C’est là ce qui importe aujourd’hui : « et tout le reste est littérature ».
Styrax-Aveline reste seul, et alors un monologue dansé et mimé se déroule dont le langage chorégraphique s’apparente à la déclamation lyrique d’un Debussy et a été inauguré par Fokine dans Daphnis.
Cette variation de Cléopâtre — dont certes on abuse et qui ne saurait convenir à tous les tempéraments — n’en reste pas moins une chose magnifique et saisissante.