Ce vieil homme avait une longue marche à fournir pour regagner sa demeure. […] La malheureuse petite femme de ménage, pourvue d’un mari ivrogne et de six enfants, s’engagea à prendre soin de la paralytique et de son intérieur, si les autres voisins, à eux tous, voulaient bien fournir le strict nécessaire.
Dans le Chant du Marchand hindou de Rimsky-Korsakoff, ce sont des réminiscences égyptiennes, également transposées, qui fournissent à la danseuse cette sensation d’étrangeté, cette atmosphère de rêve où elle se complaît.
[5] Rien n’est plus gracieux que ces attitudes charmantes que nous nommons arabesques 53 ; les bas-reliefs antiques, quelques fragments de peintures grecques, ainsi que celles à fresque, des loges du Vatican, d’après les délicieux dessins de Raphaël, nous en ont fourni l’idée54.