Afin de préparer le public à comprendre et à goûter le sujet, Charles Maurice publia une série d’articles sur l’œuvre du poète anglais.
Ils dirent dans une adresse à Fanny Elssler : « Nous sommes un peuple actif qui se débat sur l’océan de la liberté agité par une tempête perpétuelle, un peuple qui, de ses bras vigoureux et musclés, oppose aux vagues mugissantes la rame robuste et qui poursuit bruyamment sa course rapide, sans songer aux Grâces, sans songer à l’amour. » Huit années avant Fanny Elssler, son illustre compatriote, le poète Lenau, avait parcouru les Etats-Unis et formulé ainsi ses impressions : « Ces Américains sont de puantes âmes d’épiciers.
On a vu ce poète philosophe emprunter la main des grâces pour offrir la lumière au dernier siècle. […] Omnibus ille dies semper natalis agatur Pour inscription sur l’autre temple du côté du Louvre, on lisait cet autre vers du même Poète : O quantùm felix, terque quaterque dies !