Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe L’Italie était déjà florissante ; les Cours de Savoie et de Florence avaient montré dans mille occasions leur magnificence et leur galanterie ; Naples et Venise jouissaient des Théâtres publics de Musique et de Danse ; l’Espagne était en possession de la Comédie ; la Tragédie, que Pierre Corneille n’avait trouvée en France qu’à son berceau, s’élevait rapidement dans ses mains jusqu’au sublime ; notre Cour cependant, au milieu de ses triomphes et sous le ministère d’un homme vraiment grand, dont une économie bourgeoise ne borna jamais les dépenses, demeurait plongée dans la barbarie du mauvais goût. […] Après s’être montrés ainsi à une multitude innombrable, ils arrivèrent au Palais du Roi, où ils dansèrent un grand Ballet allégorique.
Elle déclare que ce n’est pas gentil à vous de vous montrer si fière avec elle, sous prétexte que vous avez aujourd’hui réussi. […] Je me rendis donc à l’hôtel pour bien montrer à la propriétaire qu’elle se trompait.
Je crois avoir montré par des preuves convaincantes, que les danses ne sont pas des divertissemens chrétiens, et doivent par conséquent être évitées par toutes les personnes qui font une profession sincère du christianisme.