Enfin il y avait encore des hymnes ou chansons en l’Honneur des dieux et des héros : telles étaient les jules de Cérès et de Proserpine, la philélie d’Apollon, les upinges de Diane, etc. […] Dans l’Egypte et dans la Grèce, les premiers chants connus furent des vers en l’honneur des dieux, chantés par les poètes eux-mêmes.
On en a vu de tous ces genres différents réussir, et faire honneur à leurs différents inventeurs.
Il est un auteur dont j’ignore le nom, et qui s’est trompé grossièrement en faisant insérer dans un livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre siècle, que la fléxion des genoux et leur extension étoit ce qui élevoit le corps.