Jeunes élèves d’Apelles, déguisés en amours, zéphirs, lutteurs et gladiateurs. […] De petits Zéphirs et de jeunes Nymphes portant des corbeilles de fleurs, tenant des couronnes et des guirlandes, lient et enchaînent ce grouppe, qui est bientôt surmonté et couvert par un baldaquin de fleurs, supporté par quatre Nymphes.
La Revue des Deux-Mondes, en 1840, était jeune et capable de s’échauffer à propos d’une danseuse. […] La Jeune Italie, fondée par Mazzini, avait fomenté l’insurrection de Rimini en 1843. […] Elle apparut à ses compatriotes aussi jeune, aussi souple, aussi vigoureuse que jamais. […] Dans la ville qui se rajeunissait elle eut le don de rester jeune. […] Comme maîtresse de maison, elle justifiait un éloge que Gentz avait fait de ses qualités domestiques, alors qu’elle était encore toute jeune.
Avec un peu de soin, une imagination médiocre, et quelque goût, on rendrait ce Spectacle le fond et la ressource la plus sûre de l’Opéra, une école délicieuse de Danse pour notre jeune Noblesse, et un objet d’admiration constante pour cette foule d’Étrangers, qui cherchent en vain dans l’état où ils le voient, le charme qui nous le fait trouver si agréable.