Les danseuses classiques continuaient leur tâche ardue dans un isolement moral complet ; artistes et poètes se désintéressaient de cette grande tradition.
Que le ballet romantique, le « ballet 1830 » continuât sous maint rapport une tradition ou plutôt un développement ininterrompu et plus que séculaire, qu’il eût été préparé de longue main par les maîtres italiens perfectionnant et codifiant la gymnastique de la danse théâtrale, qui songerait à le nier ? […] « Mademoiselle Elssler », continue-t-il dans son éloge, « a des bras ronds, bien tournés, ne laissant pas percer les os du coude et n’ayant rien de la misère de formes des bras de ses compagnes… « … Quant au caractère de la tête, nous avouons qu’il ne nous paraît pas aussi gracieux qu’on le dit.
Les Prêtresses exécutent ensuite des danses graves et caractéristiques autour de la statue de Diane ; elles sont continuées dans le vestibule du temple, et interrompues par l’arrivée de Thoas. […] Ce combat de sentiment continue entre Oreste et Pylade : ils ne veulent partir ni l’un ni l’autre ; tous deux souhaitent, la mort.