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30. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »

Il les habilla avec magnificence, et ne laissa rien à désirer, pour faire naître, entretenir, et l’illusion. […] Leurs compositions57 formées des trois caractères en usage, ne laissèrent rien à désirer aux Spectateurs.

31. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre II. Détails sur Pylade et Bathylle »

Mécène ne se serait pas laissé séduire par de moindres avantages ; mais pour s’acquérir la bienveillance de la foule des grands Seigneurs, Bathylle avait senti qu’il lui fallait d’autres ressources. […] Dans les intervalles que laissaient à Pylade et à Bathylle les jours de relâche et les succès continus de leurs compositions, le premier s’occupait à faire des recherches profondes sur son art, à les écrire, à les rendre utiles65.

32. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »

Prêt à escalader les murs de Thèbes, le Parterre lui cria : Saute dessus ; laisse l’échelle. […] Peut-être n’est-il point dans le monde un Public, qui se laisse tromper plus aisément par la charlatanerie que celui que l’amour du plaisir entraîne à nos Spectacles ; mais aussi n’en est-il point qui saisisse avec plus de promptitude la vérité, dès qu’elle se montre à ses yeux.

33. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21

Elle prit le parti de s’asseoir et de se laisser glisser d’une marche à l’autre jusqu’à ce qu’elle fût arrivée sur le parquet. […] Je m’approchai ensuite des marches, et me laissai tranquillement glisser jusqu’en bas, comme je l’avais fait le dimanche précédent.

34. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »

ORPHÉE, ou BAPTISTE, pour lui (Car c’est bien tout un aujourd’hui), Y tient, sous ses rares merveilles, L’âme en Laisse par les oreilles.

35. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81

Le cœur plein d’amertume, les yeux noyés de larmes je me laissai une seconde fois emmener et je montai dans le train. […] Il prétendait qu’on n’aurait jamais dû me laisser partir. […] Mais cette maladie la laissa infirme.

36. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35

Albéric Second dans ses curieux Petits Mystères de l’Opéra, j’ai vu mademoiselle Taglioni, après une leçon de deux heures que venait de lui donner son père, tomber mourante sur le tapis de sa chambre, où elle se laissait déshabiller, éponger, et rhabiller, sans avoir le sentiment de ce qu’on lui faisait. […] D’abord, sur celle-ci, — dont le rideau relevé démasque les effrayantes profondeurs de la salle, — toutes ces demoiselles habillées d’un corsage de flanelle, de percale ou de piqué, qui laisse à découvert leurs bras et leurs épaules ; d’un caleçon de même étoffe, qui s’arrête au-dessus du genou ; de bas, jarretés fort haut, qui leur tiennent lieu de maillot, — et chaussées d’espèces de « cothurnes » d’un puce douteux ou d’un blanc roux. […] … Vous êtes enchaînées ; Mérante fait son entrée ; vous le laissez descendre, et vous lui dites : — Vous… nous… de grâce !

37. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Un Anglais, qui demeurait à l’étage au-dessous, lui fit dire de ne pas se laisser arrêter dans son travail par la crainte que le bruit ne le réveillât. […] Après cette nouvelle série de représentations, l’administration ne put se décider à laisser repartir pour l’Allemagne une artiste aussi remarquable. […] Mais aucune création ultérieure ne réussit à effacer le souvenir qu’avait laissé la Sylphide. […] C’est bien ainsi que Dieu t’a émise de son sein. — Laisse à tes compagnes, qui ont leur grâce, mais qui n’est pas la tienne, laisse-leur ces pas hardis qu’accueillent un sourire, un oh ! […] Il fit appeler Auguste et le tança vertement pour avoir laissé faire à un danseur un succès plus grand qu’à la première danseuse.

38. (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »

5C’est Lucien qui nous a laissé tout ce que nous avons de plus complet sur ces sortes de Spectacles ; mais en lisant tout ce qu’il exige d’un Danseur Pantomime, on voit que nous sommes bien éloignés de la perfection des Danseurs Anciens, supposé qu’il s’en soit trouvé qui aient réuni toutes les qualités demandées par ce Philosophe. […] La description de la Danse Pantomime du Jugement de Paris, qu’Apulée nous a laissée, le démontre avec évidence. […] Il faut même qu’il s’aide du corps de Ballets pour leur donner une étendue raisonnable, et pour laisser reposer ses personnages. […] Je crois n’avoir rien laissé à désirer aux Spectateurs pour l’intelligence de l’Action, et cependant elle ne dure que vingt minutes.

39. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Épître à Monsieur F. A. Blasis mon Père, » pp. 1-4

Ils me faisaient même entrevoir qu’un Mécène généreux, en l’acceptant, laisserait gage de plus de sa bienveillance à l’auteur.

40. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre I. Discours sur les Bras & sur l’utilité de les sçavoir conduire avec grace. » pp. 195-196

Pour moi, je dirai seulement que je regarde les bras qui accompagnent bien le corps en dansant comme la bordure fait à un Tableau : car si elle n’est faite de façon qu’elle puisse convenir au Tableau, quelque beau qu’il soit, il n’est pas si parent : ainsi quelque bien qu’un Danseur fasse les pas, s’il n’a point les bras doux & gracieux, sa danse ne paroîtra pas animée, & par consequent fera le même effet que le Tableau hors de sa bordure : quelque-uns m’allegueront que c’est un don particulier, je l’avoüe ; mais néanmoins j’espere que je ne laisserai pas de donner des moyens pour les acquerir par une ample & distincte démonstration que j’en ferai dans cette Partie, & qui ne doit pas moins contribuer à l’avancement de la jeunesse, qu’au soulagement des Maîtres ce qui est tout ce que je me suis proposé dans mon Livre.

41. (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »

Lucien nous a même laissé un Traité de cet Art célèbre, qu’on peut regarder comme une espèce de Poétique des Danses Pantomimes, quoiqu’il soit imparfait. […] Apulée nous a laissé la description d’un Ballet Pantomime qui représentait Le jugement de Paris.

42. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115

En attendant ce bienheureux retour, laissons agir les sots, n’ajoutons point au chagrin qu’ils éprouvent de voir tous leurs enfans mourir en venant au monde ; ils nous laisserons à défricher un champ vaste qui n’a produit sous leurs bras foibles et incertains, que des bluets et des pavots, mais qui cultivés par l’esprit et le goût des artistes, s’embelliront des plus riches productions.

43. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448

Je l’ai prié de me laisser examiner toutes choses le lendemain. […] Il ne m’eût pas quitté s’il n’eût été préoccupé de l’idée de le laisser seul.

44. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XII. Des Reverences en arriere. » pp. 35-37

J’ai dit aussi que cette reverence est contraire à celle en avant ; cela est vrai, car pour faire celle en avant, le premier mouvement est de glisser le pied devant & de se plier de suite, afin qu’elle ne paroisse point coupée, & celle en arriere, vous marquez d’abord le pli du corps & l’inclination de tête avant de tirer le pied ; mais néanmoins sans beaucoup de distance, parce que les reverences se doivent faire de suite ; de plus c’est que l’on doit éviter l’affectation : mais pour se mettre dans l’habitude de les bien faire, c’est d’en faire plusieurs de suite, cela vous sera plus facile, d’autant que le pied tiré derriere ayant fini l’étenduë de son pas, vous laissez poser le corps dessus, & de-là vous portez le pied de devant à côté pour en refaire une autre & continuer d’en faire plusieurs de suite, mais lorsque vous avez la facilité de les faire d’un pied, vous les faites du pied contraire, afin que vous les fassiez également d’un pied comme de l’autre.

45. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63

Lorsque vous voulez prendre du haut en bas, il faut laisser plier le poignet en dedans, faisant un rond de la main, qui de ce même mouvement se remet dans la première situation où elle était : mais il faut prendre garde de ne point trop plier le poignet ; car il paraîtrait cassé. Quant au second mouvement, qui se prend du bas en haut, il faut plier le poignet en l’arrondissant, puis laisser retourner la main en haut, faisant un demi-tour, et par ce mouvement la main se trouve à la première position des bras.

46. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15

V Pourtant, voyez comme les hommes sont bizarres, il en est très-peu qui ne se laissent prendre à ce mélodrame de boudoir ; ils pleurent avec les victimes, ils les excusent d’avoir failli et leur permettent de continuer leur petit commerce de femme abandonnée. […] — Laisse-le donc faire, lui ai-je dit ; il ne comprend pas ce qu’il dit, c’ pauvr’ homme !

47. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Errata du tome III » pp. -

id. 15. le mene en lesse, lisés ; le méne en laisse.

48. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVII. Des differentes manieres de faire les bras avec toutes sortes de Chassez. » pp. 264-267

Ils ne laissent pas néanmoins de faire une petite action des poignets au premier mouvement, & c’est pour éviter cette roideur où ils paroîtroient, s’ils n’en faisoient aucun.

49. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Au lieu de déployer ce faste sardanapalesque auquel il laissait croire, il se comportait en réalité en digne sujet de Louis-Philippe et surveillait sagement, sans gaspillage, l’emploi de ses deniers. […] Le naufragé est recueilli par une belle jeune fille, Léa, l’enfant même que la Grecque en mourant avait laissée sur le champ de bataille. […] Les fictions de Shakespeare, accommodées de la sorte, laissent le public froid. […] La seconde représentation et les suivantes confirmèrent la bonne impression laissée par la première. […] Mlle Taglioni, altière Vasthi, ne voulait pas se laisser évincer par Esther-Elssler.

50. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »

Il n’y a à l’opéra que très peu de sujets qui chantent d’une manière parfaite ; tous les autres, par le défaut d’adresse, laissent dans leur manière de chanter une infinité de choses à désirer et à reprendre. […] Mais ces trois voix de qualités inégales, laissent toujours sentir une dissemblance qui montre l’art à découvert, et qui par conséquent dépare toujours la nature. […] La seconde réflexion est un cri de douleur et de pitié sur les égarements et les préjugés qui subjuguent quelquefois des nations entières, et qui blessent leur sensibilité au point de leur laisser voir de sang-froid les usages les plus barbares. […] Ce défaut est laissé aux enfants, surtout aux jeunes filles lorsqu’elles paraissent devoir être jolies, comme une espèce d’agrément qui leur devient cher, parce que la flatterie sait tout gâter. […] Les soins des précepteurs, quand ils le veulent, réparent sans peine le vice qu’ont donné ou laissé les complaisances des gouvernantes : on n’est pas si attentif sur le grasseyement de r, surtout pour les filles, dont on espère de l’agrément ; on le regarde alors en les gâtant, comme une mignardise, et on ne corrige point ce défaut, par la fausse persuasion qu’il est un surcroît de grâces.

51. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

Ici le ton perdit de son assurance, quand la voix reprit : — Vous ne devez pas connaître mon nom, monsieur… On ne le connaît pas ici… C’est Loïe Fuller… Je viens de l’Ouest… pour tâcher de trouver un engagement… Je ne joue nulle part pour l’instant,… mais je pense que cela… n’a pas d’importance… et que peut-être vous me laisserez tout de même… la voir si… je vous le demande. […] J’étais en présence de mon idole… Plus tard elle m’invita à déjeuner chez elle, parce que je l’avais priée de se laisser photographier par un des meilleurs photographes de San-Francisco, qui avait accompli le voyage tout exprès pour faire le portrait de Sarah Bernhardt, chez elle dans son merveilleux atelier. […] Tout à coup ; on annonça le photographe : Sarah le laissa entrer. […] Mais elle ne me laissa pas le temps de répondre.

52. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »

Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres Lorsque Agamemnon partit pour le siège de Troie, il laissa auprès de Clytemnestre qu’il aimait, et dont il était aimé, un Danseur célèbre40, qu’il établit l’écuyer de la jeune reine.

53. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178

Quand donc vous pourriez prendre part à ces divertissemens sans que votre chasteté en souffrît, ce que je ne crois pas possible, vous ne laisseriez pas d’être sévèrement puni pour avoir contribué par votre mauvais exemple à la perte des autres.

54. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIII. De la maniere dont les Demoiselles doivent marcher, & celle de se bien presenter. » pp. 38-41

Par exemple, si elle la tient droite & le corps bien campé, sans affectation ni trop de hardiesse ; on dira voila une Demoiselle d’un grand air : si elle la laisse aller negligemment, on la traitera de nonchalante ; si elle la laisse tomber en avant, d’indolente ; enfin si elle la baisse, de rêveuse ou de honteuse, & tant d’autres que je ne détaillerai pas pour ne point être prolixe.

55. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XL. Des Saillies ou Pas échapez des deux pieds. » pp. 183-186

Etant élevez sur la pointe des pieds ainsi que je viens de le dire, les pieds à la quatriéme position, le corps également posé ; je suppose que le pied droit soit devant, de-là vous laissez échaper vos deux jambes, comme si les forces vous manquoient, en laissant glisser le pied droit derriere, & le pied gauche revient devant en partant tous deux à la fois, & en tombant les deux genoux pliez, & du même instant vous relever en remettant le pied droit devant, & le pied gauche revient derriere, ce qui vous remet à la même position que vous estiez en commençant ; mais vous estes encore plié, & vous vous relevez du même tems en rejettant le corps sur le pied gauche, & assemblant par ce mouvement sauté, le pied droit auprès du gauche en se posant à la premiere position, puis vous faites un pas du pied gauche ; ce qui s’appelle dégager le pied, & c’est aussi ce qui vous met dans la liberté de faire les pas qui suivent, mais cet enchaînement de pas se fait dans l’étenduë de deux mesures à deux tems legers, j’ay taché de le circonstancier dans toutes ces parties, afin d’en rendre l’execution plus facile.

56. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre V. Du mouvement du Coude & de l’Epaule. » pp. 206-209

A l’égard du mouvement de l’épaule, comme ils ne sont gueres distinguez que dans les pas tombez ; lorsque vos bras sont étendus 9. il faut les laisser baisser un peu plus bas que les hanches, sans plier les coudes, ni les poignets de même qu’il est exprimé par ces mots tombé & relevé, ce qui est à chacun des bras, & lorsqu’ils ont baissé ils se remettent à la hauteur d’où ils sont baissez, ce qui ne se fait que par le mouvement de l’épaule.

57. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »

Je ne dis rien des huit Entrées, Qui méritent d’être admirées, Où Princes et Grands de la Cour, Et nôtre Roi digne d’amour, En comblant nos cœurs d’allégresse, Font éclater leur noble adresse ; Je laisse les Concerts galants, Et les habits beaux et brillants, J’omets les deux Egyptiennes Ou, si l’on veut, Bohémiennes,30 Qui jouèrent audit Ballet Admirablement leur rolet, Et parurent assez charmantes Avec leurs atours et leurs mantes : De la Du-Parc, rien je ne dis, Qui rendait les Gens ébaudis Par ses appas, par sa prestance, Et par ses beaux pas et sa danse ; Enfin, je ne décide rien De ce Ballet qui me plût bien : Cette Pièce assez singulière Est un In-promptu de Molière ; Et comme les Bourgeois, un jour, Verront ce spectacle à leur tour, Où l’on a des plaisirs extrêmes, Ils en pourront juger eux-mêmes : Mais présentement écrivons Autres choses, si nous pouvons.

58. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214

Aussi, quoique le peuple Juif résistât opiniâtrément à la voix des Prophètes, Dieu ne laisse pas de dire à Isaïe : Criez sans cesse, faites retentir votre voix comme une trompette ; annoncez à mon peuple les crimes qu’il a faits ; et à la maison de Jacob, les péchés qu’elle a commis. […] C’est ce dont le Seigneur nous avertit par son exemple, puisqu’après que les Juifs, résistant à sa parole, l’eurent appelé possédé du démon , il ne laissa pas de répandre avec plus de profusion les grâces de ses instructions, en disant à ces Juifs qui venoient de l’outrager d’une manière si indigne : En vérité, en vérité, je vous le dis : si quelqu’un garde ma parole, il ne mourra jamais (Jean, c. 8, v. 51.) » Quels motifs n’avons-nous pas de croire plutôt à la parole de Jésus-Christ qu’à celle du monde ?

59. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »

Laissons de côté un nocturne confus et guindé, mentionnons la variation très sobre de M.  […] Elle se laisse faire, se livre avec abandon.

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