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78. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -

On ne pèche donc que parce qu’on ne demeure pas dans la vérité en la suivant. […] Toutes ces autorités prises des Ecritures de l’ancien et du nouveau Testament et si multipliées, ne sont-elles pas plus que suffisantes pour nous convaincre qu’on ne peut bien vivre qu’en suivant fidèlement la vérité ; et qu’ainsi c’est elle qui doit être la règle inviolable de toute notre conduite, et non pas les préjugés des hommes, les coutumes du monde, et les mauvais exemples qu’on y voit, quand ils seroient en aussi grand nombre que les grains de sable de la mer ? […] Puisque la vérité est la seule règle sûre que nous devons suivre, et qu’en ne la suivant pas, on ne peut que s’égarer dans les routes de l’iniquité, et marcher dans le chemin de l’enfer, désirons donc sincèrement de la connoître.

79. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »

Les chœurs sont toujours sans action sur le théâtre ; et le moyen de procurer le plus grand plaisir au spectateur, serait de les faire agir suivant les choses qu’ils chantent.

80. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »

[Voir Fêtes de la Cour de France] « Le Lundi dix-huit Septembre 1581, le Duc de Joyeuse et Marguerite de Lorraine Fille de Nicolas de Vaudemont sœur de la Reine, furent fiancés en la Chambre de la Reine, et le Dimanche suivant, furent mariés à trois heures après midi en la Paroisse de Saint-Germain de l’Auxerrois.

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