Voyez ce qu’en dit le mauvais riche qui, étant sur la terre, avoit été vêtu de pourpre et de lin, et avoit fait tous les jours bonne chère : (Luc, c. 16, v. 24.)
Cette pièce riche en fracas musical, et pauvre en mélodie, vuide d’expression et de goût, écrite sans dessin, offre des grouppes harmoniques qui se heurtent, se choquent, et se brisent mutuellement, privée de ce clair-obscur, si nécessaire aux productions des beaux arts, elle est sans effet. […] Les femmes de la cour, et celles des riches financiers ambitionnoient d’être élèves de ce maître.
Je comparais l’existence que tu m’as faite à celle de ce grand seigneur riche qui a eu père et mère, femme et enfant, et qui vit tout seul à présent dans un château fantastique perché je ne sais où entre ciel et terre. […] Tu n’étais pas riche, tu avais juste assez pour nous deux, et quand il a fallu payer le collège tu as vécu de privations sans me le dire.