On citait en exemple le pas de deux qu’il avait composé pour le ballet de Silvia et en lequel un faune et une nymphe mimaient en dansant toute une intrigue amoureuse.
« Le dimanche 15 octobre 1581, festin de la Reine dans le Louvre, et après le festin, le Ballet de Circé et de ses Nymphes ». […] Les nymphes sautent comme vous Et les Graces dansent comme elle.
des arts immortels et graves, je t’adore, et ce serait un tourment pour moi de contenir le souffle de chants qui s’agite dans mon cœur. » Ce n’est point dans la troupe des sirènes funestes aux navigateurs, ni parmi les nymphes, qui retiennent les guerriers enchaînés par des liens honteux qu’il faut ranger Fanny Elssler, mais dans le groupe sacré de Dante et de Raphael.