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92. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Aussi, lorsque Paquita se présente, et, pour donner un échantillon de son savoir-faire, essaie quelques pas d’une danse rustique qu’elle a rapportée de son village, le faux maître de ballets, enchérissant sur les rires et les murmures de ses élèves, lui déclare que jamais elle ne pourra faire proprement une pirouette ni un jeté battu.

93. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Rahel ne releva point ce qu’il y avait là de faux et d’anormal. […] Elle qui fut une femme pratique et qui montra plus tard une grande habileté à faire et à refaire sa fortune se serait bien vite aperçue qu’elle faisait fausse route, si elle avait compté sur Gentz pour amasser des rentes.

94. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Par son horreur pour le désordre et le débraillé, par le soin que, jusque dans son extrême vieillesse, elle prit de sa personne et de sa maison, elle laisse l’impression d’une femme qui aurait traversé le monde toujours fraîchement gantée de blanc et attentive à ce qu’aucun faux pli ne dérangeât la correction de sa toilette.

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