Je lui reprocherai pourtant de ne jamais tendre dûment le genou, ce qui cause une impression de malaise.
C’est l’impression que l’on ressent, lorsqu’on franchit la grille ; après avoir cheminé le long d’une avenue peu large et bordée d’arbres nouvellement plantés. […] Dans la voiture qui nous ramenait je demandai à mes amis s’ils pouvaient décrire leurs impressions, leurs sensations.
Le parti qu’elle tire d’un souffle haletant, saccadé, pour corser l’impression dramatique, produit une sensation de malaise réel.