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91. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

— Je chercherais un autre amant, répondit mademoiselle Desmatins. […] D’aucuns tirèrent l’épée pour ou contre… Des paris considérables s’établirent… Pendant des mois, on épia un mouvement révélateur… A la fin, les parieurs députèrent chez la ballerine trois des leurs, chargés de lui demander la vérité à cet endroit… Quand ceux-ci se furent expliqués, Marie-Anne devint pourpre et baissa les yeux… Puis, dessinant une cérémonieuse révérence « pour s’efforcer de cacher son pudique embarras, » elle répondit d’une voix émue : — Hé ! […] Mademoiselle Guimard y joue quelquefois, mais son organe sépulcral ne répond pas à ses autres talents.

92. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

C…. lui répondit : — Je consens volontiers à vous assister dans cette affaire, mais à une condition : c’est que vous me continuerez votre confiance quand il s’agira de plaider pour vous en séparation. […] moi, répondait-elle en souriant, oh ! […] Théophile Gautier se chargea de leur répondre : « Sans doute, le spiritualisme est une chose respectable ; mais, en fait de danse, on peut bien faire quelques concessions au matérialisme. […] » Quant à sa figure, elle n’est pas fort italienne, et répond peu aux idées brunes qu’éveille le nom des Grisi, dont elle est parente.

93. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »

Ces panneaux continués par des draperies faisant coulisses simplifient, sans doute, le montage d’une pièce, mais ne répondent à aucune formule plausible de mise en scène.

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