Le Cardinal Mazarin tomba dangereusement malade ; mais avant de mourir, il fit au Roi un présent inestimable ; il lui légua Colbert son intendant.
Ces deux hommes rares ne furent point remplacés ; leur art ne fut plus encouragé par le gouvernement, et il tomba dans une dégradation sensible depuis le règne d’Auguste jusqu’à celui de Trajan, où il se perdit tout à fait.
Ce n’est pas la seule erreur dans laquelle cet auteur est tombé ; son ouvrage en est plein.