Loret, lettre du 7 juin 1664 […] À propos de ce noble Enfant, Pour qui de zèle je me pique, Sur ma foi, sa Troupe Comique, (Qui ne sont pourtant que Ragots) Avec leurs surprenants échos, Leurs danses et leurs mélodies, Pastorales et Comédies, Se font (foi d’Écrivain loyal) Admirer au Palais Royal, Où le plus petit de la Troupe, Et guères plus haut qu’une coupe, Dansant, récitant, annonçant, Est si rare et si ravissant, Qu’on le pourrait, entre autre chose, Nommer le petit Bellerose.
Par la Troupe Royale et la Troupe du Roi.
Dans les funérailles des Rois d’Athènes38 une troupe d’Élite vêtue de longues robes blanches commençait la marche. […] Elles étaient jouées par plusieurs Musiciens qui étaient distribués entre les deux premières troupes.