C’est là, ce me semble, ce qu’il aurait été nécessaire de nous apprendre, et dont on a cependant paru s’occuper le moins.
La partie historique appartenoit à ce dernier ; mais la partie mécanique devoit, ce me semble, appartenir de droit aux danseurs.
Garrick ne parloit de Mademoiselle Dumesnil qu’avec un enthousiasme respectueux ; comment est-il possible, disoit-il, qu’un être à qui la nature semble avoir refusé tout ce qui est nécessaires aux charmes de la scène, soit si parfait et si sublime ?