Ballet pantomime en trois actes par MM. […] En se relevant pour le second acte, la toile laisse voir l’intérieur du foyer de la danse à ce même Opéra de Madrid. […] Le troisième acte nous transporte dans un carrefour de Madrid, devant la maison de doña Dorotea. — Cléofas, entouré de musiciens, fait exécuter une sérénade sous les fenêtres de la veuve, vers laquelle il reporte désormais tous ses yeux.
J’avance sur mon acte de naissance.
Apollon paroît sur un nuage, ce Dieu Protecteur d’Admète, n’a point oublié les actes d’hospitalité que ce Prince exerça envers lui lorsqu’il fut chassé du ciel : par reconnoissance, il a obtenu des parques, que lorsqu’Admète toucheroit aux derniers instans de sa vie, il éviterait la mort si quelqu’un s’y devenoit à sa place.
Dans un mois on ne pourra pas monter même un vaudeville en un acte.
Acte premier.
Cet acte de générosité ajoute encore aux vertus de Julie.
Les maîtres de ballets, qui ont après mol traité le sujet de Pâris, l’ont divisé en quatre ou cinq actes : il faut, pour en avoir agi ainsi, ne pas connoître la description d’Apuléé sur ce trait fabuleux.
C’était l’ancienne petite Héloïse Guérineau, qui, au premier acte de la Gipsy, représentait Elssler enfant.
*** C’étaient encore, — et octroyons-leur l’honneur de la vedette, auquel elles avaient droit, du reste sur l’affiche, — c’étaient : Louise Villeroy petite-fille de Marie-Madeleine d’Étrimont et de Louis de Villeroy dont l’acte de naissance portait — carrément — la particule.
en cinq actes.
L’Académie royale de musique, chassée par l’incendie du Palais-Royal, alla s’installer au théâtre des Tuileries ; puis l’administration obtint du roi la permission de jouer des opéras en un acte sur le théâtre des Menus-Plaisirs, rue Bergère.
Slins’byk, Anglais, vint danser l’anglaise à l’Opéra de Paris dans un acte turc, il y a envion vingt-cinq ans ; il eut un succès fou. […] Auguste Vestris, dans le premier acte ballet de Pâris, qui est un chef-d’œuvre de composition en Danse, était au-dessus de tout ce qu’on a pu voir comme agréable danseur ; il joignait l’adresse et l’expression à la grace la plus parfaite. […] Floquet fit la première Chaconne à deux temps dans le second acte de l’Union de l’Amour et des Arts. […] Dans le second acte de l’opéra d’Iphigénie en Aulide, c’est sur un air de Chaconne que se fait la lutte de la Danse. […] Le Pas de deux du troisième acte de l’opéra de Panurge, dans lequel ils joutèrent long-temps ensemble, les a singulièrement fortifiés.
Et ces liens sont si forts, que, si on arrive à les rompre, ce n’est généralement que sous l’empire du désespoir, du fait d’un acte irraisonné et non pour une belle œuvre d’inspiration pure.
C’est ce qui se fait quand on appelle Dieu pour auteur de cet acte ; que l’on s’étudie à ne rien faire qui ne soit bien pur et saint ; qu’avec le mariage l’on reçoit en la famille la modestie, la pureté et la vertu ; que l’on en bannit les choses profanes, le péché, le diable, et toutes ses œuvres… Au reste, de quoi servent à ceux qui se marient les danses en leurs noces ?
Cet acte de générosité ajoute encore à la honte d’Jarbe, qui fuit avec les siens, en exprimant sa rage et son désespoir.
D’ailleurs, les Drames marcheraient rapidement, ne traîneraient plus en longueur ; les Actes seraient courts, & l’on n’en verrait plus de postiches.
Je n’entreprendrai point de rendre avec des phrases les tableaux, les situations et les grouppes perpétuellement variés de la scène nocturne du premier acte ; il faudroit beaucoup de mots pour exprimer un sentiment ou une pensée ; et il ne faut qu’un geste pour peindre l’un et l’autre ; la pantomime est une langue universelle, qui articule, pour ainsi dire, avec la rapidité de l’éclair.
Le livret de ce ballet en deux actes était de Nourrit, le ténor, la musique de Schneitzhœffer, le compositeur au nom barbare. […] Le second acte nous transporte au fond d’une forêt, dans la caverne de la sorcière Magde.
Rien n’est plus commun que d’imaginer une décoration en formant le plan d’un opéra ; on place les lieux différents dans lesquels se passeront ses différents actes.
Il y eut des applaudissements frénétiques, des rappels et des rappels après chaque acte, puis le rideau tomba sur la scène finale que suivit un grand tumulte de bravos et de cris.
Ce qui sert à allumer la concupiscence, sera réputé un acte de religion ?
C’est ainsi qu’il est dit dans les actes des apôtres : (c. 17, v. 16.)
encouragés pas leurs succès, ils tentèrent de jouer des actes séparés et la réussite de cette entreprise les détermina enfin à donner des pièces entières, qui furent reçues avec des applaudissemens universels.
Encouragés par leurs succès, ils tenterent de jouer des Actes séparés, & la réussite de cette entreprise les détermina enfin à donner des Pieces entieres qui furent reçues avec des applaudissements universels.
Les Pantomimes tiennent souvent lieu à Londres des petites Pièces qu’il est d’usage de jouer après les Drames en cinq actes ; & c’est sur le Théâtre où se sont immortalisés les Shakespear, les Dryden, les Congrève, qu’on les représente : preuve que les Pantomimes vont remplacer en Angleterre les Poèmes récités, avant que les Français aient eu le courage de se distinguer entiérement par une aussi heureuse innovation.
… Le prince et la princesse de Galles assistaient à la représentation : après le second acte, le prince est descendu me complimenter au foyer… — Et puis ?
Partout, dans les premiers plaisirs des hommes réunis, dans leurs premières fêtes, dans leurs premières solennités agrestes, militaires ou religieuses destinées à implorer la divinité ou bien à lui rendre grâce, à célébrer une joie ou un triomphe, à se consoler d’un malheur ou d’une défaite, à perpétuer un souvenir funeste ou favorable, glorieux ou accablant ; partout, dans les sociétés primitives, le drame préside aux principaux actes de l’association. […] C’était une pastorale en cinq actes. […] Le dernier acte politique de l’Opéra de la restauration fut la lecture du bulletin de la prise d’Alger.
Cette nouvelle troupe débuta sur le théâtre du Palais Royal, par Orphée et Euridice, opéra Italien en cinq actes ; il eût le plus grand succès.
des actes, p.69) où il est parlé de la manière de célébrer les fêtes des saints, les danses y sont expressément défendues ; et quoique le concile les réprouve d’une manière particulière, aux heures où l’on célèbre l’Office divin, ce qu’il dit des maux de toute espèce que les danses en général entraînent après elles, fait voir qu’elles ne sont permises en aucun temps, ni en aucune circonstance.
Non pas toutefois qu’il ne soit jamais permis aux hommes et aux femmes de se trouver ensemble ; mais seulement en de saints actes, et avec une telle prudence, que les fins, l’état des personnes, les actions soient là comme autant de préservatifs pour empêcher tous mauvais accidens… Que si encore les assemblées sont telles, qu’avec la rencontre des yeux il y ait communication de paroles, autres que bien pures et bien chastes ; et que l’on prenne plaisir à dire et ouïr des choses sales et déshonnêtes, c’est jeter de l’huile au feu.