/ 52
50. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Ou… Restons jusqu’à demain Amis, le verre en main, Pour boire à sa hautesse (ou bien à son altesse ou bien à la princesse).

51. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il s’était prêté de la meilleure grâce du monde aux taquineries des princesses Hermine et Léontine de Metternich.

52. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Ce trait historique fait voir que les gens de qualité seuls exerçaient cet art pour leur amusement, et qu’on ne connaissait à la Cour aucun autre spectacle que les grands ballets, lesquels étaient, depuis nombre d’années, exécutés par les princes, princesses, seigneurs et quelques personnes de la suite de la Cour, les tournois étant fort rares, depuis l’accident fatal arrivé, en 1559, à Henri ii.

/ 52