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5. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Le « vendredi » de Mlle Nérys. »

Aussi, malgré certains excès somptuaires qui d’ailleurs déparaient tout le spectacle, l’impression première fut littéralement saisissante.

6. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174

Mais que ne font pas encore les personnes qui, remplies de l’esprit du monde, prennent la défense des danses, pour affoiblir l’impression de ce qu’ont dit contre elles ces saints docteurs ? […] Aussi, ce saint a-t-il cru devoir prescrire différentes considérations bonnes et fort saintes, auxquelles il dit « qu’il faut avoir recours après les danses, pour empêcher les impressions dangereuses que le vain plaisir qu’on a reçu seroit capable de faire. » Et quelles sont ces considérations ? C’est, par exemple, dit-il, de penser, lorsqu’on étoit à prendre ce plaisir de la danse, que plusieurs réprouvés brûloient dans l’enfer pour les péchés commis à la danse et à cause des danses ; que plusieurs religieux et personnes de piété étoient à la même heure devant Dieu, chantant ses louanges, et contemplant ses divines perfections ; et que leur temps a été par là bien mieux employé que celui qu’on a mis à danser ; qu’on a fait pitié à la sainte Vierge, aux anges et aux saints, lorsqu’ils ont vu que le cœur s’arrêtoit à ce plaisir si ridicule ; qu’enfin à mesure qu’on y a donné plus de temps, on s’est aussi plus approché de la mort qui mettra fin à tous ces plaisirs. » Je demande maintenant s’il est bien facile et bien ordinaire de s’appliquer, au retour de la danse, à toutes ces considérations, que saint François de Sales croit néanmoins nécessaires pour empêcher les funestes impressions du plaisir qu’on y a cherché et goûté ?

7. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-

Pourtant comme j’avais l’impression d’être un peu responsable de ce qui arrivait, pour ne pas leur causer de désappointement, je pris mon courage à deux mains, me levai et me mis à faire un discours. […] Cela me donna l’envie de connaître son impression plus approfondie quant à notre race, et je lui demandai à quoi les Européens ressemblaient au point de vue japonais.

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