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10. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo XLIX. Del Fioretto, Fleuret »

Si fa semplice, in Chassé, in Jeté e saltato, e principiaremo col “Semplice” come il più percettibile. […] A jeté [12] Il “fioretto a gittato”, o sia fleuret Jeté, si puol fare pure in tutte le divisate maniere, aggiungendovi il moto gittato, o per dir meglio cambiando il secondo movimento ed il terzo.

11. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120

Adèle se jette au milieu des combattans ; elle embrasse les genoux de son père. […] Raymond délie le fier Alphonse ; il lui jette son gant. […] Celui-ci se jette dans les bras de Renaud et le supplie de lui accorder le grade de chevalier. […] Après des coups portés avec vigueur et pâtés avec adresse, ils parviennent à se couper mutuellement les courroies de leurs cuirasses : elles tombent à-demi : ils les arrachent avec fureur : ils jettent loin d’eux leurs haches et leurs boucliers, et mettent l’épée à la main. […] Elle revoit la lumière et son amant ; elle se jette dans ses bras pour n’en sortir jamais.

12. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Egisthe jette le poignard aux pieds de Cassandre. […] Iphise mêle ses pleurs aux larmes de sa sœur ; elles se jettent encore sur le corps d’Agamemnon qui n’existe plus : les Officiers l’emportent ; les femmes du Palais enlévent Cassandre. […] Oreste, pour ménager à sa sœur une reconnoissance qui pourroit lui causer une émotion trop vive, se jette a ses pieds et lui présente une lettre. […] Oreste furieux n’entend, ne voit rien, et livré à tous les transports de la vengeance, il se jette une seconde fois sur Egisthe et le perce de plusieurs coups. […] Oreste à cet aspect épouvantable recule, frémit, se jette aux pieds de l’ombre, la conjure d’une voix foible et mourante de croire que son cœur est innocent, et que sa main seule est criminelle.

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