Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. Je n’avais jamais vu Dourga, la danseuse hindoue, morte obscurément à 24 ans. […] Elle va mourir.
Je meurs de déplaisir de n’y pouvoir pas être, Car bien du monde, ici, qui pense s’y connaître, Dit que l’artifice en surprend Et que le Spectacle en est grand.
Robinet, lettre du 26 décembre 1666 L’auguste BALLET des NEUFS SŒURS, Où l’on voit d’excellent Danseurs, Divertit toujours à merveille La COUR des Cours la nonpareille, Et, parmi les OBJETS poupons Lesquels font là des Pas mignons, TOUSSI, cette GRÂCE naissante,72 De plus en plus est ravissante , De FIENNE, qu’on ne saurait voir Sans mille Attraits apercevoir, Dedans sa Danse paraît telle Qu’on meurt de danser avec Elle, Et du LUDRE, l’ASTRE LORRAIN73 Qui des Cœurs s’empare soudain, Par sa belle et forte Influence, Les prend illec comme en Cadence.