Il dispersait ses hommes en tirailleurs, de manière à ce que les salves d’applaudissements partissent de plusieurs parties du théâtre, mais il les plaçait de telle sorte que tous pussent avoir l’œil sur lui et manœuvrer au premier signal.
De là partit vers le milieu du dix-huitième siècle Joseph Elssler pour aller s’établir en Hongrie, à Eisenstadt.
Mlle Elise Talbot commence un dithyrambe par ces mots : O toi dont le pied se pose Sans réveiller un lutin, Feuille légère de rose, Songe habillé de satin…83 Jules Canonge, de Nîmes, s’inquiète d’un voyage qui mènera la danseuse chez des peuples incapables de goûter la perfection de son art sublime : Et voilà que tu pars !