Déjà la danse quitte le bond à deux ou à trois temps, pour des figures plus complexes et plus rares.
Mlle Stacia Napierkowska, dansant à l’Alhambra, me fait songer aux légendes de toutes les mythologies où l’on voit déesses ou Péris quitter leur séjour éthéré pour vivre et souffrir parmi les mortels.
Somme toute, elle s’est trop empressée, croyons-nous, à quitter la classe pour appliquer les notions acquises à des créations sans originalité et d’où l’invention est absente.