Quelle gloire pour la mer, D’avoir ainsi produit la merveille du monde : Cette Divinité sortant du sein de l’onde, N’y laisse rien de froid, n’y laisse rien d’amer ; Quelle gloire pour la mer ?
Elle comprit que la beauté de son art n’était pas dans une froide et savante plastique, mais dans une interprétation esthétique de l’émotion humaine, avant tout dans l’expression de la force qui mène le monde, de l’amour, du désir.
Le même auteur imaginait, pour caractériser le talent de l’artiste, une formule qu’on a souvent citée, sans en indiquer l’origine exacte : « Elle danse Gœthe, elle est aussi froide, aussi grandiose. » Sie tanzt Gœthe, so kalt, so groszartig 90.