J’imagine qu’elle doit se relever, la nuit, pour répéter une variation « dans le simple appareil, » entre le bougeoir éteint et les meubles intimes !
Car quelles personnes, en quelque grand nombre qu’elles fussent, pourroient me persuader que la nuit est jour, ou me faire recevoir des pièces de cuivre pour des pièces d’or, ou me faire prendre un poison dont la malignité me seroit connue, pour une mauvais chrétiens qui ne veulent pas y conformer leur vie ?
La scène est dans la nuit.