J’ai prouvé ailleurs que l’on pouvoit faire une mauvaise tragédie en suivant les règles d’Aristote.
Tout danseur qui altère ses traits par des efforts, et dont le visage est sans cesse en convulsion, est un mauvais danseur qui ignore les premiers élémens de son art, qui ne s’attache qu’à la partie grossière de la danse, et qui n’en a jamais senti l’esprit.
Ne cherches-tu pas le réveil et la netteté de la lumière, quand un mauvais rêve te travaille ?