions, ainsi que les pas tortillés ne valoient rien ; on y renonça et depuis cette époque on a donné dans l’entortillage et les tourbillons.

86. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Son succès fut moindre dans la Muette de Portici, qui fut reprise à la même époque. […] Par une curieuse rencontre, un autre artiste fit à la même époque le portrait des deux mêmes personnages. […] « Ainsi qu’Alexandre le Grand, vous voulez qu’Apelle brise ses pinceaux après avoir obtenu l’inappréciable faveur de peindre le plus fameux des héros de l’époque.

87. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Elle était pour eux à peu près ce que fut la danse du ventre pour une époque plus voisine de nous. […] L’époque, si positive pourtant, de Louis-Philippe inclinait visiblement vers la danse spiritualisée.

88. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Doué d’une raison extraordinairement lucide et d’une des intelligences les plus déliées de l’époque, capable par moments d’un effort de volonté, presque de courage, il ne s’en jetait pas moins, tête baissée, dans toutes les folies. […] A l’époque du Congrès de Vienne la faveur d’être invité à sa table était extrêmement appréciée. […] Celle-ci, de son côté, pouvait être flattée d’être distinguée par l’un des personnages les plus considérables de l’époque.

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