Adonis devient l’objet des tendres inquiétudes de Vénus ; elle l’engage à fuir et à se dérober à la fureur jalouse de ce Dieu.
Les Furies approchent, touchent l’Aigle et les Lions, leur inspirent les fureurs dont elles sont animées ; l’Enfer se referme et la Terre reparaît. […] Il touche l’Aigle et les Lions, pour leur ôter la fureur que les Euménides leur avaient inspirée ; il remet la massue sur l’épaule d’Hercule, comme pour le prier de se contenter de ses exploits, et il danse ensuite la dernière Entrée avec toutes les Divinités du Ciel qui l’accompagnaient.
Précédemment en jouant le même rôle chez l’Empereur, pour mieux rendre les fureurs d’Hercule, il avait jeté ses flèches sur l’Assemblée, et l’Empereur avait applaudi à cette extravagance, ou par un raffinement de politique, ou par un excès de bonté.