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47. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »

Ainsi dans un Opéra, quelque brillante en soi que puisse être une Danse inutile, elle doit toujours être regardée comme ces froids récits des Tragédies, où l’acteur semble disparaître pour ne laisser voir que l’Auteur.

48. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »

Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe L’Italie était déjà florissante ; les Cours de Savoie et de Florence avaient montré dans mille occasions leur magnificence et leur galanterie ; Naples et Venise jouissaient des Théâtres publics de Musique et de Danse ; l’Espagne était en possession de la Comédie ; la Tragédie, que Pierre Corneille n’avait trouvée en France qu’à son berceau, s’élevait rapidement dans ses mains jusqu’au sublime ; notre Cour cependant, au milieu de ses triomphes et sous le ministère d’un homme vraiment grand, dont une économie bourgeoise ne borna jamais les dépenses, demeurait plongée dans la barbarie du mauvais goût.

49. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 janvier. « Cydalise et le Chèvre-pied ». »

Ce qu’on a vu n’est pas, sans doute, un chef-d’œuvre monumental et pathétique comme le sont une composition de Poussin, un groupe de Rude ou bien une tragédie cornélienne.

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