Les principaux officiers d’Agamemmon portent les riches présens destinés à la Reine et à ses enfans.
Bien plus, sur un nouveau geste du diable, les masques des trois femmes tombent en même temps que leurs dominos, et elles se révèlent à l’écolier sous leur véritable costume : celle-ci est Paquita, une simple manola (grisette espagnole) ; celle-là doña Florinde, une danseuse fort en vogue à Madrid, et cette autre enfin la señora Dorotea, une jeune et riche veuve. — Cléofas les trouve toutes également séduisantes, entre les trois son cœur balance, et, avant de se prononcer en faveur de l’une d’elles, il désirerait les voir de plus près, les connaître plus intimement. « Soit, dit le diable ; elles vont venir ici toutes les trois pour consulter l’alchimiste.
« Le talent de Mlle Fanny Elssler, dit une note du 19 août, consiste dans une très grande vivacité, une vigueur étonnante, de la précision au milieu de ce désordre apparent, de riches pointes, une abondance d’entrechats bien passés, beaucoup de souplesse, des jambes qui se portent moelleusement plus qu’à la hauteur de la hanche, et des yeux, des airs de tête singulièrement agaçants.